Histoire de Jeanne d'Albret, reine de Navarre, Volume 3L. Janet, 1818 |
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Antoine de Bourbon avaient bataille de Moncontour Béarn Beauvoir Biron cardinal de Lorraine Catherine chancelier de l'Hôpital Charles Charles IX Charles-Quint comte Condé connétable conseil Cour des Valois courage d'Antoine Dieu duc d'Anjou duc de Guise enfans enfin ennemis envoyé épouse Etats eût excite faction catholique fille fils Foix force François Ier frère gouvernement guerre civile guerre de Flandre habitans haine Haute-Navarre Henri de Navarre Henri II d'Albret Histoire des Troubles hommes Jeanne d'Albret jeune l'édit l'Espagne l'Etat laisse ligue maison de Bourbon malheurs manuscrite du Béarn Manuscrits de Béthune maréchal Marguerite de Valois mariage massacre Médicis mère Mirasson Montgommery Montluc Montmorency mort Navarreins Olhagaray ordonne persuader peuple Philippe prétexte prince princesse projet protestans protestant rebelles reine de Navarre reine Jeanne religion religionnaires rendre Rochelle Rome royaume de Navarre sage Saint-Barthélemy sainte Sanctæ secret solliciter soupçons suivantes sujet synode Tavanes Téligny Terride Thou tion troupes veut
Popular passages
Page 209 - J'ai communiqué, dit-il au roi, le commandement de Votre Majesté à ses fidèles habitants et gens de guerre de la garnison, je n'y ai trouvé que bons citoyens et braves soldats, mais pas un bourreau...
Page 177 - Non, non, dit-il, ma tante; je vous honore « plus que le Pape , et aime plus ma sœur que je ne le « crains. Je ne suis pas huguenot , mais je ne suis pas
Page 177 - Vicilleville n'aymc que le bon « vin; Cossé est trop avare; de Montmorency ne se « soucie que de la chasse et volerie ; le comte de Retz « est Espagnol ; les autres seigneurs de ma cour et ceux « de mon conseil ne sont que des...
Page 171 - ... davantage. Ce ne sont pas les hommes, ici, qui prient les femmes ; ce sont les femmes qui prient les hommes. Si vous y étiez, vous n'en échapperiez jamais sans une grande grâce de Dieu.
Page 171 - J'ai trouvé votre lettre fort à mon gré, je la montrerai à Madame (Marguerite) si je puis. Quant à sa peinture, je l'enverrai quérir à Paris. Elle est belle, bien avisée, et de bonne grâce, mais nourrie en la plus maudite et corrompue compagnie qui fut jamais : car je n'en vois point qui ne s'en sente.
Page 129 - IX s'efforça, dans sa réponse, d'éloigner d'elle toute crainte, en l'assurant « qu'il « donnoit sa sœur non pas au prince de Navarre, mais « à tous les huguenots, comme pour se marier avec « eux et leur ôter tout doute de l'immuable fermeté
Page 219 - Dieu me prête vie, je veux établir parmi vous le » même ordre qui règne dans mon pays de Béarn ; les » plus longs procès n'y durent que trois mois, et ne » sont si hardis les juges de prendre épices, sinon à la
Page 269 - Vainqueur, c'est moi qui vous la demande; ou s'il faut guerre, laissez-la moi rendre à ceux-là * qui seuls vous la font et à nous, et me les baillez à mener à cette heure qu'ils savent quel je suis. La Bu ri hc.
Page 177 - M. le pape fait trop la bête, je prendrai moi-même Margot par la main et la mènerai épouser en plein prêche.
Page 197 - Dieu soit loué ! mes compagnons , tout va bien. Avant qu'il soit longtemps, nous aurons chassé l'Espagnol des Pays-Bas et en aurons fait notre roi maître, ou nous y mourrons tous, — moi-même le premier.