... en a que de rien procède quelque chose, je ne la pouvais tenir non plus de moi-même : de façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que je n'étais, et même qui eût en soi toutes les... Essai sur la philosophie de Duns Scot - Page 152by E. Pluzanski - 1887 - 296 pagesFull view - About this book
| Louis Auguste Jean Francois Philippe Gruyer - Philosophy - 1832 - 424 pages
...véritablement plus parfaite que je n'étois, et même qui eût en soi toutes les perfections dont je pouvois avoir quelque idée, c'est-à-dire, pour m'expliquer en un mot, qui fût Dieu. A quoi j'ajoutai que, puisque je connoissois quelques perfections que je n'avois point, je n'étois... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...la pouvais tenir non plus de moi-même : de façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que...c'est-à-dire , pour m'expliquer en un mot, qui fût Dieu 2. A quoi j'ajoutai que, puisque je connaissais quelques perfections que je n'avais point , je n'étais... | |
| René Descartes - Philosophy - 1835 - 656 pages
...la pouvais tenir non plus de moi-même : de façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que...toutes les perfections dont je pouvais avoir quelque Mée , c'est-à-dire , pour m'expliquer en un mot, qui fût Dieu 2. A quoi j'ajoutai que, puisque je... | |
| Heinrich Ahrens - Psychology - 1838 - 344 pages
...non plus de moi-même ; de façon qu'il restait , qu'elle eût été mise en moi par une nature qui qui fût véritablement plus parfaite que je n'étais...les perfections dont je pouvais avoir quelque idée, c'est à dire pour m'expliquer en un mot , qui fût Dieu. A quoi j'ajoutai que puisque je connaissais... | |
| René Descartes - Philosophy - 1842 - 626 pages
...la pouvais tenir non plus de moi-même : de façon qu'il restait qu'elle eut été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que...c'est-à-dire, pour m'expliquer en un mot , qui fût Dieu. A quoi j'ajoutai que, puisque je connaissais quelques perfections que je n'avais point, je n'étais... | |
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...ne la pouvais tenir non plus de moimême : de facon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que...c'est-à-dire , pour m'expliquer en un mot , qui fût Dieu. A quoi j'ajoutai que , puisque je connaissais quelques perfections que je n'avais point , je n'étais... | |
| Pierre Laromiguière - Philosophy - 1844 - 532 pages
...la pouvais tenir non plus de moi-même : de façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que...les perfections dont je pouvais avoir quelque idée, c'est-a-dire, pour m'expliquer en un mot, qui fût Dieu. A quoi j'ajoutai que, puisque je connaissais... | |
| Philibert Damiron - Philosophy - 1846 - 606 pages
...véritablement plus parfaite que je n'étois, et même qui eût en soi toutes les perfections dont je pouvois avoir quelque idée, c'est-à-dire, pour m'expliquer en un mot, qui fût Dieu. » La même preuve est reproduite dans la troisième Méditation , mais avec plus de précision, et... | |
| Alfred Lorquet - Philosophy - 1847 - 424 pages
...la pouvais tenir non plus de moi-même ; de façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que...c'està-dire , pour m'expliquer en un mot, qui fût Dieu. A quoi j'ajoutai que, puisque je connaissais quelques perfections que je n'avais point , je n'étais... | |
| René Descartes - Filosofia - 1850 - 700 pages
...la pouvais tenir non plus de moi-même: de façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que...c'està-dire, pour m'expliquer en un mot, qui fût Dieu. A quoi j'ajoutai que, puisque je connaissais quelques perfections que je n'avais point, je n'étais... | |
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