Poétique française1804 |
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... Dieu immuable , vérité éternelle , vrai honneur , foi assurée , etc. Il en est de même de la conjonction et avant un mot qui commence par une voyelle . On peut cependant répéter la con- jonction oui , ou la mettre après une interjection ...
... Dieu immuable , vérité éternelle , vrai honneur , foi assurée , etc. Il en est de même de la conjonction et avant un mot qui commence par une voyelle . On peut cependant répéter la con- jonction oui , ou la mettre après une interjection ...
Page 15
... dieu des combats . D'où vient que l'univers déteste La couleuvre bien moins funeste ? Elle est l'image des ingrats . Non , non , sans le secours des filles de mémoire , Vous vous flattez en vain , partisans de la gloire , D'assurer à ...
... dieu des combats . D'où vient que l'univers déteste La couleuvre bien moins funeste ? Elle est l'image des ingrats . Non , non , sans le secours des filles de mémoire , Vous vous flattez en vain , partisans de la gloire , D'assurer à ...
Page 16
... Dieu des armées S'armera pour notre secours ? O bien heureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime ; Qui de bonne heure entend sa voix , Et que ce Dieu daigne instruire lui - même ! Loin du monde élevé , de tous les dons des cieux Il ...
... Dieu des armées S'armera pour notre secours ? O bien heureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime ; Qui de bonne heure entend sa voix , Et que ce Dieu daigne instruire lui - même ! Loin du monde élevé , de tous les dons des cieux Il ...
Page 19
... Dieu n'est plus irrité : Réjouis - toi , Sion , et sors de la poussière ; Quitte les vêtemens de ta captivité , Et reprends ta splendeur première . Les chemins de Sion sont à la fin ouverts : Rompez vos fers , Tribus captives , Troupes ...
... Dieu n'est plus irrité : Réjouis - toi , Sion , et sors de la poussière ; Quitte les vêtemens de ta captivité , Et reprends ta splendeur première . Les chemins de Sion sont à la fin ouverts : Rompez vos fers , Tribus captives , Troupes ...
Page 28
... Dieu monté sur un char étincelant , que traînent des chevaux immortels , qui vomissent la flamme . Les vents ont des ailes ; le tonnerre a des flèches . Les vices . sont des monstres hideux : l'envie est dé- vorée de serpens : la ...
... Dieu monté sur un char étincelant , que traînent des chevaux immortels , qui vomissent la flamme . Les vents ont des ailes ; le tonnerre a des flèches . Les vices . sont des monstres hideux : l'envie est dé- vorée de serpens : la ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 14 - L'été n'a point de feux, l'hiver n'a point de glace. J'entends à son seul nom tous mes sujets frémir. En vain deux fois la paix a voulu l'endormir : Loin de moi son courage entraîné par la gloire Ne se plaît qu'à courir de victoire en victoire. Je me fatiguerais à te tracer le cours Des outrages cruels qu'il me fait tous les jours.
Page 142 - Sa voix redoutable Trouble les enfers ; Un bruit formidable Gronde dans les airs; Un voile effroyable Couvre l'univers ; La terre tremblante Frémit de terreur ; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Page 348 - ... car il ne s'est pas toujours assujetti au goût des Grecs et à leur grande simplicité : il a aimé au contraire à charger la scène d'événements dont il est presque toujours sorti avec succès ; admirable surtout...
Page 102 - Venez de mille aïeux; et si ce n'est assez, Feuilletez à loisir tous les siècles passés * : Voyez de quel guerrier il vous plaît de descendre ; Choisissez de César, d'Achille, ou d'Alexandre : En vain un faux censeur voudrait vous démentir. Et si vous n'en sortez, vous en devez sortir.
Page 349 - ... dans la raison est manié par le premier, et par l'autre ce qu'il ya de plus flatteur et de plus délicat dans la passion. Ce sont dans celui-là des maximes, des règles, des préceptes ; et dans celui-ci du goût et des sentiments. L'on est plus occupé aux pièces de Corneille ; l'on est plus ébranlé et plus attendri à celles de Racine. Corneille est plus moral, Racine plus naturel. Il semble que l'un imite Sophocle, et que l'autre doit plus à Euripide.
Page 129 - Éclaire tous les humains. Environné de lumière, Cet astre ouvre sa carrière Comme un époux glorieux, Qui, dès l'aube matinale, De sa couche nuptiale Sort brillant et radieux. L'univers, à sa présence, Semble sortir du néant. Il prend sa course, il s'avance Comme un superbe géant.
Page 109 - Les soucis dévorants, les regrets, les ennuis , Hôtes infortunés de sa triste demeure, En des gouffres de maux le plongent à toute heure.
Page 349 - Corneille nous assujettit à ses caractères et à ses idées, Racine se conforme aux nôtres; celui-là peint les hommes comme ils devraient être, celui-ci les peint tels qu'ils sont. Il ya plus dans le premier de ce que l'on admire, et de ce que l'on doit même imiter; il ya plus dans le second de ce que l'on reconnaît dans les autres, ou de ce que l'on éprouve dans soi-même.
Page 342 - Théâtre des Grecs par le P. Brumoy, nouvelle édition enrichie de très-belles gravures et augmentée de la traduction entière des pièces grecques dont il n'existe que des extraits dans toutes les éditions précédentes, et de comparaisons, d'observations et de remarques nouvelles, par MM. de Rochefort et Dutheil.
Page 72 - Mais encor ? — Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.