Les savants illustres du XVIe et du XVIIe siècle, Volume 2Société générale de librairie catholique, 1880 - Science |
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... premier des écrits qu'il convient de consulter ; cependant , comme les circonstances au milieu desquelles elle a été publiée , ne laissaient pas à son auteur toute la liberté nécessaire pour une appréciation entièrement impartiale , il ...
... premier des écrits qu'il convient de consulter ; cependant , comme les circonstances au milieu desquelles elle a été publiée , ne laissaient pas à son auteur toute la liberté nécessaire pour une appréciation entièrement impartiale , il ...
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... premier abord , il fut séduit et convaincu . Dès lors , les sciences lui deviennent complètement indifférentes ; l'étude et la pratique de la religion lui apparaissent comme la seule chose vraiment utile et nécessaire ; il en fait son ...
... premier abord , il fut séduit et convaincu . Dès lors , les sciences lui deviennent complètement indifférentes ; l'étude et la pratique de la religion lui apparaissent comme la seule chose vraiment utile et nécessaire ; il en fait son ...
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... premier cette question . Galilée s'y appliqua ensuite avec persévérance ; il avouait dans une lettre que l'étude de la roulette l'occu- pait depuis quarante ans ; mais à cette époque , les ressources de l'algèbre étaient trop restrein ...
... premier cette question . Galilée s'y appliqua ensuite avec persévérance ; il avouait dans une lettre que l'étude de la roulette l'occu- pait depuis quarante ans ; mais à cette époque , les ressources de l'algèbre étaient trop restrein ...
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... premier , le théorème relatif à la quadrature . Descartes ap- pliqua ensuite ses méthodes à l'étude des pro- priétés de la tangente , que Roberval n'avait pu établir . De leur côté , Viviani et Torricelli , disci- ples de Galilée ...
... premier , le théorème relatif à la quadrature . Descartes ap- pliqua ensuite ses méthodes à l'étude des pro- priétés de la tangente , que Roberval n'avait pu établir . De leur côté , Viviani et Torricelli , disci- ples de Galilée ...
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... premier seul entra en lice d'une manière sérieuse et résolut une partie notable des questions proposées . Pascal s'occupa aussi avec succès de la théorie des nombres ; il était en correspondance sur ce sujet avec Fermat . Ses recherches ...
... premier seul entra en lice d'une manière sérieuse et résolut une partie notable des questions proposées . Pascal s'occupa aussi avec succès de la théorie des nombres ; il était en correspondance sur ce sujet avec Fermat . Ses recherches ...
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Popular passages
Page 46 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 46 - Que l'homme, étant revenu à soi, considère ce qu'il est au prix de ce qui est; qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature; et que, de ce petit cachot où il se trouve logé, j'entends l'univers, il apprenne à estimer la terre, les royaumes, les villes et soi-même son juste prix.
Page 109 - Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose; et, remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeais que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 48 - Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir. Suivez la manière par où ils ont commencé ; c'est en faisant tout comme s'ils...
Page 21 - II est injuste qu'on s'attache à moi, quoiqu'on le fasse avec plaisir et volontairement. Je tromperais ceux à qui j'en ferais naître le désir, car je ne suis la fin de personne, et n'ai pas de quoi les satisfaire.
Page 78 - Quelle chimère est-ce donc que l'homme ? Quelle nouveauté, quel monstre, quel chaos, quel sujet de contradiction, quel prodige ! Juge de toutes choses, imbécile ver de terre; dépositaire du vrai, cloaque d'incertitude et d'erreur ; gloire et rebut de l'univers.
Page 17 - Si j'avais à en choisir une, je prendrais celle-là. Tant que l'on a du feu, l'on est aimable; mais ce feu s'éteint, il se perd : alors que la place est belle et grande pour l'ambition...
Page 50 - Leurs robes rouges, leurs hermines, dont ils s'emmaillotent en chats fourrés *, les palais où ils jugent, les fleurs de lis **, tout cet appareil auguste était fort nécessaire ; et si les médecins n'avaient des soutanes et des mules *, et que les docteurs * n'eussent des bonnets carrés et des robes trop amples de quatre parties *, jamais ils n'auraient dupé le monde qui ne peut résister à cette montre si authentique.
Page 108 - ... considérant que toutes les mêmes pensées que nous avons* étant éveillés nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune pour lors qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes.
Page 45 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.