Pamphlets politiques et littéraires, Volumes 1-2Paulin, 1831 - France |
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... s'en ' fallait de beaucoup , toutefois , que l'élève fût deviné par le maître . Paul - Louis était destiné par son père à la car- rière du génie . A quinze ans , il était entre les mains des mathématiciens Callet et Labey . Il montrait ...
... s'en ' fallait de beaucoup , toutefois , que l'élève fût deviné par le maître . Paul - Louis était destiné par son père à la car- rière du génie . A quinze ans , il était entre les mains des mathématiciens Callet et Labey . Il montrait ...
Page 10
... s'en faire une idée en lisant les lettres , malheureusement peu nombreuses , adressées d'Italie par Courier à M. Chlewaski ( 1 ) . ( 1 ) OEuvres complètes . Sautelet et compagnie . En passant à Lyon ( en 1798 ) pour se ΤΟ ESSAI SUR LA ...
... s'en faire une idée en lisant les lettres , malheureusement peu nombreuses , adressées d'Italie par Courier à M. Chlewaski ( 1 ) . ( 1 ) OEuvres complètes . Sautelet et compagnie . En passant à Lyon ( en 1798 ) pour se ΤΟ ESSAI SUR LA ...
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... s'en fallut de beau- coup que cette Italie que Courier avait toujours désirée , lui vint fournir les riantes peintures auxquelles son ima- gination s'était sans doute préparée . A peine il eut passé les Alpes , que l'état d'oppression ...
... s'en fallut de beau- coup que cette Italie que Courier avait toujours désirée , lui vint fournir les riantes peintures auxquelles son ima- gination s'était sans doute préparée . A peine il eut passé les Alpes , que l'état d'oppression ...
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... s'en inquiéta . Cou- rier avait voulu intéresser à sa querelle l'opinion en France , toute faible qu'elle était alors . Il insinuait que les pédans florentins ne s'attaquaient à lui si vivement que parce qu'il était Français et qu'on ...
... s'en inquiéta . Cou- rier avait voulu intéresser à sa querelle l'opinion en France , toute faible qu'elle était alors . Il insinuait que les pédans florentins ne s'attaquaient à lui si vivement que parce qu'il était Français et qu'on ...
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... s'en fàcha et fit la lettre . On remarqua que , puisqu'il avait trouvé la place de Cla- vier assez honorable pour la vouloir occuper après lui , il s'était fustigé lui - même sur cette prétention en voulant humilier le corps entier des ...
... s'en fàcha et fit la lettre . On remarqua que , puisqu'il avait trouvé la place de Cla- vier assez honorable pour la vouloir occuper après lui , il s'était fustigé lui - même sur cette prétention en voulant humilier le corps entier des ...
Common terms and phrases
affaire agens Akerblad amis arpens assez avez Beaune Bonaparte bonhomme Bourgeau brochure Broë c'était cagots cent Chambord chose condamné coupe cour Courier courtisans curé d'autres d'Azai danser Decazes Dieu dire discours dit-il donne doute duc de Bordeaux écrit enfans eût femmes Florence Furia garde gendarmes gens gouvernement grec guerre Hérodote Homère homme honnêtes j'ai j'en jamais jeune jour juges l'Académie l'accusation l'auteur là-dessus laboureur Larçai lettre long-temps Longus Luynes m'en maire manuscrit ment messieurs messieurs les jurés mieux ministres mœurs monde Monsieur morale publique n'ai n'en noble noblesse outrage pable paie pamphlet Pamphlet des Pamphlets parler passe Paul-Louis Paul-Louis Courier pays paysan pense père personne peuple peut-être préfet présent président prêtres prince prison procureur public raison révolution rien s'en s'il Saint-Avertin Sainte-Pélagie sais sait savans savez seigneur semble serait seul sieur soldat sorte style terre tion trouve Véretz veut vigneron vilains Voilà voulait vrai
Popular passages
Page 7 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 250 - L'imitation de la cour est la peste du goût aussi bien que des mœurs. Un langage si poli , adopté par tous ceux qui , chez nous, se sont mêlés de traduire les anciens , a fait qu'aucun ancien n'est traduit , à vrai dire , et qu'on n'a presque point de versions qui gardent quelques traits du texte original.
Page 251 - ... c'est ce qui m'a décidé à entreprendre ceci, où j'emploie, comme on va voir, non la langue courtisanesque, pour user de ce mot italien, mais celle des gens avec qui je travaille à mes champs, laquelle se trouve quasi toute dans La Fontaine; langue plus savante que celle de l'Académie, et, comme j'ai dit, beaucoup plus grecque : on...
Page 42 - ... pas, de peur de me brouiller avec trop de gens. En ce temps, François Fouquet, allant au grand moulin, rencontra le curé, qui conduisait un mort au cimetière de Luynes. Le passage était étroit ; le curé, voyant venir Fouquet sur son cheval, lui crie de s'arrêter; il ne s'arrête point; d'ôter son chapeau, il le garde; il passe, il trotte, il éclabousse le curé en surplis. Ce ne fut pas tout ; aucuns disent, et je n'ai pas peine à le croire, qu'en passant il jura, et dit qu'il se moquait...
Page 224 - L'ambition le rend donc malheureux; mais, de plus, elle l'avilit et le dégrade. Que de bassesses pour parvenir! il faut paraître , non pas tel qu'on est , mais tel qu'on nous souhaite. Bassesse d'adulation , on encense et on adore l'idole qu'on méprise ; bassesse de lâcheté , il faut savoir essuyer des dégoûts , dévorer des rebuts, et les recevoir presque comme des grâces; bassesse de dissimulation, point de...
Page 7 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 10 - Loin de blâmer ces amusements, qui n'ont rien en eux-mêmes que de fort innocent, il y assiste et croit bien faire, y ajoutant par sa présence et le respect que chacun lui porte un nouveau degré de décence et d'honnêteté. Sage pasteur, vraiment pieux, le puissions-nous longtemps conserver pour le soulagement du pauvre, l'édification du prochain et le repos de cette commune, où sa prudence maintient la paix, le calme, l'union, la concorde.
Page 132 - C'est tout, si j'ai mémoire. Je vois ce qu'il veut dire : il entend que lui et moi sommes d'avis différent; peut-être se trompe-t-il.
Page 171 - Je serais la mouche du coche, qui se passera bien de mon bourdonnement. Il va, mes chers amis , et ne cesse d'aller. Si sa marche nous paraît lente, c'est que nous vivons un instant. Mais que de chemin il a fait depuis cinq ou six siècles! A cette heure, en plaine roulant , rien ne le peut plus arrêter.
Page 140 - C'est, pour le peuple, des impôts; pour les soldats, c'est du pain noir et des coups de bâton; des coups de bâton et du pain noir, voilà l'ancien régime pour vous. Voilà ce que vous alle2 rétablir, là d'abord, et ensuite chez vous.