 | Jacques-Antoine Dulaure - France - 1823 - 584 pages
...Ferrand. L'attaque de Beurnon» ville était lente ; mais il était retenu par le feu » très-vif des cinq redoutes qu'il ne pouvait pas » éteindre...» général l'eût renforcée de quatre pièces de » seize. Quant à Ferrand, son retard était inex» cusable. » Dumouriez y envoya le général Thouvenot... | |
 | 1823 - 428 pages
...son attaque commencée. 11 se rendit promptement au centre, où il attendit inutilement jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonville et Ferrand. L'attaque...Beurnonville était lente, mais il était retenu par le feu trèsvif des cinq redoutes, qu'il ne pouvait pas éteindre par celui de son artillerie, quoique le... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1823 - 436 pages
...son attaque commencée. ll se rendit promptement au centre, où il attendit inutilement jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonville et Ferrand. L'attaque...Beurnonville était lente, mais il était retenu par le feu trèsvif des cinq redoutes, qu'il ne pouvait pas éteindre par celui de son artillerie, quoique le... | |
 | Charles François Du Périer Dumouriez - France - 1823 - 770 pages
...son attaque commencée. 11 se rendit promptement au centre, où il attendit inutilement jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonville et Ferrand. L'attaque...Beurnonville était lente, mais il était retenu par le feu trèsvif des cinq redoutes, qu'il ne pouvait pas éteindre par celui de son artillerie, quoique le... | |
 | Marguerite (Mademoiselle) - France - 1836 - 572 pages
...rendis promptement au centre où j'attendis jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonvillc et de Ferrand. L'attaque de Beurnonville était lente ; mais il était retenu par le feu très-vif de cinq redoutes , qu'il ne pouvait éteindre par celui de son artillerie , quoiqu'elle 134... | |
 | France - 1848 - 496 pages
...Beurnonville et Ferrand. L'attaque de Beurnonville était lente; mais il était retenu par le feu très-vif des cinq redoutes , qu'il ne pouvait pas éteindre...le général l'eût renforcée de quatre pièces de seize. Quant à Ferrand , son retard était inexcusable. A onze heures il pria le général Thouvenot... | |
 | Charles François Du Périer Dumouriez - France - 1848 - 546 pages
...sonattaque commencée. 11 se rendit prompteinent au centre , où il attendit inutilement jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonville et Ferrand. L'attaque...Beurnonville était lente; mais il était retenu par le feu très-vif des cinq redoutes , qu'il ne pouvait pas éteindre par celui de son artillerie, quoique le... | |
 | François Barrière, Mathurin Lescure - France - 1848 - 490 pages
...attaque commencée. Il se rendit promptement au centre , où il attendit inutilement jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonville et Ferrand. L'attaque...Beurnonville était lente; mais il était retenu par le feu très-vif des cinq redoutes , qu'il ne pouvait pas éteindre par celui de son artillerie , quoique... | |
 | France - 1878 - 496 pages
...attaque commencée. Il se rendit promptement au centre , où il attendit inutilement jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonville et Ferrand. L'attaque...Beurnonville était lente; mais il était retenu par le feu très-vif des cinq redoutes , qu'il ne pouvait pas éteindre par celui de son artillerie , quoique... | |
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... se rendit promptement au centre, où il attendit inutilement jusqu'à onze heures des nouvelles de Beurnonville et Ferrand. L'attaque de Beurnonville était lente, mais il était retenu par le feu trèsvif des cinq redoutes, qu'il ne pouvait pas éteindre... 