Histoire d'Italie: depuis la chute de la République romaine jusqu'aux premières années du dix-neuvième siècle, Volume 1 |
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... charge aux anciens habitans , ces colons résolurent de choisir une nouvelle demeure . L'oracle de Dodone , consulté par leurs chefs , indiqua l'Italie , sous le nom de terre de Saturne . Aussitôt fut construite par les Pélasges une ...
... charge aux anciens habitans , ces colons résolurent de choisir une nouvelle demeure . L'oracle de Dodone , consulté par leurs chefs , indiqua l'Italie , sous le nom de terre de Saturne . Aussitôt fut construite par les Pélasges une ...
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... charges des provinces . + Des fleuves d'or coulaient à Rome de toutes les provinces , et servaient d'aliment au luxe le plus dévorateur . On voyait s'élever , comme par enchantement , de superbes palais , dont les murailles , les voûtes ...
... charges des provinces . + Des fleuves d'or coulaient à Rome de toutes les provinces , et servaient d'aliment au luxe le plus dévorateur . On voyait s'élever , comme par enchantement , de superbes palais , dont les murailles , les voûtes ...
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... charges curules , les sacerdoces et le sénat avec lesquels toute alliance était interdite aux plébéïens , par une loi des douze tables ressemblaient moins à des familles auxquelles les services de leurs ancêtres avaient valu quel- ques ...
... charges curules , les sacerdoces et le sénat avec lesquels toute alliance était interdite aux plébéïens , par une loi des douze tables ressemblaient moins à des familles auxquelles les services de leurs ancêtres avaient valu quel- ques ...
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... charges curules possédées par leurs familles . Les choses changèrent en- core dans la suite . Les richesses furent la seule différence qui existât parmi les Romains . On dé- termina quel bien il fallait avoir pour être com- pris dans le ...
... charges curules possédées par leurs familles . Les choses changèrent en- core dans la suite . Les richesses furent la seule différence qui existât parmi les Romains . On dé- termina quel bien il fallait avoir pour être com- pris dans le ...
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... charges publiques , donna la première atteinte au gouvernement populaire . Il partagea les citoyens en cent quatre - vingt- treize centuries , plus ou moins nombreuses suivant la fortune de ceux qui les composaient Il était juste , en ...
... charges publiques , donna la première atteinte au gouvernement populaire . Il partagea les citoyens en cent quatre - vingt- treize centuries , plus ou moins nombreuses suivant la fortune de ceux qui les composaient Il était juste , en ...
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Common terms and phrases
Alaric Alpes anciens Antoine armées armes assassiné Auguste avaient Barbares Bélisaire bientôt Brutus centuries César CHAPITRE christianisme Cicéron citoyens collègue Constantin Constantinople consul Crassus crimes culte Decimus Brutus déja dictateur dieux différens dignité Dioclétien donner empereurs enfans ennemis eût faisait femme fortune Gaules général Goths gouvernement Grecs guerre habitans historiens hommes impériale Italie Jésus Julien Justinien l'ancienne religion l'armée l'em l'empereur l'Italie légions Lépide liberté lois long-temps magistrats mains maître Marius Maximien Maximien Hercule ment mille Montesquieu monumens mort n'avait n'était nation Néron non-seulement Octave Ombri patrie pays père Perses Pompée porte pouvait préfets du prétoire Premier siècle prêtres prince proscrits provinces publique puissance Quatrièm Ravenne règne religion chrétienne république romaine reurs Rome s'était sénat sénat romain sénateurs seul Sicile Sixième siècle soldats souverain Strabon subsista Suétone Sylla Tacite temples terre Théodoric Tibère tion Toscans Totila triumvirs Troisième siècle trône troupes tyran Tyrréniens Vitigès
Popular passages
Page 4 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde ; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui...
Page 33 - ... toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Page 33 - Rome des divisions, et ces guerriers si fiers, si audacieux, si terribles au dehors, ne pouvaient pas être bien modérés au dedans. Demander dans un État libre des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles...
Page xiv - Mais je me trompe en disant une république chrétienne; chacun de ces deux mots exclut l'autre. Le christianisme ne prêche que servitude et dépendance. Son esprit est trop favorable à la ty- ; rannie pour qu'elle n'en profite pas toujours. Les vrais chrétiens sont faits pour être esclaves ; ils le savent et ne s'en émeuvent guère ; cette courte vie a trop peu de prix à leurs yeux.
Page 33 - Ce qu'on appelle union, dans un corps politique, est une chose très équivoque; la vraie est une union d'harmonie, qui fait que toutes les parties, quelque opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans la musique concourent à l'accord total.
Page 170 - Zodiaque, savoir (AL le Bélier, le Taureau, les Gémeaux, le Cancer, le Lion, la Vierge, la Balance, le Scorpion, le Sagittaire, le Capricorne, le Verseau et les Poissons), l'homme a ces choses depuis la tête, c'est-à-dire depuis le Bélier, jusqu'aux pieds, qui répondent aux Poissons (2).
Page 4 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent ou la précipitent : tous les accidents sont soumis à ces causes; et, si le hasard d'une bataille, c'est-à-dire une cause particulière, a ruiné un Etat, il y avait une cause générale qui faisait que cet Etat devait périr par une seule bataille ; en un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Page xii - ... relation particulière avec le corps politique , laisse aux lois la seule force qu'elles tirent d'elles-mêmes sans leur en ajouter aucune autre; et par là un des grands liens de la société particulière reste sans effet. Bien plus , loin d'attacher les cœurs des citoyens à l'état elle les en détache comme de toutes les choses de la terre.
Page xii - Reste donc la religion de l'homme ou le christianisme, non pas celui d'aujourd'hui, mais celui de l'Évangile, qui en est tout à fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les hommes, enfants du même Dieu, se reconnaissent tous pour frères, et la société qui les unit ne se dissout pas même à la mort.
Page 19 - Un prince d'une naissance incertaine, nourri par une femme prostituée, élevé par des bergers, et depuis devenu chef de brigands, jeta les fondements de la capitale du monde.