Elemens d'ideologie: 3e partie. Logique (An XII [1805] ; VIII, 671 p.)

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Page 108 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire...
Page 108 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 181 - ... sûrs) soit la source et le fondement de tous les autres : car il n'ya qu'un premier jugement qui puisse être absolu; tous les autres ne sont jamais que conditionnels et relatifs à celui-là. Aussi...
Page 199 - Je ne hais ni n'aime personne, je cherche à connaître. Les classes ne sont que dans nos têtes et non pas dans la nature. Il ya toujours des objets difficiles à classer. Les classes sont bonnes quand elles aident notre esprit dans ses recherches, sans lui faire prendre de fausses notions. Je prie que l'on se souvienne de cela toutes les fois que je parlerai de classement. M. de T[racy] distingue...
Page 10 - ... unies, quoiqu'elles ne le soient point véritablement. CHAPITRE III. Des dix catégories d'Aristote. On peut rapporter à cette considération des idées selon leurs objets, les dix catégories d'Aristote, puisque ce ne sont que diverses classes auxquelles ce philosophe a voulu réduire tous les objets de nos pensées, en comprenant toutes les substances sous la première, et tous les accidents sous les neuf autres.
Page 97 - Car dès que deux idées sont comparées , par cela même l'idée la plus générale , celle qui est susceptible de la plus grande extension ( l'attribut ) est restreinte à l'extension que comporte la plus particulière , la moins étendue , ( le sujet). Dans cette phrase l'homme est un G * animal , le terme animal est restreint à signifier un animalde l'espèce del

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