Mémoires. [With] Tables, 1754-1883, par A. Gasté |
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... forme la table des passages successifs de la Terre à son périhélie , et l'on calcule , pour chaque jour et pour une même révolution annuelle : 1o l'ano- malie excentrique , 2o l'anomalie vraie et le rayon vecteur , 3o la longitude ...
... forme la table des passages successifs de la Terre à son périhélie , et l'on calcule , pour chaque jour et pour une même révolution annuelle : 1o l'ano- malie excentrique , 2o l'anomalie vraie et le rayon vecteur , 3o la longitude ...
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... formes Troja nova et Trino- vantum qui se trouvent dans la Chronique latine . Le changement du nom de la capitale en London est attribué au roi Lud , peu antérieur à César , et qui fut enterré dans cette ville qui avait été son séjour ...
... formes Troja nova et Trino- vantum qui se trouvent dans la Chronique latine . Le changement du nom de la capitale en London est attribué au roi Lud , peu antérieur à César , et qui fut enterré dans cette ville qui avait été son séjour ...
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... - tient à la Bretagne encore païenne ; les idées chrétiennes , survenues plus tard , lui auraient donné la forme dans laquelle elle paraît chez les trouvères . Ronde , les sortiléges de Merlin , les exploits des 86 LES TROYENS.
... - tient à la Bretagne encore païenne ; les idées chrétiennes , survenues plus tard , lui auraient donné la forme dans laquelle elle paraît chez les trouvères . Ronde , les sortiléges de Merlin , les exploits des 86 LES TROYENS.
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... forme la plus ancienne de ce nom , tel qu'il apparaît dans les Edda , est Hoegni , qui est le frère et non pas , comme dans les Nibelungen , le vassal du roi Gunther ou Gunnar . les poètes allemands se mirent à traiter exprès ces sujets ...
... forme la plus ancienne de ce nom , tel qu'il apparaît dans les Edda , est Hoegni , qui est le frère et non pas , comme dans les Nibelungen , le vassal du roi Gunther ou Gunnar . les poètes allemands se mirent à traiter exprès ces sujets ...
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... forme la base de l'Eneide de Henri de Veldeke . Dans ces trois poèmes , les coutumes chevaleresques et les fables merveilleuses , venues de l'Orient , se confondent de la façon la plus étrange avec le sujet antique ( 1 ) . D'un autre ...
... forme la base de l'Eneide de Henri de Veldeke . Dans ces trois poèmes , les coutumes chevaleresques et les fables merveilleuses , venues de l'Orient , se confondent de la façon la plus étrange avec le sujet antique ( 1 ) . D'un autre ...
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Common terms and phrases
1er janvier Algonkin américains août arts assez Basque Bayeux Blanchet Boisguillebert Caen Calvados certitude choses cœur croyance déc degrés Démosthène Dieu divine donner douleur doute esprit faculté de connaître faculté de croire femme Fénelon fév fongibles Geoffroy de Monmouth Gorboduc h m h m h m h m Harpocration héliocentrique homme de lettres idiomes Isée janv jours juil juin l'Académie l'âme l'auteur l'Eskuara l'esprit humain l'évidence l'homme l'opinion langues algiques Layamon Lenapé Maisy Maizy mari mariage médecine membres titulaires ment misère monde Montdézert morale mort moyen-âge nature nombre Normandie objets passé pensée périhélie Petiville peuple philosophie plan horaire planète poème poète Positions successives possible premier probabilité professeur pronom Pyrrhi qu'un raison reste restitution rien s'il Saint-Simon sciences seigneur sent sept serait seul Société Soleil sorte souffrance TABLE III Suite terre Thiessé tion trouve Troyens URANUS valeur Vauban Vénus vérité voilà XVIIe siècle τὴν
Popular passages
Page 181 - Par toutes les recherches que j'ai pu faire, depuis plusieurs années que je m'y applique, j'ai fort bien remarqué que dans ces derniers temps, près de la dixième partie du peuple est réduite à la mendicité, et mendie effectivement ; que des neuf autres parties, il y en a cinq qui ne sont pas en état...
Page 248 - ... je trouve qu'elles dépendent du concours de deux causes, à savoir, de la faculté de connaître, qui est en moi, et de la faculté d'élire ou bien de mon libre arbitre, c'est-à-dire de mon entendement, et ensemble de ma volonté. Car par l'entendement seul je n'assure ni ne nie aucune chose , mais je conçois seulement les idées des choses que je puis assurer ou nier.
Page 182 - ... pas compter sur cent mille familles; et je ne croirais pas mentir quand je dirais qu'il n'y en a pas dix mille, petites ou grandes, qu'on puisse dire être fort à leur aise; et qui en ôterait les gens d'affaires, leurs alliés et adhérents couverts et découverts, et ceux que le roi soutient par ses bienfaits, quelques marchands, etc. je m'assure que le reste serait en petit nombre...
Page 283 - ... celle, ô Socrate, qui est la fin de tous ses travaux précédents : beauté éternelle, non engendrée et non périssable, exempte de décadence comme d'accroissement, qui n'est point belle dans telle partie et laide dans telle autre, belle seulement en tel temps...
Page 181 - ... ingénieurs, j'ai souvent eu occasion de donner carrière à mes réflexions, et de remarquer le bon et le mauvais des pays ; d'en examiner l'état et la situation, et celui des peuples, dont la pauvreté, ayant souvent excité ma compassion, m'a donné lieu d'en rechercher la cause.
Page 270 - On ne. doit jamais donner de consentement entier, qu'aux propositions qui paraissent si évidemment vraies, qu'on ne puisse le leur refuser sans sentir une peine intérieure et des reproches secrets de la raison...
Page 249 - Car elle consiste seulement en ce que nous pouvons faire une même chose ou ne la faire pas, c'est-à-dire affirmer ou nier, poursuivre ou fuir une même chose...
Page 182 - ... et embarrassées de dettes et de procès, et que, dans la dixième, où je mets tous les gens d'épée, de robe, ecclésiastiques et laïques, toute la noblesse haute, la noblesse distinguée et les gens en charge militaire et civile, les bons marchands, les bourgeois rentes et les plus accommodés, on ne peut pas compter sur cent mille familles...
Page 179 - ... commerce de ces choses (dont les uns ont abondance et les autres disette), la fréquentation, conversation et société humaine soit entretenue entre les nations, tant éloignées puissent-elles être les unes des autres...
Page 250 - ... je ne pouvais pas m'empêcher de juger qu'une chose que je concevais si clairement était vraie : non que je m'y trouvasse forcé par aucune cause extérieure, mais seulement parce que d'une grande clarté qui était en mon entendement a suivi une grande inclination en ma volonté ; et je me suis porté à croire avec d'autant plus de liberté, que je me suis trouvé avec moins d'indifférence.