Voyages en Guinée et dans les îles Caraïbes en Amérique

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Maradan, 1793 - Africa, West - 391 pages
 

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Popular passages

Page 22 - Les palissades, ainsi qu'on l'a déjà observé, environnaient tout le sommet de la colline, tant du côté de la mer que du côté de la terre...
Page 203 - L'adultère1 eft puni ici plus févèrement que le vol. Lorfqu'un Nègre ordinaire eft attrapé auprès de la femme d'un autre, ce dernier a le droit de le vendre , ou bien il' doit fe racheter de la valeur de fa perfonne. Si l'adultère eft commis avec la femme d'un grand, il doit payer la valeur de trois efclaves ; & fi c'eft une des femmes du roi , on fait mourir le fédu6teur , & fa famille eft vendu*. Le roi & les grands...
Page 11 - Le superbe mélange de ses couleurs , dit - il , auroit excité l'admiration du plus stupide et du plus indifférent aux beautés de la Nature ; le noir , le blanc , le bleu de saphir , le cramoisi se marioient transversalement dans toute la longueur de l'oiseau. Je ne pus parvenir à faire la description de cette charmante bête , qui n'est point connue des ornithologistes.
Page 125 - Ils en font porter même à leurs chiens et à leurs moutons, parceque cela doit les protéger de toutes sortes de maladies. Tous les coins de leurs maisons sont remplis d'idoles de figures d'hommes qu'ils se fabriquent de terre glaise ou de bois et qu'ils peignent de diverses couleur?. Dans toutes les cours, à droite vers la porte est un...
Page 216 - Nègres ont une tendreflè. extraordinaire pour leurs enfans ; ils ne les battent prefque jamais. Les mères les allaitent des années entières, lorfque dans l'intervalle il n'en furvient point d'autre.
Page 125 - ... couleurs. Dans toutes les cours, à droite vers la porte est un grand vase de terre rempli d'eau posé sur un piédestal de terre, de figure conique, de la hauteur de deux à trois pieds, lequel est garni d'autres petits pots affermis très près l'un de l'autre.
Page 125 - ... terre, de figure conique, de la hauteur de deux à trois pieds, lequel est garni d'autres petits pots affermis très près l'un de l'autre. Dans l'eau du vase, il ya toujours une plante consacrée, qui y pullule bientôt, et remplit toute la capacité du vase, sans le secours d'aucune terre.
Page 157 - Me promenant un jour feul dans le jardin au fort, j'en vis un roulé en peloton qui dormoit au pied d'un arbre. J'eus infiniment de plaifir...

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