Page images
PDF
EPUB

.F.

་་་་་་་་་་

www

Aux anciens et aux nouveaux Abonnés des Annales, par M. BONNETTY. P. 5

Cours d'histoire des États européens modernes depuis le 4e siècle jusqu'en
1790, par Schoell, (1er article); De la primauté du pontife romain; par
M. DUNONT.

De la philosophie moderne et des croyances antiques, par M.

[ocr errors]

Quelques réflexions sur le plan total de la création et la Palingénésie hu-
maine de M. Nodier, par L. H. (d. J.)

[ocr errors][merged small][merged small]

Bibliographie. Mithriaca. — Antiquités mexicaines. -

Histoire de toutes

Seconde lettre sur le système hiéroglyphique de M. Champollion, considéré
dans ses rapports avec l'Écriture sainte, par M. Ath. Coquerel.

Croyance des peuples de l'antiquité sur une vierge-mère, par M. DRACH. 103

Nouvelles vues sur la direction à donner à l'enseignement (1er art.), par

De la poésie contemporaine dans ses rapports avec le catholicisme; M. Ch.
Brugnot; par M. H.

156

177

332557

[blocks in formation]

De l'influence de la philosophie du 18e siècle sur la législation et la socia-
bilité du 19, par M. Lerminier; par P. P. M.

203

DE

PHILOSOPHIE CHRÉTIENNE,

Numéro 37.- Juillet 1833.

Aux anciens et aux nouveaux Abonnés

DES ANNALES DE PHILOSOPHIE CHRÉTIENNE.

Situation

dens Numéros.

Annales. Coup d'œil sur les travaux insérés dans les précéDéveloppement que vont prendre nos publications. T Indication de quelques-unes des matières qui seront traitées dans les prochains Numéros. - Découvertes. Sciences. -Littérature, etc.

La plupart de nos Abonnés ont regretté que nous avions interrompu l'espèce de compte-rendu ou de communication familière que nous avions coutume de leur faire à la fin de chaque semestre. Ils se sont plaints aussi de ce que toutes les promesses qui leur avaient été faites dans la dernière communication de ce genre, qui a été insérée dans le N° 12 du mois de juin 1831, n'ont pas été scrupuleusement remplies.

Nous avouons ici que leurs plaintes sont fondées jusqu'à un certain point, et que leurs demandes sont justes à quelques égards. Mais nous les prions de vouloir nous dispenser d'énumérer toutes les raisons qui pourraient nous excuser. De quoi cela servirait-il? Nous croyons bien mieux répondre à

1

leur attente et mieux remplir aussi le but que nous poursuivons les uns et les autres, en leur apprenant que, par suite de nouveaux arrangemens pris entre les Éditeurs des Annales, les causes de ces négligences n'existent plus, et qu'ainsi elles ne peuvent plus se renouveler.

Aussi allons-nous leur confier, comme nous le faisions alors, nos projets, nos espérances, les travaux que nous avons commencés, nos pensées sur ceux qui sont déjà terminés, en un mot, tout ce que nous savons sur l'état des travaux qui se font çà et là, en silence ou au grand jour, pour la reconstruction et la splendeur de l'Église du Christ, et la grande cause de notre Dieu. Car quelle autre cause est vraiment digne de nos veilles et de nos dévouemens que celle de cette Église, qui fut notre berceau, qui devrait être pour tous les hommes la cité de leur choix, et qui sera, nous en avons la confiance, le lit de repos où nos membres fatigués attendront cette palingénésie ou naissance nouvelle et mystérieuse, dont parlent quelques sages, et dont nos Livres nous font entrevoir les merveilleux effets?

Cependant, comme les nouveaux arrangemens dont nous parlons ne datent que du 6 juillet, il nous sera impossible de dire ici tout ce que nous avons dans la volonté ou le désir d'exécuter pour donner un nouvel essor à nos publications, et leur assurer un plus grand développement; mais, pressés que nous sommes de reprendre avec nos Abonnés ces communications plus intimes, désireux de provoquer leurs observations et leurs vues en leur faisant part des nôtres, nous croyons leur faire plaisir en traçant une analyse rapide et nécessairement incomplète de nos travaux précédens et de ceux que nous nous proposons d'insérer dans les cahiers qui vont

suivre.

Le premier besoin de l'époque est sans contredit celui d'une bonne, véritable et chrétienne instruction à donner à l'enfance et à la jeunesse. C'est à ce soin que doivent s'appliquer ceux qui veulent guérir ou régénérer notre sociéte malade. Car c'est sur cette terre que la semence de la vérité, jetée avec sagesse et science, prend le plus tôt racine, se développe avec le plus d'éclat, et produit ces fruits qui fleurissent pour la vie éternelle. Et cependant on ne s'en occupe presque pas. On perd le tems

« PreviousContinue »