Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil; vous me dérobez ses rayons, vous enlevez la portion qui m'est due. Ce soleil ne se couche jamais, et ne souffre aucun nuage que ceux qui sont formés par nos passions : c'est un jour sans ombre; il éclaire... Traité de l'existence et des attributs de Dieu - Page 90by François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1872 - 299 pagesFull view - About this book
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 752 pages
...jamais besoin de dire à un autre : retirez- vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons; vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...il n'ya que les yeux malades qui se ferment à sa lumiere; et encore même n'y at-il point d'homme si malade et si aveugle , qui ne marche encore à... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 748 pages
...jamais besoin de dire à un autre : retirez- vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons; vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...il n'ya que les yeux malades qui se ferment à sa lumiere; et encore même n'y at-il point d'homme si malade et si aveugle , qui ne marche encore à... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 446 pages
...jamais besoin de dire à un autre : retirez-vous pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons; vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...malades qui se ferment à sa lumière ; et encore n'y at-il point d'homme si malade et si aveugle , qui ne marche encore à la lueur de quelque lumière... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French literature - 1810 - 538 pages
...jamais besoin de dire à un autre : retirezvous , pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons; vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...souffre aucun nuage que ceux qui sont formés par HO? et ce faut la déc partie èg»e. js. ne posr^uns rendnût initnE consolutna ai irnn'h nân fi... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1820 - 558 pages
...jamais besoin de dire à un autre : Retirez-vous , pour me laisser voir ce soleil; vous me dérobez ses rayons ; vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...sauvages mêmes dans les antres les plus profonds -ci les plus obscurs : il n'ya que les yeux malades qui se ferment à sa lumière ; et encore même... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 546 pages
...jamais besoin de dire à un autre: retirezvous pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons; vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...c'est un jour sans ombre : il éclaire les sauvages mûmes dans les antres les plus profonds et les plus obscurs : il n'ya que les yeux malades qui se... | |
| Albert Fritot - International law - 1823 - 476 pages
...jàmaisbesoin de dire à un autre homme: Retirez-vous pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons , vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...encore même n'y at-il point d'homme si malade et si aveugle , qui ne marche encore à la lueur de quelque lumière sombre qui lui reste de ce soleil intérieur... | |
| Albert Fritot - International law - 1823 - 486 pages
...besoin de dire à un autre homme : Retirez-vous pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons , vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...qui se ferment à sa lumière ; et encore même n'y at il point d'homme si malade et si aveugle , qui ne marche encore à la lueur de quelque lumière... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French literature - 1835 - 748 pages
...jamais besoin de dire à un autre : Relirez-vous , pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons, vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...sans ombre ; il éclaire les sauvages mêmes dans les autres les plus profonds et les plus obscurs : il n'ya que les yeux malades qui se fermenta sa lumière... | |
| Louis Auguste Delalle - Theology - 1838 - 564 pages
...jamais besoin de dire à un autre : Retirez- vous pour me laisser voir ce soleil, vous me dérobez ces rayons, vous enlevez la portion qui m'est due. Ce...c'est un jour sans ombre. Il éclaire les sauvages même dans les antres les plus profonds et les plus obscurs. Il n'y a que les yeux malades qui se ferment... | |
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