Précurseurs Et Disciples de Descartes |
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... SIÈCLE . OENÉSIDĖME . DE VARIA SANCTI ANSELMI IN PROSLOGIO ARGUMENTI FORTUNA . INTRODUCTION A LA CITÉ DE DIEU DE SAINT AUGUSTIN . LA CITE DE DIEU DE SAINT AUGUSTIN . INTRODUCTION CRITIQUE AUX OEUVRES DE SPINOZA . OEUVRES DE SPINOZA ...
... SIÈCLE . OENÉSIDĖME . DE VARIA SANCTI ANSELMI IN PROSLOGIO ARGUMENTI FORTUNA . INTRODUCTION A LA CITÉ DE DIEU DE SAINT AUGUSTIN . LA CITE DE DIEU DE SAINT AUGUSTIN . INTRODUCTION CRITIQUE AUX OEUVRES DE SPINOZA . OEUVRES DE SPINOZA ...
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... philosophie en France au XVIIe siècle , deux vol . in - 8 ° , 1846 . ⚫ Voyez la dernière édition du livre de M. Francisque Bouillier . 1854 , deux vol . in - 8o . dre , Jérôme d'Ascoli , dans ce fameux couvent des AVANT - PROPOS . III.
... philosophie en France au XVIIe siècle , deux vol . in - 8 ° , 1846 . ⚫ Voyez la dernière édition du livre de M. Francisque Bouillier . 1854 , deux vol . in - 8o . dre , Jérôme d'Ascoli , dans ce fameux couvent des AVANT - PROPOS . III.
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... siècle un événement consi- dérable ; oui , Ramus a réuni sur la place Cambray une jeunesse aussi ardente et aussi nombreuse que celle qui 1 Ramus , sa vie , ses écrits et ses opinions , par Charles Wad- dington , professeur agrégé de ...
... siècle un événement consi- dérable ; oui , Ramus a réuni sur la place Cambray une jeunesse aussi ardente et aussi nombreuse que celle qui 1 Ramus , sa vie , ses écrits et ses opinions , par Charles Wad- dington , professeur agrégé de ...
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... siècle jusqu'à nos jours , tel est le but commun des quatre études que nous avons consacrées à Descartes , à Spinoza , à Malebranche et à Leibnitz . Quel est le véritable sens du cartésianisme ? C'est une question qui divise encore les ...
... siècle jusqu'à nos jours , tel est le but commun des quatre études que nous avons consacrées à Descartes , à Spinoza , à Malebranche et à Leibnitz . Quel est le véritable sens du cartésianisme ? C'est une question qui divise encore les ...
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... siècle perd de sa gravité ; elle n'est plus qu'un accident curieux du développement philosophique des enfants d'Israël . Et voilà Descartes affranchi d'une pa- ternité bien lourde , voilà les origines de la philosophie française ...
... siècle perd de sa gravité ; elle n'est plus qu'un accident curieux du développement philosophique des enfants d'Israël . Et voilà Descartes affranchi d'une pa- ternité bien lourde , voilà les origines de la philosophie française ...
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Common terms and phrases
absolue abstrait âme Aristote Arnauld attributs de Dieu Avempace Avicenne Bible Bossuet c'est-à-dire cartésienne cause choses Cogito ergo sum concevoir conscience conséquent corps créateur d'Aristote dire disciple dit-il doctrine écrits effet esprit essence éternel fond force franciscain général génie géométrie Guide des égarés Hegel hommes Ibid idées infinie intelligence Juifs Kabbale l'abbé Blampignon l'âme humaine l'entendement l'esprit humain l'essence l'étendue l'Éthique l'être l'existence l'homme l'idée de Dieu l'infini l'univers Leibnitz lettres liberté livre logique losophie lui-même Maïmonide Malebranche mathématiques matière Méditations ment métaphysique méthode modes monde morale nature nécessaire noza panthéisme parfait pensée divine père Malebranche perfection philo philosophie de Descartes physique Platon premier principe problème prophètes Propos puissance qu'un raison Ramus réalité réforme reste rien Roger Bacon s'il sagesse saint Anselme Samuel Jebb savant Schol science sens sentiment seule siècle sorte Spinoza substance système théorie tion Traité théologico-politique trouve vérité Voilà volonté vrai Zohar
Popular passages
Page 179 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier ^s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui , l'univers n'en sait rien.
Page 130 - Puis examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point, et qu'au contraire de cela même que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très évidemment et très certainement que j'étais...
Page 122 - Et ainsi les actions de la vie ne souffrant souvent aucun délai, c'est une vérité très certaine que, lorsqu'il n'est pas en notre pouvoir de discerner les plus vraies opinions, nous devons suivre les plus probables ; et même qu'encore que nous ne remarquions point davantage de probabilité aux unes qu'aux autres, nous devons néanmoins nous déterminer à quelques-unes...
Page 122 - Ma seconde maxime était d'être le plus ferme et le plus résolu en mes actions que je pourrais, et de ne suivre pas moins constamment les opinions les plus douteuses, lorsque je m'y serais une fois déterminé, que si elles eussent été très assurées...
Page 123 - Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde...
Page 146 - Dieu se trouve contenue) par la même faculté par laquelle je me conçois moi-même; c'est-à-dire que, lorsque je fais réflexion sur moi, non seulement je connais que je suis une chose imparfaite, incomplète, et dépendante d'autrui, qui tend et qui aspire sans cesse à quelque chose de meilleur et de plus grand que je ne suis...
Page 116 - Je me plaisais surtout aux mathématiques, à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons, mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques, je m'étonnais de ce que, leurs fondements étant si fermes et si solides, on n'avait rien bâti dessus de plus relevé.
Page 136 - Dieu existe ; car, encore que l'idée de la substance soit en moi de cela même que je suis une substance, je n'aurais pas néanmoins l'idée d'une substance infinie, moi qui suis un être fini, si elle n'avait été mise en moi par quelque substance qui fût véritablement infinie.
Page 118 - Il est vrai que nous ne voyons point qu'on jette par terre toutes les maisons d'une ville pour le seul dessein de les refaire d'autre façon et d'en rendre les rues plus belles; mais on voit bien que plusieurs font abattre les leurs pour les rebâtir, et que même quelquefois ils y sont contraints quand elles sont en danger de tomber d'ellesmêmes et que les fondements n'en sont pas bien fermes.
Page 118 - ... je demeurais tout le jour enfermé seul dans un poêle, où j'avais tout le loisir de m'entretenir de mes pensées. Entre lesquelles l'une des premières fut que je m'avisai de considérer que souvent il n'ya pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces, et faits de la main de divers maîtres , qu'en ceux auxquels un seul a travaillé.