Histoire des variations des Églises protestantes, suivie des Avertissemens aux protestans, sur les lettres du ministre Jurieu, Volume 3 |
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armes assez auteur avant Avert avoient avoit avoue Basnage bonne c'est-à-dire Calvin Catholiques cause chose chrétiens christianisme clairement commencement constant contraire crime d'autres d'avoir David demande dernier Dieu dire dit-il divin doctrine dogmes doit donner écrit effet Eglise enfin erreur esprit établi étoient étoit exemple femme fidèles Fils fond force forme Frères fût gens guerre hommes Ibid j'ai Jésus-Christ juge Jurieu jusqu'à l'Ecriture l'Eglise l'Histoire laisse Lett lettre lieu livre loin lois lui-même Luther main manifeste maximes ment ministre monde montrer mort moyen n'en n'étoit n'ont nécessité nombre non-seulement parler paroles particulier passer péché Pères personne peuple porte pouvoir premiers preuve prières prince propre Protestans puissance qu'à qu'en qu'un raison Réforme religion reste rien rois romaine s'en s'il saint sait salut sauver sentiment seroit seulement siècles sorte souverain suite sujet termes tion traité trouve Variations vérité veut vient VIII Voilà voit voyez vrai
Popular passages
Page 482 - Basnage a bien répondu à son attente. Mais savoir si sa réponse est solide et ses raisons soutenables, cet essai le fera connoître. Nous reviendrons, s'il le faut, à M. Jurieu : les écrits où l'on m'avertit qu'il répand sur moi tout ce qu'il a de venin, ne sont pas encore venus à ma connoissance ; je les attends avec joie, non-seulement parce que les injures et les calomnies sont des couronnes à un chrétien et à un évêque, mais encore comme un témoignage de la foiblesse de sa cause....
Page 444 - Loin que le peuple en cet état soit souverain , il n'ya pas même de peuple en cet état. Il peut bien y avoir des familles , et encore mal gouvernées et mal assurées; il peut bien y avoir une troupe, un amas de monde , une multitude confuse : mais il ne peut y avoir de peuple ; parce qu'un peuple suppose déjà quelque chose qui réunisse quelque conduite...
Page 476 - Et il est bien vraisemblable que nous, desquels jamais n'a été ouïe une seule parole séditieuse, et desquels la vie a toujours été connue simple et paisible, quand nous vivions sous vous, Sire, machinions de renverser les royaumes...
Page 405 - Car qui jamais a imaginé qu'un tel droit pût se trouver parmi les hommes , ni qu'il y eût un droit de renverser le droit même , c'est-à-dire , une raison pour agir contre la raison ; puisque le droit n'est autre chose que la raison même , et la raison la plus certaine , puisque c'est la raison reconnue par le consentement des hommes?
Page 446 - II est donc certain qu'il n'ya aucune relation de maître, de serviteur, de père, d'enfant, de mari, de femme , qui ne soit établie sur un pacte mutuel et sur des obligations mutuelles : en sorte que quand une partie anéantit ces obligations , elles sont anéanties de l'autre.
Page 444 - ... originairement de la multitude ou du peuple. Mais il ne faut pas conclure de là , avec M. Jurieu , que le peuple comme un souverain ait distribué les pouvoirs à un chacun : car pour cela il faudroit déjà qu'il j eût ou un souverain , ou un peuple réglé ; ce que nous voyons qui n'étoit pas.
Page 457 - C'est même un bien pour le peuple que le gouvernement devienne aisé ; qu'il se perpétue par les mêmes lois qui perpétuent le genre humain, et qu'il aille pour ainsi dire avec la nature.
Page 32 - Ce n'est pas vous qui m'avez choisi, mais c'est moi qui vous ai choisis, et qui vous ai établis, afin que vous alliez et que vous portiez du fruit...
Page 428 - ... et à la conservation de ceux qui le servent. Dieu veut donc que le peuple entende que c'est au roi à juger ces cas, et que s'il excède son pouvoir, il n'en doit compte qu'à lui : de sorte que le droit qu'il a n'est pas le droit de faire licitement ce qui est mauvais ; mais le droit de le faire impunément à l'égard de la justice humaine...
Page 131 - ... pour tous les élus une préférence gratuite de la divine miséricorde, une grâce toujours prévenante, toujours nécessaire pour toutes les œuvres de piété ; et dans tous ceux qui les pratiquent, une conduite spéciale qui les y conduit. C'est ce qu'on ne trouvera jamais dans les semi-pélagiens. Que si on passe plus avant...