Études sur la dialectique dans Platon et dans Hégel |
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absolue abstraite Aristote beauté c'est-à-dire choses sensibles cipe connaissance conséquences considérer contemplation contradiction contradictoires contraire Cratyle critique d'Aristote d'Héraclite déduction définition démontrer déterminé développement devenir dialectique dialogue Dieu différence dire doctrine elle-même esprit essence éternel Euclide forme général généralisation genre Hégel Héraclite hypothèse Ibid idéal idées indéterminé intelligible Kant Kuno Fischer l'absolu l'âme l'amour l'analyse l'école l'égalité l'esprit l'essence l'étre l'être pur l'existence l'homme l'hypothèse l'idée l'intelligence l'objet l'opinion l'un l'unité lectique logique lois lui-même mathématiques Mégare ment métaphysique méthode monde mouvement multitude nature nécessaire nombre non-être notion objet panthéisme Parménide pensée Phédon Phèdre phénomènes Philèbe Philolaüs philosophie Platon pluralité premier principe des choses Proclus Protagoras Pythagore pythagoriciens qu'une raison réalité réfutation rien savoir science scolastique sens sensation serait seulement Socrate Soph Sophiste sorte supposer système terme Théétète théorie théorie des idées tion tique unité vérité vrai Zénon Zénon d'Elée δὲ καὶ πρὸς τὰ Τί ἔπεται τὸ τῶν
Popular passages
Page 278 - Mais' quoi, par Jupiter ! nous persuadera-t-on si facilement que dans la réalité le mouvement, la vie, l'âme, l'intelligence ne conviennent pas à l'être absolu? que cet être ne vit ni ne pense, et qu'il demeure immobile, immuable , sans avoir part à l'auguste et sainte intelligence?
Page 237 - Je le demande, quelle ne serait pas la destinée d'un mortel à qui il serait donné de contempler le beau sans mélange, dans sa pureté et sa simplicité, non plus revêtu de chairs et de couleurs humaines, et de tous ces vains agréments condamnés à périr ; à qui il serait donné de voir face à face sous sa forme unique, la beauté divine...
Page 279 - ... vu dans son voyage à la suite de Dieu , lorsque dédaignant ce que nous appelons improprement des êtres , elle élevait ses regards vers le seul être véritable. Aussi est-il juste que la pensée du philosophe ait seule des ailes : car sa mémoire est toujours autant que possible avec les choses qui font de Dieu un véritable Dieu , en tant qu'il est avec elles.
Page 235 - Aux dernières limites du monde intellectuel, est l'idée du bien qu'on aperçoit avec peine , mais qu'on ne peut apercevoir sans conclure qu'elle est la cause de tout ce qu'il ya de beau et de bon ; que dans le monde visible, elle produit la lumière et l'astre de qui elle vient directement ; que dans le monde invisible...
Page 232 - ... moyen pour découvrir quels sont les nombres harmoniques et ceux qui ne le sont pas, ni d'où vient entre eux cette différence.
Page 124 - Or c'est là le ressouvenir de ce que notre âme a vu dans son voyage à la suite de Dieu, lorsque, dédaignant ce que nous appelons improprement des êtres , elle élevait ses regards vers le seul être véritable. Aussi est-il juste que la pensée du philosophe ait seule des ailes ; car...
Page 160 - Je vous soutiens que vous ne pourriez jamais penser à ces formes abstraites de genres et d'espèces, si l'idée de l'infini, qui est inséparable de votre esprit, ne se joignait tout naturellement aux idées particulières que vous apercevez.
Page 237 - ... s'y élever sans cesse en passant pour ainsi dire par tous les degrés de l'échelle, d'un seul beau corps à deux, de deux à tous les autres, des beaux corps aux beaux sentiments, des beaux sentiments aux belles connaissances, jusqu'à ce que de connaissances en connaissances...
Page 94 - Il ya apparence. SOCRATE Penses-tu qu'il eût entrepris de chercher ou d'apprendre ce qu'il croyait savoir, encore qu'il ne le sût point, avant d'être parvenu à douter, et jusqu'à ce que, convaincu de son ignorance, il a désiré savoir ? MÉNON Je ne le pense pas, Socrate.
Page 9 - Philolaùs aient donnée à leurs expressions arithmétiques, ils se reconnaissaient à ce trait singulier d'avoir aperçu partout des rapports numériques , et d'avoir ramené à ces rapports l'harmonie et la beauté des choses. A ce point de vue, tout ce qu'il ya d'extraordinaire et d'étrange dans les formules pythagoriciennes disparaît aisément.