Résumé de l'histoire de la littérature française rédige d'après les ouvrages de Baron, Demogeat, Géruzez, Nisard, Sainte-Beuve, Ville main etc1875 |
From inside the book
Results 1-5 of 50
Page 3
... langue française . Barante , Tableau de la littérature française du XVIIIe siècle . Baron , Histoire abrégée de la littérature française depuis son origine jusqu'au XVIIe siècle . Bruxelles 1851 . Biographie des Contemporains . Paris ...
... langue française . Barante , Tableau de la littérature française du XVIIIe siècle . Baron , Histoire abrégée de la littérature française depuis son origine jusqu'au XVIIe siècle . Bruxelles 1851 . Biographie des Contemporains . Paris ...
Page 4
... langue française , ses origines , ses dévelop- pements , ses transformations . Martin , Henri , Histoire de France . Michiels , A. , Histoire des idées littéraires en France au XIXe siècle et de leur origine dans les siècles précédents ...
... langue française , ses origines , ses dévelop- pements , ses transformations . Martin , Henri , Histoire de France . Michiels , A. , Histoire des idées littéraires en France au XIXe siècle et de leur origine dans les siècles précédents ...
Page 5
... langue à tous les peuples vaincus et il est bien naturel que ce ne fut pas la langue savante , mais l'idiome vulgaire qui se substitua au celtique . Les classes supérieures de la population adoptèrent avec ardeur et succès les moeurs ...
... langue à tous les peuples vaincus et il est bien naturel que ce ne fut pas la langue savante , mais l'idiome vulgaire qui se substitua au celtique . Les classes supérieures de la population adoptèrent avec ardeur et succès les moeurs ...
Page 6
Ludwig Noiré. civilisation , la langue , la littérature des vainqueurs ; la vieille langue celtique ne vécut que dans les campagnes , la doctrine des druides se cacha dans les montagnes de l'Auvergne et dans la Bretagne . Cet état des ...
Ludwig Noiré. civilisation , la langue , la littérature des vainqueurs ; la vieille langue celtique ne vécut que dans les campagnes , la doctrine des druides se cacha dans les montagnes de l'Auvergne et dans la Bretagne . Cet état des ...
Page 7
... langue latine familière d'ailleurs à la plus grande partie des peuples vaincus resta donc la langue du culte , de l'instruction et des affaires publiques . Des débris du celtique , la première langue des Gaulois qui en dépit des Romains ...
... langue latine familière d'ailleurs à la plus grande partie des peuples vaincus resta donc la langue du culte , de l'instruction et des affaires publiques . Des débris du celtique , la première langue des Gaulois qui en dépit des Romains ...
Common terms and phrases
admirable allégoriques antiques auteur Bertran de Born Boileau brillante c'était caractère chansons chants Charlemagne Charles charme chef-d'oeuvre chevaleresque chevalier chose chrétienne coeur composa contemporains contes Dieu dramatique drame écrit écrivains élégante éloquence époque esprit féodale forme François Ier génie genre gloire goût Grèce guerre Henri Henri IV héros Histoire hommes humaine idées imitateurs Jean de Meung l'âme l'auteur l'école l'éloquence l'esprit l'histoire l'homme l'imagination langage langue langue d'oïl langue romane latin lettres littéraire littérature française livre Louis XIV lui-même lyrique maître moderne moeurs Molière Montaigne morale mort moyen âge mystères nation nature noble oeuvres ouvrage passé passions pensée personnages peuple philosophie poèmes poésie poète poétique politique populaire premier prose récits réforme règne religieux religion révolution Roland romans romans chevaleresques Ronsard Rousseau satire savants scène science sentiment seul société souvent style sujet surtout talent théâtre tion tragédie troubadours trouvères vérité Voltaire Walter Scott XIIe XVIe XVIIIe siècle
Popular passages
Page 99 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 75 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir.
Page 109 - Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l'oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie et qui fût préjudiciable à l'Europe et au genre humain, je le regarderais comme un crime.
Page 85 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 133 - ... la religion chrétienne est la plus poétique, la plus humaine, la plus favorable à la liberté, aux arts et aux lettres, que le monde moderne lui doit tout, depuis l'agriculture jusqu'aux sciences abstraites, depuis les hospices pour les malheureux jusqu'aux temples bâtis par Michel-Ange et décorés par Raphaël.
Page 116 - Vous vous fiez à l'ordre actuel de la société sans songer que cet ordre est sujet à des révolutions inévitables, et qu'il vous est impossible de prévoir ni de prévenir celle qui peut regarder vos enfants. Le grand devient petit, le riche devient pauvre, le monarque devient sujet : les coups du sort sont-ils si rares que vous puissiez compter d'en être exempt ? Nous approchons de l'état de crise et du siècle des révolutions...
Page 108 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 56 - L'art de faire des vers, dût-on s'en indigner, Doit être à plus haut prix que celui de régner.
Page 78 - Versailles, le plus triste et le plus ingrat de tous les lieux, sans vue, sans bois, sans eau, sans terre, parce que tout y est sable mouvant ou marécage, sans air par conséquent, qui n'y peut être bon.
Page 57 - Eclate par soi-même, et moi par ma grandeur. Si du côté des dieux je cherche l'avantage, Ronsard est leur mignon, et je suis leur image. Ta lyre qui ravit par de si doux accords, T'asservit les esprits dont je n'ai que les corps ; Elle t'en rend le maître, et te sait introduire Où le plus fier tyran ne peut avoir d'empire.