Pensées fragments et lettres, publ. par P. Faugère, Volume 11844 |
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... dernière maladie , Pascal , ayant fait appeler le curé de Saint - Étienne - du- Mont ' , eut occasion de lui dire quelque chose des difficultés qui l'avaient un instant séparé de Ni- cole et d'Arnauld dans la question du formulaire . Le ...
... dernière maladie , Pascal , ayant fait appeler le curé de Saint - Étienne - du- Mont ' , eut occasion de lui dire quelque chose des difficultés qui l'avaient un instant séparé de Ni- cole et d'Arnauld dans la question du formulaire . Le ...
Page xxv
... dernière déclaration : c'est pour- quoi ils ne voulaient pas que la Vie de Pascal fût publiée sans que cette pièce y fût insérée . D'un autre côté , ils jugeaient qu'il n'était pas sans dan- ger de publier la vérité sur les opinions ...
... dernière déclaration : c'est pour- quoi ils ne voulaient pas que la Vie de Pascal fût publiée sans que cette pièce y fût insérée . D'un autre côté , ils jugeaient qu'il n'était pas sans dan- ger de publier la vérité sur les opinions ...
Page xliii
... dernière par ceux - ci ( idem ) , est « < composé des petits papiers écrits d'un côté , ou de feuilles vo- lantes qui ont été trouvées après la mort de monsieur Pascal , mon << oncle , parmi ses papiers , et sont les originaux du livre ...
... dernière par ceux - ci ( idem ) , est « < composé des petits papiers écrits d'un côté , ou de feuilles vo- lantes qui ont été trouvées après la mort de monsieur Pascal , mon << oncle , parmi ses papiers , et sont les originaux du livre ...
Page lxx
... dernières années de sa vie pour son Apologie du christianisme . Au milieu des maté- riaux confusément épars et incomplets de cet ouvrage , nous nous sommes d'abord efforcé d'en retrouver le plan primitif : nous sommes bientôt resté ...
... dernières années de sa vie pour son Apologie du christianisme . Au milieu des maté- riaux confusément épars et incomplets de cet ouvrage , nous nous sommes d'abord efforcé d'en retrouver le plan primitif : nous sommes bientôt resté ...
Page lxxi
... dernière forme que Pascal aurait donnée à son ou- vrage lui était inconnue à lui - même . Ici , c'est un chapitre dont il donne l'intitulé , là , c'est un dis- cours ou un dialogue dont il trace le canevas ; ail- leurs , une lettre qu ...
... dernière forme que Pascal aurait donnée à son ou- vrage lui était inconnue à lui - même . Ici , c'est un chapitre dont il donne l'intitulé , là , c'est un dis- cours ou un dialogue dont il trace le canevas ; ail- leurs , une lettre qu ...
Common terms and phrases
aime âme Arnauld arriver autographe avons Barré Bibliothèque Bossut casuistes cause choses chrétiens Clermont cœur concupiscence Condorcet consolation contraire copie corps croire d'Arnauld définir définitions Descartes Desmolets Dieu dire discours disent divisibles doit Domat donner duc de Roannez écrit édition des Pensées Épictète esprit Étienne Pascal fragments gloire grandeur Guerrier hérésie hérétiques hommes indivisibles infinité injuste j'ai Jacqueline Pascal jamais jansénistes Jansénius jésuites Jésus-Christ joie juger juste l'abbé Perier l'âme l'amour l'Art de persuader l'autre l'édition l'Église l'Esprit géométrique l'homme l'un lettre Logique de Port-Royal madame Perier manuscrit Marguerite Perier ment miracles Mme Perier monde Montaigne mort n'en n'y a rien nature naturelle néanmoins nécessaire nombre nombre étrange note Oratoriens pape parle passions péché père personnes piété plaisir Port-Royal pouvait première principes Provinciales publié qu'un raison Recueil règles religion s'il saint science Seigneur sentiment serait seul sorte sujet tion trouve vérité
Popular passages
Page 175 - Cela se fait par figure et mouvement, car cela est vrai. Mais de dire quels, et composer la machine, cela est ridicule; car cela est inutile, et incertain, et pénible. Et quand cela serait vrai, nous n'estimons pas que toute la philosophie vaille une heure de peine.] XCII.
Page 239 - Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi; car on s'attendait de voir un auteur, et on trouve un homme. Au lieu que ceux qui ont le goût bon, et qui en voyant un livre croient trouver un homme, sont tout surpris de trouver un auteur : Plus poetice quarn humane locutus es.
Page 202 - Quand on veut reprendre avec utilité, et montrer à un autre qu'il se trompe, il faut observer par quel côté il envisage la chose, car elle est vraie ordinairement de ce côtélà, et lui avouer cette vérité, mais lui découvrir le côté par où elle est fausse.
Page 176 - A mesure qu'on a plus d'esprit, on trouve qu'il ya plus d'hommes originaux. Les gens du commun ne trouvent pas de différence entre les hommes.
Page 197 - Qui voudra connaître à plein la vanité ' de l'homme n'a qu'à considérer les causes et les effets de l'amour. La cause en est « un je ne sais quoi; » et les effets en sont effroyables. Ce je ne sais quoi...
Page 204 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.
Page 245 - II ya un certain modèle d'agrément et de beauté qui consiste en un certain rapport entre notre nature, faible ou forte, telle qu'elle est, et la chose qui nous plaît.
Page 151 - Ceux de la volonté sont de certains désirs naturels et communs à tous les hommes, comme le désir d'être heureux, que personne ne peut pas ne pas avoir, outre plusieurs objets particuliers que chacun suit pour y arriver...
Page 147 - Personne n'ignore qu'il ya deux entrées par où les opinions sont reçues dans l'âme, qui sont ses deux principales puissances, l'entendement et la volonté. La plus naturelle est celle de l'entendement, car on ne devrait jamais consentir qu'aux vérités démontrées; mais la plus ordinaire, quoique contre la nature, est celle de la volonté ; car tout ce qu'il ya d'hommes sont presque toujours...
Page 121 - Cette véritable méthode, qui formerait les démonstrations dans la plus haute excellence, s'il était possible d'y arriver, consisterait en deux choses principales : l'une de n'employer aucun terme dont on n'eût auparavant expliqué nettement le sens; l'autre, de n'avancer jamais aucune proposition qu'on ne démontrât par des vérités déjà connues ; c'est-à-dire, en un mot, à définir tous les termes et à prouver toutes les propositions.