Pensées fragments et lettres, publ. par P. Faugère, Volume 11844 |
From inside the book
Results 1-5 of 37
Page lxix
... connaissance avec le duc de Roannez qui n'avait guère que dix - neuf ou vingt ans ; mais ce n'est qu'en 1652 , après la mort de son père , que Pascal se livra tout à fait au monde , et qu'il songea , comme nous l'apprennent les docu ...
... connaissance avec le duc de Roannez qui n'avait guère que dix - neuf ou vingt ans ; mais ce n'est qu'en 1652 , après la mort de son père , que Pascal se livra tout à fait au monde , et qu'il songea , comme nous l'apprennent les docu ...
Page lxx
... connaissance du génie de l'écri- vain , en le faisant assister au développement suc- cessif de sa pensée . C'est par la même considération de l'ordre chronologique , que nous avons reporté dans le deuxième volume tout ce que Pascal ...
... connaissance du génie de l'écri- vain , en le faisant assister au développement suc- cessif de sa pensée . C'est par la même considération de l'ordre chronologique , que nous avons reporté dans le deuxième volume tout ce que Pascal ...
Page lxxxi
... connaissance de Dieu , du vrai bien , de la justice , du bonheur , était inséparable de la connaissance de Jésus - Christ . Voilà au vrai le scepticisme de Pascal : c'est de tenir pour in- suffisants et incomplets tous les systèmes ...
... connaissance de Dieu , du vrai bien , de la justice , du bonheur , était inséparable de la connaissance de Jésus - Christ . Voilà au vrai le scepticisme de Pascal : c'est de tenir pour in- suffisants et incomplets tous les systèmes ...
Page lxxxiv
... connaissance ap- profondie de la nature de l'homme , il était excel- lemment philosophe dans la plus haute acception du mot , quand , au lieu de fonder son apologie de la religion sur un système de métaphysique , il l'établissait sur la ...
... connaissance ap- profondie de la nature de l'homme , il était excel- lemment philosophe dans la plus haute acception du mot , quand , au lieu de fonder son apologie de la religion sur un système de métaphysique , il l'établissait sur la ...
Page 5
... connaissance qu'il avait de mon étude de la géométrie , suffit pour lui faire trouver ce discours étrange , et il me le témoigna par une repartie si pleine d'humilité et de modestie , qu'elle eut sans doute confondu l'orgueil qu'il ...
... connaissance qu'il avait de mon étude de la géométrie , suffit pour lui faire trouver ce discours étrange , et il me le témoigna par une repartie si pleine d'humilité et de modestie , qu'elle eut sans doute confondu l'orgueil qu'il ...
Common terms and phrases
aime âme Arnauld arriver autographe avons Barré Bibliothèque Bossut casuistes cause choses chrétiens Clermont cœur concupiscence Condorcet consolation contraire copie corps croire d'Arnauld définir définitions Descartes Desmolets Dieu dire discours disent divisibles doit Domat donner duc de Roannez écrit édition des Pensées Épictète esprit Étienne Pascal fragments gloire grandeur Guerrier hérésie hérétiques hommes indivisibles infinité injuste j'ai Jacqueline Pascal jamais jansénistes Jansénius jésuites Jésus-Christ joie juger juste l'abbé Perier l'âme l'amour l'Art de persuader l'autre l'édition l'Église l'Esprit géométrique l'homme l'un lettre Logique de Port-Royal madame Perier manuscrit Marguerite Perier ment miracles Mme Perier monde Montaigne mort n'en n'y a rien nature naturelle néanmoins nécessaire nombre nombre étrange note Oratoriens pape parle passions péché père personnes piété plaisir Port-Royal pouvait première principes Provinciales publié qu'un raison Recueil règles religion s'il saint science Seigneur sentiment serait seul sorte sujet tion trouve vérité
Popular passages
Page 175 - Cela se fait par figure et mouvement, car cela est vrai. Mais de dire quels, et composer la machine, cela est ridicule; car cela est inutile, et incertain, et pénible. Et quand cela serait vrai, nous n'estimons pas que toute la philosophie vaille une heure de peine.] XCII.
Page 239 - Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi; car on s'attendait de voir un auteur, et on trouve un homme. Au lieu que ceux qui ont le goût bon, et qui en voyant un livre croient trouver un homme, sont tout surpris de trouver un auteur : Plus poetice quarn humane locutus es.
Page 202 - Quand on veut reprendre avec utilité, et montrer à un autre qu'il se trompe, il faut observer par quel côté il envisage la chose, car elle est vraie ordinairement de ce côtélà, et lui avouer cette vérité, mais lui découvrir le côté par où elle est fausse.
Page 176 - A mesure qu'on a plus d'esprit, on trouve qu'il ya plus d'hommes originaux. Les gens du commun ne trouvent pas de différence entre les hommes.
Page 197 - Qui voudra connaître à plein la vanité ' de l'homme n'a qu'à considérer les causes et les effets de l'amour. La cause en est « un je ne sais quoi; » et les effets en sont effroyables. Ce je ne sais quoi...
Page 204 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.
Page 245 - II ya un certain modèle d'agrément et de beauté qui consiste en un certain rapport entre notre nature, faible ou forte, telle qu'elle est, et la chose qui nous plaît.
Page 151 - Ceux de la volonté sont de certains désirs naturels et communs à tous les hommes, comme le désir d'être heureux, que personne ne peut pas ne pas avoir, outre plusieurs objets particuliers que chacun suit pour y arriver...
Page 147 - Personne n'ignore qu'il ya deux entrées par où les opinions sont reçues dans l'âme, qui sont ses deux principales puissances, l'entendement et la volonté. La plus naturelle est celle de l'entendement, car on ne devrait jamais consentir qu'aux vérités démontrées; mais la plus ordinaire, quoique contre la nature, est celle de la volonté ; car tout ce qu'il ya d'hommes sont presque toujours...
Page 121 - Cette véritable méthode, qui formerait les démonstrations dans la plus haute excellence, s'il était possible d'y arriver, consisterait en deux choses principales : l'une de n'employer aucun terme dont on n'eût auparavant expliqué nettement le sens; l'autre, de n'avancer jamais aucune proposition qu'on ne démontrât par des vérités déjà connues ; c'est-à-dire, en un mot, à définir tous les termes et à prouver toutes les propositions.