Histoire de Descartes avant 1637: suivi de L'analyse du Discours de la méthode et des Essais de philosophie |
From inside the book
Results 1-5 of 44
Page ii
... nécessaire pour émettre un avis , je dirais que ces éminents esprits , quelque ( 1 ) V. Littré , Comte et la Phil . posit . , 284-309 , 673-677 , 42 , 107. V. aussi Comte , Leçons de phil . posit . , préf . , prem . leç . et passim ...
... nécessaire pour émettre un avis , je dirais que ces éminents esprits , quelque ( 1 ) V. Littré , Comte et la Phil . posit . , 284-309 , 673-677 , 42 , 107. V. aussi Comte , Leçons de phil . posit . , préf . , prem . leç . et passim ...
Page v
... nécessaires les unes aux autres et qu'il est besoin d'une science supé- rieure qui les relie toutes entre elles et les féconde l'autre . l'une par Cette science est la Philosophie , dont les ra- cines sont la Métaphysique , le tronc la ...
... nécessaires les unes aux autres et qu'il est besoin d'une science supé- rieure qui les relie toutes entre elles et les féconde l'autre . l'une par Cette science est la Philosophie , dont les ra- cines sont la Métaphysique , le tronc la ...
Page ix
... découvertes , et la condition nécessaire de tous progrès dans les sciences . Cherchons donc tous à reprendre conscience du génie national en l'étudiant dans son image la plus pure et la plus noble , dans son exemplaire IX -
... découvertes , et la condition nécessaire de tous progrès dans les sciences . Cherchons donc tous à reprendre conscience du génie national en l'étudiant dans son image la plus pure et la plus noble , dans son exemplaire IX -
Page 6
... nécessaire pour donner des . fondements plus larges et plus solides à l'édifice agrandi des sciences , et permettre de l'élever plus haut . Le premier des savants illustres de la fin du xve siècle et du commencement du xvre est Léo ...
... nécessaire pour donner des . fondements plus larges et plus solides à l'édifice agrandi des sciences , et permettre de l'élever plus haut . Le premier des savants illustres de la fin du xve siècle et du commencement du xvre est Léo ...
Page 26
... nécessaire , pour le progrès des sciences physiques et mathématiques , et pour celui de la philosophie naturelle , que Descartes dédaignât les sciences historiques , comme il fallut au XVIIIe siècle , pour le progrès des insti- tutions ...
... nécessaire , pour le progrès des sciences physiques et mathématiques , et pour celui de la philosophie naturelle , que Descartes dédaignât les sciences historiques , comme il fallut au XVIIIe siècle , pour le progrès des insti- tutions ...
Other editions - View all
Histoire de Descartes Avant 1637; Suivie de L Analyse Du Discours de La Methode J Millet No preview available - 2013 |
Histoire de Descartes Avant 1637: Suivie de l'Analyse du Discours de la ... J. Millet No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
Aristote assez Baillet Beeckman cartes cartésienne cause chap choses claires et distinctes Clerselier connaissance connaître corps courbe découvertes Desc déterminer Deventer Dioptrique Disc Discours dit-il donner doute écrit effet équations équations cubiques esprit Euclide féconde Franeker Galilée général génie Géométrie Hist Hollande hommes Huyghens idées Inédits inventions Isaac Beeckman j'ai Képler l'algèbre l'âme l'analyse l'esprit humain l'étendue l'être infini l'être parfait l'ex l'idée l'ouvrage Leibnitz lettres Leyde livre Logique lois lui-même lumière math mathéma mathématiques matière mécanique Méditations ment Mersenne Métaphysique Météores Méth méthode Middelbourg monde Montucla morale mouvement nature nécessaire non-seulement notions OEuvr ouvrage parhélies particulier passer pensée phénomènes phil philoso physique positivistes premier princesse Elizabeth principes problèmes Psychologie question raison rayons réfraction règles Renéri reste rien Roberval Rose-Croix s'il sance savants science sciences spéculatives sera seulement siècle simples Snellius sorte substance synthèse théorie tion tiques Traité trouve vérité vrai
Popular passages
Page 473 - ... j'ai en quelque façon premièrement en moi la notion de l'infini que du fini, c'est-à-dire de Dieu que de moi-même : car comment seraitil possible que je pusse connaître que je doute et que je désire, c'est-à-dire qu'il me manque quelque chose et que je ne suis pas tout parfait, si je n'avais en moi aucune idée d'un être plus parfait que le mien , par la comparaison duquel je connaîtrais les défauts de ma nature?
Page 84 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 380 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.
Page 111 - Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée , et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir comme le passé serait présent à ses yeux.
Page 364 - J'ai été nourri aux lettres dès mon enfance ; et, pour ce qu'on me persuadait que par leur moyen on pouvait acquérir une connaissance claire et assurée de tout ce qui est utile à la vie, j'avais un extrême désir de les apprendre. Mais sitôt que j'eus achevé tout ce cours d'études au bout duquel on a coutume d'être reçu au rang des doctes, je changeai entièrement d'opinion. Car je me...
Page 224 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle.
Page 326 - Cela se fait par figure et mouvement, car cela est vrai. Mais de dire quels, et composer la machine, cela est ridicule; car cela est inutile, et incertain, et pénible. Et quand cela serait vrai, nous n'estimons pas que toute la philosophie vaille une heure de peine.] XCII.
Page 206 - ... considérant que toutes les mêmes pensées que nous avons étant éveillés nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune pour lors qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes.
Page 88 - ... imitant en ceci les voyageurs qui, se trouvant égarés en quelque forêt, ne doivent pas errer en tournoyant tantôt d'un côté, tantôt d'un autre, ni encore moins s'arrêter en une place, mais marcher toujours le plus droit qu'ils peuvent vers un même côté, et ne le changer point pour de faibles raisons...
Page 83 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.