Précis des travaux

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Grimblot et Veuve Raybois, 1853
 

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Popular passages

Page 493 - Recueil de la Société libre d'Agriculture, Sciences, Arts et Belles-Lettres du département de l'Eure. Mémoires de la Société académique de l'arrondissement de Falaise.
Page 51 - L'œil morne maintenant et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Page 54 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide. L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes ; Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes. Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux...
Page 496 - Mémoires de l'Académie des Sciences, Agriculture, Commerce, Belles-Lettres et Arts du département de la Somme, Mémoires de la Société <l'ÏIistoire naturelle de Strasbourg.
Page 61 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre ; et, d'un dard lancé d'une main sûre, II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang et de fumée.
Page 61 - De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang et de fumée. La frayeur les emporte; et, sourds à cette fois, Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix; En efforts impuissants leur maître se consume; Ils rougissent le mors d'une sanglante écume.
Page 73 - J'y cours en soupirant , et sa garde me suit : De son généreux sang la trace nous conduit; Les rochers en sont teints; les ronces dégouttantes Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J'arrive.. je l'appelle; et me tendant la main, II ouvre un œil mourant qu'il referme soudain : « Le ciel, dit-il, m'arrache une innocente vie.
Page 74 - J'arrive, je l'appelle; et, me tendant la main, II ouvre un œil mourant qu'il referme soudain: « Le ciel , dit-il , m'arrache une innocente vie. « Prends soin après ma mort de la triste Aricie. « Cher ami, si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d'un fils faussement accusé, « Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, • Dis-lui qu'avec douceur il traite sa captive;
Page 28 - Calcutta. M. Nicol fut mon hôte à mon arrivée à Bombay. Un vieil ami ne m'aurait pas prodigué des soins plus affectueux. Cependant, au bout de quelques jours, quand j'étais encore transportable, je quittai sa maison qui est dans le fort, pour venir occuper un appartement commode et spacieux au quartier des officiers malades, dans la position la plus aérée et la plus salubre, au bord de la mer; et à cent pas de chez mon médecin, le docteur MacLennan, le plus habile de Bombay, et dont les...
Page 494 - Sommaire des travaux de la Société des Sciences médicales du département de la Moselle.

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