Recueil des piéces de théatre, Volume 3Le Texier (M., A. A.) T. Hookham, 1785 - French drama |
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Page 10
... dire , affez joliment , des bouquets à Cloris , que j'envoyois des énigmes aux Journaux , qu'il couroit des Madrigaux de ma façon ; en un mot , quand il a feu que j'étois imprimé tout vif , il a pris la chofe au tragique , & m'a fait ...
... dire , affez joliment , des bouquets à Cloris , que j'envoyois des énigmes aux Journaux , qu'il couroit des Madrigaux de ma façon ; en un mot , quand il a feu que j'étois imprimé tout vif , il a pris la chofe au tragique , & m'a fait ...
Page 25
... dire , chantez , comme fi vous chantiez- feulement pour chanter . Oh ! la v'là , la v'là . LE COMT E. Puifque j'ai commencé à l'intéreffer fans être connu d'elle , ne quittons point le nom de Lindor que j'ai pris ; mon triomphe en aura ...
... dire , chantez , comme fi vous chantiez- feulement pour chanter . Oh ! la v'là , la v'là . LE COMT E. Puifque j'ai commencé à l'intéreffer fans être connu d'elle , ne quittons point le nom de Lindor que j'ai pris ; mon triomphe en aura ...
Page 28
... dire : elle fera ma femme ; & fi vous fervez bien mon projet en lui cachant mon nom - tu m'entends , tu me connois- FIGAR O. Je me rends . Allons , Figaro , vole à la fortune ; mon fils . LE COMTE . Retirons - nous , crainte de nous ...
... dire : elle fera ma femme ; & fi vous fervez bien mon projet en lui cachant mon nom - tu m'entends , tu me connois- FIGAR O. Je me rends . Allons , Figaro , vole à la fortune ; mon fils . LE COMTE . Retirons - nous , crainte de nous ...
Page 30
... dire un mot , ni faire un pás , dont il ne devine fur le champ l'intention- Ah Lindor ! ( Elle cachete la lettre ) . Fermons tou . jours ma lettre , quoique j'ignore quand & com- ment je pourrai la lui faire tenir . Je l'ai vu à travers ...
... dire un mot , ni faire un pás , dont il ne devine fur le champ l'intention- Ah Lindor ! ( Elle cachete la lettre ) . Fermons tou . jours ma lettre , quoique j'ignore quand & com- ment je pourrai la lui faire tenir . Je l'ai vu à travers ...
Page 43
... dire d'Experts ; concedo . BARTHOLO , Singulier moyen de fe défaire d'un homme ! BAZIL E. La calomnie , Monfieur ? Vous ne fçavéz guere ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens prêts d'en être accablés . Croyez qu'il n'y a ...
... dire d'Experts ; concedo . BARTHOLO , Singulier moyen de fe défaire d'un homme ! BAZIL E. La calomnie , Monfieur ? Vous ne fçavéz guere ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens prêts d'en être accablés . Croyez qu'il n'y a ...
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Common terms and phrases
affez Affurément ainfi allez Allons Anglois ARAMINTE auffi avez Barbier Barbier de Séville BARON BARTHOLO befoin BLAISE c'eft C'eſt ceffe chanfon chante charmant cher chofe CIDALIS CIDALISE CLARICE Clavecin cœur Comte Almaviva connoiffez connois crois DAMON DARMAN DARMANT diable Docteur Don Bazile Eft-ce eft-il eſt êtes étoit fans doute fanté fçais fçait fecret femble femme fens fentiment fera feroit fervir feul FIGAR FIGAR O fille FLEURI fœur foir foit font foupçons fouvent François GAILLARD grace homme Ifmene inftant ISMENE j'ai j'en fuis jaloufie jamais JEANNETTE jeuneffe jolie jufte L'ABBE l'efprit laiffe LEANDRE lettre Lifette Lindor LISETTE LISIDOR Lucile m'en Madame MARQUIS MARQUISE MEDECIN Mefdames Monfeigneur Monfieur Figaro Monfieur Pointu Mufique MYLORD n'eft n'eſt paffé Paix parbleu parler penfe perfonne plaifir plaifirs plaire préfent raifon refte rien ROBINSON Rofine Ronge-fer ROSIN SCENE VII SUDMER tems Théatre Trictrac vais valets veux voilà voulez-vous
Popular passages
Page 15 - SierraMorena, l'Andalousie ; accueilli dans une ville, emprisonné dans l'autre, et partout supérieur aux événements; loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là.; aidant au bon temps, supportant le mauvais ; me moquant des sots, bravant les méchants ; riant de ma misère et faisant la barbe à tout le monde ; vous me voyez enfin établi dans Séville, et prêt à servir de nouveau Votre Excellence en tout ce qu'il lui plaira m'ordonner. LE COMTE.
Page 82 - Ma foi, Monsieur, les hommes n'ayant guère à choisir qu'entre la sottise et la folie, où je ne vois pas de profit, je veux au moins du plaisir ; et vive la joie ! Qui sait si le monde durera encore trois semaines ? BARTHOLO.
Page 14 - ... paru dans les meilleures dispositions pour moi. Mais les efforts de la cabale . . . LE COMTE Ah ! la cabale ! monsieur l'auteur tombé.
Page 45 - Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'ya pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse!...
Page 54 - Soyez heureux, Lisidor. Vous, mes bonnes amies, obligez-moi de ne parler jamais de cette aventure... Vous, Baron, après le souper, je vous demande un moment de conversation. Vous verrez que mes vues peuvent sympathiser avec les vôtres , et que tout aveuglé que vous croyez mon cœur par le tourbillon du monde , il peut encore être éclairé par les conseils d'un homme estimable. LE...
Page 15 - C'est mon bon ange, Excellence, puisque je suis assez heureux pour retrouver mon ancien maître. Voyant à Madrid que la république des lettres était celle des loups, toujours armés les uns contre les autres, et que, livrés au mépris où ce risible acharnement les conduit, tous les insectes, les moustiques, les cousins, les critiques, les maringouins...
Page 16 - N'a dans tous les pays qu'une loi, qu'un langage; Tous les hommes également S'accordent pour en faire usage.
Page 27 - Représentée pour la première fois, par les Comédiens François ordinaires du Roi, le mardi 27 avril 1784.
Page 60 - Allons, mon cœur, la paix, la paix. Jugez de cette bagatelle Seulement par le cœur, Et ne nous faites point querelle. Partagez notre ardeur. Vous le sentez ; c'est notre zèle Qui peint l'amour de tout François. Et paix, paix! Messieurs , la paix.
Page 41 - Anachorette, un ridicule, un sage"? Vraiment, la santé se délabre : il ya près de dix ans que je ne puis accoutumer la mienne à se soumettre à mes fantaisies. Mais, après tout, si on avoit une santé, pourroit-on soutenir une campagne, vivre à la Cour, s'amuser à Paris ? ISMENE.