Du Congrès de Vienne, Volume 2Deterville, 1815 - Congress of Vienna |
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... appeler à son aide le souverain de Naples , intéressé comme elle à diminuer l'influence de l'Autriche . La France pouvoit être à jamais séparée de l'Autriche , sa grande et ancienne rivale , et voilà qu'on lui fait retrouver des champs ...
... appeler à son aide le souverain de Naples , intéressé comme elle à diminuer l'influence de l'Autriche . La France pouvoit être à jamais séparée de l'Autriche , sa grande et ancienne rivale , et voilà qu'on lui fait retrouver des champs ...
Page 108
... appeler générale , sur les cessions et les réunions dont le Congrès a eu à traiter , et que dans toute espèce de plan il ne pouvoit éviter . Le parlement d'Angleterre , auquel seul en Europe appartient le droit de porter ses regards et ...
... appeler générale , sur les cessions et les réunions dont le Congrès a eu à traiter , et que dans toute espèce de plan il ne pouvoit éviter . Le parlement d'Angleterre , auquel seul en Europe appartient le droit de porter ses regards et ...
Page 130
... vouloit écarter au- tant que possible la France de l'Alle- magne . C'est une idée qu'on pourroit appeler de crainte , provenant de la terreur encore subsistante qu'a inspi- ' rée la France . L'effet survit à la cause . 130 CONGRÈS.
... vouloit écarter au- tant que possible la France de l'Alle- magne . C'est une idée qu'on pourroit appeler de crainte , provenant de la terreur encore subsistante qu'a inspi- ' rée la France . L'effet survit à la cause . 130 CONGRÈS.
Page 134
... appeler dé- risoire , et dont il paroît qu'elle ne veut pas . Pourquoi le roi son fils n'au- roit - il pas été appelé à gouverner cet état délaissé ? C'étoit le moyen d'é- teindre une partie des jalousies qui règnent entre les ...
... appeler dé- risoire , et dont il paroît qu'elle ne veut pas . Pourquoi le roi son fils n'au- roit - il pas été appelé à gouverner cet état délaissé ? C'étoit le moyen d'é- teindre une partie des jalousies qui règnent entre les ...
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... appeler constitu- tions de l'empire des additions à des constitutions que personne ne con- noissoit et ne savoit où prendre . A cette première considération , il faut ajouter celle de l'accroissement du militaire . Le plus grand ennemi ...
... appeler constitu- tions de l'empire des additions à des constitutions que personne ne con- noissoit et ne savoit où prendre . A cette première considération , il faut ajouter celle de l'accroissement du militaire . Le plus grand ennemi ...
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Common terms and phrases
Anglois armées attaque auroient auroit autrichienne avoient avoit besoin Brésil c'étoit catholique cessions CHAPITRE XXII civilisation clergé colonies commerce Congrès Congrès de Vienne corps de l'Europe côté d'hommes devoit division doit duché de Varsovie ennemis état étoient étoit euro Europe Européens faisoit falloit foible force fortune François générale de l'Europe goût gouvernemens gouvernement guerre intérêts Italiens jamais l'Allemagne l'Amérique l'Angleterre l'Au l'Autriche l'Empire l'Espagne l'état l'Eu l'Italie laisser long-temps lumières maison de Bourbon malheurs Malte ment millions monde Morillo Murat n'auroit n'avoit Naples Napoléon nations nombre occu paix Pape paroît passé pays perdu peuples politique Pologne Portugal position pourroit pouvoit prince principe Prusse Prussiens puissance qu'à RADSTADT réunion Rhin richesses rien rope royaume royaume d'Italie royaume des Pays-Bas Russie s'est Saint-Domingue Sardaigne Saxe sement sentimens seroit seul société souveraineté souverains Suède sujets talens territoire tion triche trône troupes trouve Turcs villes libres Vistule voilà
Popular passages
Page 111 - Jupin pour chaque état mit deux tables au monde : L'adroit, le vigilant, et le fort, sont assis A la première ; et les petits Mangent leur reste à la seconde.
Page 199 - Une maladie nouvelle s'est répandue en Europe; elle a saisi nos princes et leur fait entretenir un nombre désordonné de troupes. Elle a ses redoublements, et elle devient nécessairement contagieuse ; car, sitôt qu'un État augmente ce qu'il appelle ses troupes, les autres soudain augmentent les leurs; de façon qu'on ne gagne rien par là que la ruine commune.
Page 200 - ... pas de quoi vivre. Nous sommes pauvres avec les richesses et le commerce de tout l'univers; et bientôt, à force d'avoir des soldats, nous n'aurons plus que des soldats, et nous serons comme des Tartares*.
Page 99 - ... nous dit pas un auteur qui professe tant de respect pour les droits des nations. Un projet plus bizarre encore est celui que l'auteur émet sur le Portugal. Le souverain de cet Etat est, comme on sait, retiré au Brésil depuis l'invasion du Portugal par Buonaparte en i8o7.
Page 40 - ... les champs de la guerre , ils sentent qu'ils ont en euxmêmes tout ce qui constitue et ennoblit les nations : ils en ont fait l'expérience, et ils se trouveroient au service de maîtres avec lesquels ils ne se regardent comme inférieurs sous aucun rapport ! Les Italiens ont laissé percer leur aversion pour le joug qu'on leur a imposé. Le sentiment de l'indépendance a fait de si grands progrès dans cette contrée, que, dans la suite des temps , il pourroit bien résulter , de la gêne qu'on...
Page 74 - C'est un grand et profond mot que celui de la légitimité , mais que de nuages autour de lui! Combien peut-il y avoir de sources de légitimité"!
Page 38 - ... Cracovie, combattre les Russes, les Prussiens et les Turcs. Ah! si l'on plaint les Saxons, il faut plaindre encore plus les Italiens. Le Saxon habite un pays semblable à la Prusse; il parle la même langue, il partage les mêmes goûts; c'est un Allemand comme le Prussien, sous une domination différente, il est vrai , mais enfin c'est toujours un allemand; au lieu que l'Italien n'est ni hongrois, ni allemand, ni polonois. Né sous un autre ciel , frappé d'autres objets en naissant, il faut...
Page 37 - ... voilà qu'on leur ravit ce bonheur naissant, leur existence personnelle , le soin de leurs propres affaires. Leur or, les fruits de leurs sueurs, de leur laborieuse ou riante industrie , devront être partagés entre eux et des étrangers. Ce ne sera pas à défendre l'accès de leurs superbes contrées que leurs bras seront exclusivement employés , il faudra encore que les enfans de l'Italie aillent défendre Temeswar et Cracovie, combattre les Russes, les Prussiens et les Turcs.
Page 41 - ... qu'on leur a imposé. Le sentiment de l'indépendance a fait de si grands progrès dans cette contrée, que, dans la suite des temps , il pourroit bien résulter , de la gêne qu'on lui fait subir actuellement, une réunion générale de l'Italie. dans une seule et même souveraineté. Le besoin de mettre un terme à toutes ces vexations , de cesser de servir d'aliment à la cupidité des uns, aux; vues intéressées des autres, pourroit bien amener les Italiens à une résolution à laquelle...
Page 40 - ... commençoient d'en savourer les douceurs. Ils se sentent soutenus par les sentimens qui vivent dans le cœur de tous leurs frères, comme dans celui des hommes généreux de tous les pays, ils se sont comptés, ils ont paru avec honneur dans les champs de la guerre, ils sentent qu'ils ont en eux-mêmes tout ce qui constitue et ennoblit les nations : ils en ont fait l'expérience, et ils se trouveroient au service de maîtres avec lesquels ils ne se regardent comme inférieurs sous aucun rapport...