Oeuvres complètes, Volume 2Deterville, 1796 |
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Page 11
... yeux . Souvent ce cabinet , superbe et solitaire , Des secrets de Titus est le dépositaire . C'est ici quelquefois qu'il se cache à sa cour , Lorsqu'il vient à la reine expliquer son amour . De son appartement cette porte est prochaine ...
... yeux . Souvent ce cabinet , superbe et solitaire , Des secrets de Titus est le dépositaire . C'est ici quelquefois qu'il se cache à sa cour , Lorsqu'il vient à la reine expliquer son amour . De son appartement cette porte est prochaine ...
Page 14
... yeux d'une cour qui l'accable . ANTIOCHU S. Il suffit . Cependant n'as - tu rien négligé Des ordres importants dont je t'avais chargé ? ARSA C E. Seigneur , vous connaissez ma prompte obéissance . Des vaisseaux dans Ostie armés en ...
... yeux d'une cour qui l'accable . ANTIOCHU S. Il suffit . Cependant n'as - tu rien négligé Des ordres importants dont je t'avais chargé ? ARSA C E. Seigneur , vous connaissez ma prompte obéissance . Des vaisseaux dans Ostie armés en ...
Page 20
... yeux .. J'aimai , j'obtins l'aveu d'Agrippa votre frère ; Il vous parla pour moi . Peut - être sans colère Alliez - vous de mon cœur recevoir le tribut ; Titus , pour son malheur , vint , vous vit , et vous plut . Il parut devant vous ...
... yeux .. J'aimai , j'obtins l'aveu d'Agrippa votre frère ; Il vous parla pour moi . Peut - être sans colère Alliez - vous de mon cœur recevoir le tribut ; Titus , pour son malheur , vint , vous vit , et vous plut . Il parut devant vous ...
Page 23
... yeux déclarer mon amant . Mais de mon amitié mon silence est un gage : J'oublie en sa faveur un discours qui m'outrage . Je n'en ai point troublé le cours injurieux : Je fais plus ; à regret je reçois vos adieux . Le ciel sait qu'au ...
... yeux déclarer mon amant . Mais de mon amitié mon silence est un gage : J'oublie en sa faveur un discours qui m'outrage . Je n'en ai point troublé le cours injurieux : Je fais plus ; à regret je reçois vos adieux . Le ciel sait qu'au ...
Page 25
... yeux ne sont - ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux , ce bûcher , cette nuit enflâmée , Ces aigles , ces faisceaux , ce peuple , cette armée , Cette foule de rois , ces consuls , ce sénat , Qui tous de mon amant ...
... yeux ne sont - ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux , ce bûcher , cette nuit enflâmée , Ces aigles , ces faisceaux , ce peuple , cette armée , Cette foule de rois , ces consuls , ce sénat , Qui tous de mon amant ...
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Common terms and phrases
Achille Acomat AGAMEMNON Allez amant âme amour Amurat ANTIOCH ANTIOCH US Arbate Arcas ARICI ARSA Arsace ATALIDE Bajazet BÉRÉNICE cacher Calchas CENONE cher chercher ciel CLY TEM NESTRE cœur courroux crime cruel déja dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE expirer fatal fille fils flâme funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas heureux Hippolyte hymen IPHIGÉNIE Ismène j'ai j'aime j'ose jamais jour l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux longtemps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même Monime mort mortels Mycène Orcan OSMI Osmin parler Paulin pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHED PHEDR Phénice pleurs prince prompt puis-je reine rival Romains Rome ROXA Roxane sais sang SCENE PREMIERE secret seigneur serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THÉ SÉ THÉRA MÈNE THÉRAMÈNE Thésée TITU Titus tragédie tremble trépas Trézène triste trouble vais venger veux vœux vois vous-même XIPHA Xipharès yeux ZAIRE ZATIM
Popular passages
Page 7 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Page 429 - Cher ami, si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d'un fils faussement accusé , « Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, « Dis-lui qu'avec douceur il traite sa captive : « Qu'il lui rende .. » A ce mot ce héros expiré N'a laissé dans mes bras qu'un corps défiguré : Triste objet où des dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l'œil même de son père.
Page 4 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie; il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Page 394 - Ne vaudrait-il pas mieux , digne sang de Minos , Dans de plus nobles soins chercher votre repos, Contre un ingrat qui plaît recourir à la fuite, Régner, et de l'État embrasser la conduite? PHÈDRE. Moi , régner ! moi , ranger un État sous ma loi , Quand ma faible raison ne règne plus sur moi ! Lorsque j'ai de mes sens abandonné l'empire ! Quand sous un joug honteux à peine je respire ! Quand je me meurs!
Page 428 - Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle : J'ai vu , seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Page 356 - Les faiblesses de l'amour y passent pour de vraies faiblesses. Les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le, vice y est peint partout avec des couleurs qui en. font connaître et haïr la difformité.
Page 25 - Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence... Ciel! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Page 25 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 388 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Page 62 - Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous , Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ; Que le jour recommence, et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que, de tout le jour, je puisse voir Titus...