Oeuvres complètes, Volume 2Deterville, 1796 |
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... secrets de Titus est le dépositaire . C'est ici quelquefois qu'il se cache à sa cour , Lorsqu'il vient à la reine ... secret . ARSA C E. Vous , seigneur , importun ? vous , cet ami fidelle Qu'un soin si généreux intéresse pour elle ...
... secrets de Titus est le dépositaire . C'est ici quelquefois qu'il se cache à sa cour , Lorsqu'il vient à la reine ... secret . ARSA C E. Vous , seigneur , importun ? vous , cet ami fidelle Qu'un soin si généreux intéresse pour elle ...
Page 18
... de quelques larmes Ce long deuil que Titus imposait à sa cour , Avait , même en secret , suspendu son amour ; Il n'avait plus pour moi cette ardeur assidue , Lorsqu'il passait les jours attaché sur ma vue ; Muet 18 BÉRÉNICE ,
... de quelques larmes Ce long deuil que Titus imposait à sa cour , Avait , même en secret , suspendu son amour ; Il n'avait plus pour moi cette ardeur assidue , Lorsqu'il passait les jours attaché sur ma vue ; Muet 18 BÉRÉNICE ,
Page 21
... . Je vois que votre cœur m'applaudit en secret ; Je vois que l'on m'écoute avec moins de regret , Et que , trop attentive à ce récit funeste , 4 En faveur de Titus vous pardonnez le reste . Enfin ACTE I 21 9 SCENE I V.
... . Je vois que votre cœur m'applaudit en secret ; Je vois que l'on m'écoute avec moins de regret , Et que , trop attentive à ce récit funeste , 4 En faveur de Titus vous pardonnez le reste . Enfin ACTE I 21 9 SCENE I V.
Page 25
... secret l'assuraient de leur foi ! Parle : : peut - on le voir sans penser , comme moi , Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître , Le monde , en le voyant , eût reconnu son maître ? Mais , Phénice , où m'emporte un souvenir ...
... secret l'assuraient de leur foi ! Parle : : peut - on le voir sans penser , comme moi , Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître , Le monde , en le voyant , eût reconnu son maître ? Mais , Phénice , où m'emporte un souvenir ...
Page 27
... secrets de son cœur et du mien Sont de tout l'univers devenus l'entretien . Voici le temps enfin qu'il faut que je m'explique . De la reine et de moi que dit la voix publique ? Parlez : qu'entendez - vous ? PAULI N. J'entends de tous ...
... secrets de son cœur et du mien Sont de tout l'univers devenus l'entretien . Voici le temps enfin qu'il faut que je m'explique . De la reine et de moi que dit la voix publique ? Parlez : qu'entendez - vous ? PAULI N. J'entends de tous ...
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Common terms and phrases
Achille Acomat AGAMEMNON Allez amant âme amour Amurat ANTIOCH ANTIOCH US Arbate Arcas ARICI ARSA Arsace ATALIDE Bajazet BÉRÉNICE cacher Calchas CENONE cher chercher ciel CLY TEM NESTRE cœur courroux crime cruel déja dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE expirer fatal fille fils flâme funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas heureux Hippolyte hymen IPHIGÉNIE Ismène j'ai j'aime j'ose jamais jour l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux longtemps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même Monime mort mortels Mycène Orcan OSMI Osmin parler Paulin pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHED PHEDR Phénice pleurs prince prompt puis-je reine rival Romains Rome ROXA Roxane sais sang SCENE PREMIERE secret seigneur serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THÉ SÉ THÉRA MÈNE THÉRAMÈNE Thésée TITU Titus tragédie tremble trépas Trézène triste trouble vais venger veux vœux vois vous-même XIPHA Xipharès yeux ZAIRE ZATIM
Popular passages
Page 7 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Page 429 - Cher ami, si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d'un fils faussement accusé , « Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, « Dis-lui qu'avec douceur il traite sa captive : « Qu'il lui rende .. » A ce mot ce héros expiré N'a laissé dans mes bras qu'un corps défiguré : Triste objet où des dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l'œil même de son père.
Page 4 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie; il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Page 394 - Ne vaudrait-il pas mieux , digne sang de Minos , Dans de plus nobles soins chercher votre repos, Contre un ingrat qui plaît recourir à la fuite, Régner, et de l'État embrasser la conduite? PHÈDRE. Moi , régner ! moi , ranger un État sous ma loi , Quand ma faible raison ne règne plus sur moi ! Lorsque j'ai de mes sens abandonné l'empire ! Quand sous un joug honteux à peine je respire ! Quand je me meurs!
Page 428 - Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle : J'ai vu , seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Page 356 - Les faiblesses de l'amour y passent pour de vraies faiblesses. Les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le, vice y est peint partout avec des couleurs qui en. font connaître et haïr la difformité.
Page 25 - Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence... Ciel! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Page 25 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 388 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Page 62 - Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous , Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ; Que le jour recommence, et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que, de tout le jour, je puisse voir Titus...