Oeuvres morales et philosophiquesFirmin-Didot, 1879 - 473 pages |
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... rapport à toutes les doctrines de leur temps . Voyez , au contraire , leurs suc- cesseurs : Platon et Aristote , Spinoza et Leibniz , Schelling et Hégel ; ils acceptent le point de départ de la science , tel qu'il leur est donné par les ...
... rapport à toutes les doctrines de leur temps . Voyez , au contraire , leurs suc- cesseurs : Platon et Aristote , Spinoza et Leibniz , Schelling et Hégel ; ils acceptent le point de départ de la science , tel qu'il leur est donné par les ...
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... rapport à toutes les doctrines de leur temps . Voyez , au contraire , leurs suc- cesseurs : Platon et Aristote , Spinoza et Leibniz , Schelling et Hégel ; ils acceptent le point de départ de la science , tel qu'il leur est donné par les ...
... rapport à toutes les doctrines de leur temps . Voyez , au contraire , leurs suc- cesseurs : Platon et Aristote , Spinoza et Leibniz , Schelling et Hégel ; ils acceptent le point de départ de la science , tel qu'il leur est donné par les ...
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... rapport . Nous le voyons refuser à Heidelberg une chaire de philosophie qui lui aurait donné l'occasion de répandre son système , mais en l'entourant d'une renommée qui aurait pu le distraire de ses travaux . Dans une autre lettre il ...
... rapport . Nous le voyons refuser à Heidelberg une chaire de philosophie qui lui aurait donné l'occasion de répandre son système , mais en l'entourant d'une renommée qui aurait pu le distraire de ses travaux . Dans une autre lettre il ...
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... rapport . Ainsi , nous ne pouvons pas comprendre la suppression de son traité de la lumière après la con- damnation de Galilée , et l'obscurité dans laquelle il s'enveloppe dans ses autres ouvrages , toutes les fois qu'il parle du ...
... rapport . Ainsi , nous ne pouvons pas comprendre la suppression de son traité de la lumière après la con- damnation de Galilée , et l'obscurité dans laquelle il s'enveloppe dans ses autres ouvrages , toutes les fois qu'il parle du ...
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... rapports de quantité , et de les rendre saisissables au premier coup d'œil . La plus grande de toutes les découvertes de Descartes dans les sciences positives est celle de l'application de l'algèbre à la géomé- trie c'est ce qu'on ...
... rapports de quantité , et de les rendre saisissables au premier coup d'œil . La plus grande de toutes les découvertes de Descartes dans les sciences positives est celle de l'application de l'algèbre à la géomé- trie c'est ce qu'on ...
Contents
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Common terms and phrases
Addition au texte aisément animaux Aristote artères ARTICLE assez avez besoin c'est-à-dire cause causes finales cerveau chaleur chose qui pense choses corporelles clairement et distinctement cœur Cogito composé concevoir conçois connaissance connaître considérer contraire corps coutume d'autres démonstrations dépend Descartes dessein dire diverses doute effet esprit examiner existe façon faculté figure fût géométrie glande pinéale hommes idées imaginer infinité j'ai j'avais j'eusse jamais juger l'âme l'esprit l'existence de Dieu l'idée l'imagination lement libre arbitre lorsqu'on mathéma mathématiques Méditation ment méthode moi-même monde mouvement moyen muscles n'ai n'y a rien nature néanmoins nécessaire nerfs non-seulement objets opinions pable parfait passions perfection persuader peut-être peuvent philosophie pource première puisse qu'une question raison remarquer renfer s'il saint Anselme sang saurait savoir science semblables semble sens sentir serait seulement sorte souvent Spinoza substance sujet syllogisme texte latin tion toutefois triangle tristesse tromper trouver veines vérité vois vois le soleil volonté vrai
Popular passages
Page 33 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention /et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 65 - ... l'esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s'il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu'ils n'ont été jusqu'ici, je crois que c'est dans la médecine qu'on doit le chercher.
Page 44 - Et remarquant que cette vérité: je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie, que je cherchais.
Page 44 - Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse...
Page 104 - Je fermerai maintenant les yeux, je boucherai mes oreilles, je détournerai tous mes sens, j'effacerai même de ma pensée toutes les images des choses corporelles, ou du moins, parce qu'à peine cela se peut-il faire, je les réputerai comme vaines et comme fausses ; et ainsi m'entretenant seulement moi-même, et considérant mon intérieur, je tâcherai de me rendre peu à peu plus connu et plus familier à moi-même.
Page 30 - C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées ni par leur naissance ni par leur fortune au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle réformation...
Page 66 - Mais l'ordre que j'ai tenu en ceci a été tel : premièrement, j'ai tâché de trouver en général les principes ou premières causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien considérer pour cet effet que Dieu seul qui l'a créé, ni les tirer d'ailleurs que de certaines semences de vérités qui sont naturellement en nos âmes.
Page 26 - C'est pourquoi, sitôt que l'âge me permit de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l'étude des lettres; et me résolvant de ne chercher plus d'autre science que celle qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand livre du monde...
Page 44 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle.
Page 45 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.