L'Europe et l'Amérique en 1821, Volume 2Rouen, Béchet aîné, 1822 - Europe |
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Common terms and phrases
à-la-fois affaires alliance anglais Angleterre armée avaient besoin Brésil Carlsbad Carthagène cesse ceux-ci chambre choses citoyens civilisation clergé congrès congrès de Laybach conseils évangéliques conspirations constitution espagnole constitutionnel cortès cours d'après demande députés dire discussion Dresde Égypte empire mexicain ennemis Espagne esprit état États-Unis eût événemens force général Rapp gouvernemens gouvernement Grecs guerre Guizot hommes intérêts jours l'Allemagne l'Amérique l'Angleterre l'aristocratie l'Autriche l'émigration l'Espagne l'esprit l'état l'Eu l'Europe l'histoire l'humanité l'ordre laissé Laybach législateur liberté lieu lois long-temps madame de Staël main malheur ment Mexico Mexique ministres monde Naples Napoléon nation nature opposition ordre Pape pareil parler passé pays personne peuple politique porter Portugal pouvoir premier prince principes propre Prusse Prussiens public puissance qu'à qu'un question raison refusé religion reste révolution richesse rien rique rope Russie s'est sent sera seul sévices social société supériorité sur-tout système fédératif terre tion trône Troppau trouve Turcs ture Turquie voilà
Popular passages
Page 168 - Jupin pour chaque état mit deux tables au monde : L'adroit, le vigilant, et le fort, sont assis A la première ; et les petits Mangent leur reste à la seconde.
Page 129 - Napoléon; vous ferez la perte de votre famille. Je vous accorderai la vie si vous me demandez pardon du crime que vous avez voulu commettre, et dont vous devez être fâché. — Je ne veux point de pardon ; j'éprouve le plus vif regret de n'avoir pu réussir.
Page 128 - Qui vous pousse à ce crime? — Personne; c'est l'intime conviction qu'en vous tuant. • je rendrais le plus grand service à mon pays et à l'Europe, qui m'a > mis les armes à la main.
Page 114 - Du sublime au ridicule il n'est qu'un pas », mais il ajoutait : « Le succès donnera de la témérité aux Russes ; je leur livrerai deux ou trois batailles entre l'Elbe et l'Oder, et, dans six mois, je serai encore sur le Niémen...
Page 130 - C'est celui d'une jeune personne que j'aime. — Elle sera sans doute bien affligée de votre aventure? — Elle sera affligée de ce que je n'ai pas réussi; elle vous abhorre autant que moi. — Mais enfin, si je vous f.-iis grâce, m'en saurez-vous gré ? — Je ne vous en tuerai pas moins.
Page 128 - N'avezvous pas eu l'intention de me tuer alors? — Non, je croyais que vous ne feriez plus la guerre à l'Allemagne ; j'étais un de vos plus grands admirateurs. — Depuis quand êtes-vous à Vienne?
Page 172 - ... qui constituent le droit public de l'Europe, toute prétendue réforme opérée par la révolte et la force ouverte. Ils ont agi, en conséquence de cette déclaration, dans les événements de Naples, dans ceux du Piémont, dans ceux même qui, sous des circonstances très-différentes, mais par des combinaisons également criminelles, viennent de livrer la partie orientale de l'Europe à des convulsions incalculables.
Page 130 - Je ne veux pas de pardon, j'éprouve le plus vif regret de n'avoir pu réussir. — Diable, il paraît qu'un crime n'est rien pour vous ? — Vous tuer n'est pas un crime, c'est un devoir. — Quel est ce portrait qu'on a trouvé sur vous? — Celui d'une jeune personne que j'aime. — Elle sera bien affligée de votre aventure? — Elle sera affligée de ce que je n'ai pas réussi ; elle vous abhorre autant que moi. — Mais enfin, si je vous fais grâce, m'en saurez- vous gré? — Je ne vous en...
Page 128 - Personne ; c'est l'intime conviction qu'en vous tuant je rendrai le plus grand service à mon pays et à l'Europe qui m'a mis les armes à la main. — Est-ce la première fois que vous me voyez ? — Je vous ai vu a Erfurth lors de l'entrevue.