La littérature franc̜aise contemporaine: recueil en prose et en vers de morceaux empruntés aux écrivains les plus renommés du XIXe siècle |
From inside the book
Results 1-5 of 28
Page 1
... plein de pensées élevées et écrit de verve , est le chef - d'œuvre de l'auteur . C'est M. de Maistre qui , dans le Bacon , a donné du beau cette définition qu'on croirait emprunté à Platon : " Le beau , dans tous les genres imaginables ...
... plein de pensées élevées et écrit de verve , est le chef - d'œuvre de l'auteur . C'est M. de Maistre qui , dans le Bacon , a donné du beau cette définition qu'on croirait emprunté à Platon : " Le beau , dans tous les genres imaginables ...
Page 9
... Ce ciel nouveau et son amour pour les beaux- arts lui inspirèrent Corinne ( 1807 ) , célèbre roman plein de charmes et d'intérêt , comme son séjour en Allemagne lui avait inspiré son beau livre sur l'Allemagne ( 1813 ) . Ce dernier ouvrage.
... Ce ciel nouveau et son amour pour les beaux- arts lui inspirèrent Corinne ( 1807 ) , célèbre roman plein de charmes et d'intérêt , comme son séjour en Allemagne lui avait inspiré son beau livre sur l'Allemagne ( 1813 ) . Ce dernier ouvrage.
Page 13
... plein de grandeur ; le jeune templier a dans le caractère toute la sévérité de l'état religieux qu'il professe ; et le juif est un vieillard qui a acquis une grande fortune dans le commerce , mais dont les lumières et la bienfaisance ...
... plein de grandeur ; le jeune templier a dans le caractère toute la sévérité de l'état religieux qu'il professe ; et le juif est un vieillard qui a acquis une grande fortune dans le commerce , mais dont les lumières et la bienfaisance ...
Page 19
... plein de poésie et de pompe , où il veut montrer la supériorité des moeurs chrétiennes et du merveilleux chrétien dans l'épopée ; et deux ans plus tard , l'ltinéraire de Paris à Jérusalem , livre admirable , auquel on ne peut reprocher ...
... plein de poésie et de pompe , où il veut montrer la supériorité des moeurs chrétiennes et du merveilleux chrétien dans l'épopée ; et deux ans plus tard , l'ltinéraire de Paris à Jérusalem , livre admirable , auquel on ne peut reprocher ...
Page 21
... Plein d'ardeur , je m'élançai seul sur cet orageux océan du monde , dont je ne connaissais ni les ports ni les écueils . Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant sur les débris de Rome et de la Grèce ...
... Plein d'ardeur , je m'élançai seul sur cet orageux océan du monde , dont je ne connaissais ni les ports ni les écueils . Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant sur les débris de Rome et de la Grèce ...
Other editions - View all
La Littérature Française Contemporaine: Recueil en Prose Et en Vers de ... No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
âme beau Biscotin Blanche-Nef Brisquet bruit c'était calme Caporal chant Charles Lévêque Charlotte Corday charme Chateaubriand cheval chien chose ciel cœur comédie comtes de Shrewsbury coup devant Dieu dire dit-il douce DUCHESSE écrivain ÉMILE AUGIER ÉMILE SOUVESTRE enfants esprit femme fille fleurs Floupin Fortunato front genoux gens George Sand gloire Gustave Planche heures heureux Histoire homme humaine j'ai jamais JEAN REBOUL jeune jour l'Académie française l'âme l'enfant l'histoire l'homme laisse littéraires littérature livre madame madame de Staël madame Récamier main maison maître Mattéo melon ment mère Mme DE FONTALBE Molière monde morale MORISSON mort mourir nuit œuvres ouvrages passer passion pauvre pensée père petits peuple philosophie pieds plaisir pleurs poëme poésie poëte porte publié qu'un regard reste rêve rien romans Saint-Marc Girardin sais scène semble sentiment sera seul siècle soir soleil sorte style succès sylphides talent terre tête tion tristesse vent Villemer voilà voix yeux Zambo
Popular passages
Page 112 - J'aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.
Page 69 - Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent, Oubliez les heureux. € Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit; Je dis à cette nuit : Sois plus lente; et l'aurore Va dissiper la nuit.
Page 69 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?
Page 95 - Si, comme je me plais à le croire, l'intérêt de la science est compté au nombre des grands intérêts nationaux, j'ai donné à mon pays tout ce que lui donne le soldat mutilé sur le champ de bataille. Quelle que soit la destinée de mes travaux, cet exemple, je l'espère, ne sera pas perdu. Je voudrais qu'il servît à combattre l'espèce d'affaissement moral qui est la maladie de la génération nouvelle ; qu'il pût ramener dans le droit chemin de la vie quelqu'une de ces âmes énervées...
Page 153 - Donnez! afin que Dieu, qui dote les familles, Donne à vos fils la force, et la grâce à vos filles; Afin que votre vigne ait toujours un doux fruit; Afin qu'un blé plus mûr fasse plier vos granges; Afin d'être meilleurs; afin de voir les anges Passer dans vos rêves la nuit! Donnez! il vient un jour où la terre nous laisse. Vos aumônes là-haut vous font une richesse. Donnez! afin qu'on dise: «II a pitié de nous!
Page 31 - Mon camarade y grimpa seul , et se coucha tout endormi , la tête sur sa précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand, sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par lu cheminée, qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai...
Page 96 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé elle-même, c'est le dévouement à la science.
Page 31 - Le souper fini on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre haute où nous avions mangé; une soupente élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher...
Page 70 - Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux ! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Page 112 - C'est là qu'il faut s'asseoir, c'est là qu'il faut entendre Les airs lointains d'un Cor mélancolique et tendre. Souvent un voyageur, lorsque l'air est sans bruit, De cette voix d'airain fait retentir la nuit ; A ses chants cadencés autour de lui se mêle L'harmonieux grelot du jeune agneau qui bêle.