La littérature franc̜aise contemporaine: recueil en prose et en vers de morceaux empruntés aux écrivains les plus renommés du XIXe siècle |
From inside the book
Results 1-5 of 70
Page 2
... dire Le donne son venute in eccelenza Di ciascun arte ove hanno posto cura . Je t'ai fait voir ce que cela vaut . Si une belle dame m'avait demandé , il y a vingt ans : " Ne croyez - vous pas , monsieur , qu'une dame pourrait être un ...
... dire Le donne son venute in eccelenza Di ciascun arte ove hanno posto cura . Je t'ai fait voir ce que cela vaut . Si une belle dame m'avait demandé , il y a vingt ans : " Ne croyez - vous pas , monsieur , qu'une dame pourrait être un ...
Page 9
... dire . Elle est son maître encor , dès qu'il s'essaie à lire ; Elle épelle avec lui dans un court entretien , Et redevient enfant pour instruire le sien . D'autres guident bientôt sa faible intelligence ; Leur dureté punit sa moindre ...
... dire . Elle est son maître encor , dès qu'il s'essaie à lire ; Elle épelle avec lui dans un court entretien , Et redevient enfant pour instruire le sien . D'autres guident bientôt sa faible intelligence ; Leur dureté punit sa moindre ...
Page 10
... dire cependant avec confiance , l'enthousiasme est de tous les sentiments celui qui donne le plus de bonheur , le seul qui en donne véritablement , le seul qui sache nous faire supporter la destinée humaine , dans toutes les situations ...
... dire cependant avec confiance , l'enthousiasme est de tous les sentiments celui qui donne le plus de bonheur , le seul qui en donne véritablement , le seul qui sache nous faire supporter la destinée humaine , dans toutes les situations ...
Page 20
... à errer aux bords des lacs immenses , à planer sur le gouffre des cataractes , et , pour ainsi dire , à se trouver seule devant Dieu . ( Génie du christianisme . ) LES VOYAGES DE RENÉ . 21 Les Voyages de René 20 CHATEAUBRIAND .
... à errer aux bords des lacs immenses , à planer sur le gouffre des cataractes , et , pour ainsi dire , à se trouver seule devant Dieu . ( Génie du christianisme . ) LES VOYAGES DE RENÉ . 21 Les Voyages de René 20 CHATEAUBRIAND .
Page 21
... purent à peine me le dire , les autres ignoraient la catastrophe qu'il retraçait . Rien ne m'a plus donné la * A Londres , derrière White - Hall , la statue de Charles Ter . juste mesure des événements de la vie , et du.
... purent à peine me le dire , les autres ignoraient la catastrophe qu'il retraçait . Rien ne m'a plus donné la * A Londres , derrière White - Hall , la statue de Charles Ter . juste mesure des événements de la vie , et du.
Other editions - View all
La Littérature Française Contemporaine: Recueil en Prose Et en Vers de ... No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
âme beau Biscotin Blanche-Nef Brisquet bruit c'était calme Caporal chant Charles Lévêque Charlotte Corday charme Chateaubriand cheval chien chose ciel cœur comédie comtes de Shrewsbury coup devant Dieu dire dit-il douce DUCHESSE écrivain ÉMILE AUGIER ÉMILE SOUVESTRE enfants esprit femme fille fleurs Floupin Fortunato front genoux gens George Sand gloire Gustave Planche heures heureux Histoire homme humaine j'ai jamais JEAN REBOUL jeune jour l'Académie française l'âme l'enfant l'histoire l'homme laisse littéraires littérature livre madame madame de Staël madame Récamier main maison maître Mattéo melon ment mère Mme DE FONTALBE Molière monde morale MORISSON mort mourir nuit œuvres ouvrages passer passion pauvre pensée père petits peuple philosophie pieds plaisir pleurs poëme poésie poëte porte publié qu'un regard reste rêve rien romans Saint-Marc Girardin sais scène semble sentiment sera seul siècle soir soleil sorte style succès sylphides talent terre tête tion tristesse vent Villemer voilà voix yeux Zambo
Popular passages
Page 112 - J'aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.
Page 69 - Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent, Oubliez les heureux. € Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit; Je dis à cette nuit : Sois plus lente; et l'aurore Va dissiper la nuit.
Page 69 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?
Page 95 - Si, comme je me plais à le croire, l'intérêt de la science est compté au nombre des grands intérêts nationaux, j'ai donné à mon pays tout ce que lui donne le soldat mutilé sur le champ de bataille. Quelle que soit la destinée de mes travaux, cet exemple, je l'espère, ne sera pas perdu. Je voudrais qu'il servît à combattre l'espèce d'affaissement moral qui est la maladie de la génération nouvelle ; qu'il pût ramener dans le droit chemin de la vie quelqu'une de ces âmes énervées...
Page 153 - Donnez! afin que Dieu, qui dote les familles, Donne à vos fils la force, et la grâce à vos filles; Afin que votre vigne ait toujours un doux fruit; Afin qu'un blé plus mûr fasse plier vos granges; Afin d'être meilleurs; afin de voir les anges Passer dans vos rêves la nuit! Donnez! il vient un jour où la terre nous laisse. Vos aumônes là-haut vous font une richesse. Donnez! afin qu'on dise: «II a pitié de nous!
Page 31 - Mon camarade y grimpa seul , et se coucha tout endormi , la tête sur sa précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand, sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par lu cheminée, qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai...
Page 96 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé elle-même, c'est le dévouement à la science.
Page 31 - Le souper fini on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre haute où nous avions mangé; une soupente élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher...
Page 70 - Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux ! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Page 112 - C'est là qu'il faut s'asseoir, c'est là qu'il faut entendre Les airs lointains d'un Cor mélancolique et tendre. Souvent un voyageur, lorsque l'air est sans bruit, De cette voix d'airain fait retentir la nuit ; A ses chants cadencés autour de lui se mêle L'harmonieux grelot du jeune agneau qui bêle.