La politique de RabelaisG. Fischbacher, 1880 - 189 pages |
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Alciat Alcofribas avoit baillant barbare beau belles boire Brydoie çà cause ceste chap Chapitre Charles VIII Charles-Quint chascun Chats-Fourrés chiquanous chose clergé coignée collége de Montaigu d'or Daniel Barbaro Décrétales devant diable Dieu dit-il donner Empereur enfants Erasme esprits esté estoient estoit estre Etats facultés Fleury force fouaces François Ier frère Jean fust Gargantua gens Geoffroy d'Estissac gouvernement Grandgousier Grippeminaud gryphes guerre Hésiode homme huissiers jamais jour juges justice l'Empereur l'Etat laisse ledit lesquelz lettres Livre lois loix Machiavel mains ment Michel Parmentier mieux mille monde n'était noble noblesse ordonné Pantagruel Panurge Pape Parlement passer pauvre pays pensée père peuple Philippe Strozzi Picrochole POLITIQUE DE RABELAIS Ponocrate prince procès procureurs qu'à qu'un quoy Rabelais raison Rathery rien rois Rome royal royaume s'en s'il saint Saint-Siége seigneur sentiment sera seront seulement sorte terre tion traictés Tribonien trouve tyran XVIe siècle
Popular passages
Page 153 - Faulte d'argent, c'est douleur non pareille — toutesfoys, il avoit soixante et troys manières d'en trouver tousjours à son besoing, dont la plus honorable et la plus commune estoit par façon de larrecin furtivement faict...
Page 159 - Car le peuple de Paris est tant sot, tant badaut, et tant inepte de nature, qu'un basteleur, un porteur de rogatons, un mulet avec ses cymbales, un vielleux au milieu d'un carrefour assemblera plus de gens que ne feroit un bon prescheur evangelique.
Page 20 - ... leur vie mesme qui soit à eux ! souffrir les pilleries, les paillardises, les cruautés, non pas d'une armée, non pas d'un camp barbare contre lequel il...
Page 156 - Et se gouverna si bien et prudentement Monsieur le nouveau chastellain qu'en moins de quatorze jours il dilapida le revenu certain et incertain de sa chastellenie pour troys ans.
Page 153 - ... homme de sa personne, sinon qu'il estoit quelque peu paillard, et subject de nature à une maladie qu'on appelloit en ce temps-là Faulte d'argent, c'est douleur non pareille...
Page 21 - Je ne veux pas que vous le poussiez, ni le branliez ; mais seulement ne le soutenez plus ; et vous le verrez, comme un grand colosse à qui on a dérobé la base, de son poids même fondre en bas, et se rompre.
Page 156 - Panurge pour se ruiner, prenant argent d'avance, achetant cher, vendant à bon marché, et mangeant son blé en herbe.
Page 21 - Que vous pourroit-il faire, si vous n'étiez receleurs du larron qui vous pille, complices du meurtrier qui vous tue, et traîtres de vous-mêmes?
Page 21 - Comment a il tant de mains pour vous frapper, s'il ne les prend de vous? Les pieds dont il foule vos citez, d'où les a il, s'ils ne sont des vostres? Comme a il aucun pouvoir sur vous , que par vous autres mesmes? Comment vous oseroit il courir sus, s'il n'avoit intelligence avec vous?
Page 81 - Le cinge ne guarde poinct la maison, comme un chien; il ne tire pas l'aroy, comme le...