Puis il prit une grammaire et nous lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant de... French reading for beginners - Page 1021899 - 310 pagesFull view - About this book
| Alphonse Daudet - 1876 - 352 pages
...notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien...dit qu'avant de s'en aller le pauvre homme voulait noiis donner tout son savoir, nous le faire entrer dans la tête d'un seul coup. La leçon (iniet on... | |
| Tyrtæus - 1879 - 156 pages
...leçon ; j'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il me disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien...explications. On aurait dit qu'avant de s'en aller, le pauvre cher homme voulait nous donner tout son savoir, nous le faire entrer dans la tête d'un seul coup.... | |
| Alphonse Daudet - French fiction - 1882 - 440 pages
...notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile , facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui, non plus, n'avait i. « S'il tient sa langue, — il tient la clef qui de ses chaînes le délivre. » F. MISTRAL. La... | |
| Alphonse Daudet - French fiction - 1882 - 388 pages
...notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile , facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui, non plus, n'avait i. « S'il tient sa langue, — il tient la clef qui de ses cli.iincs ]c délivre. » F. MISTRAL. 1... | |
| Alphonse Daudet - 1883 - 532 pages
...notre lecon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien...écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant de * « S'il tient sa langue, — il tient la clé qui de ses chaînes le délivre. » F. MISTRAL. patiente... | |
| Alphonse Daudet - 1883 - 394 pages
...notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile , facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui, non plus, n'avait 1. « S'il tient sa langue, — il tient la clef qui de ses chaînes le délivre. » F. M1STRAL. jamais... | |
| Bernard Francis O'Connor - French language - 1885 - 314 pages
...notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien...son savoir, nous le faire entrer dans la tête d'un seul coup. La leçon finie, on passa à l'écriture. Pour ce jourlà, M. Hamel nous avait préparé... | |
| Alphonse Daudet - 1885 - 84 pages
...notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien...voulait nous donner tout son savoir, nous le faire entier dans la tête d'un seul coup. La leçon finie, on passa ù l'écriture. Pour ce joui-là, M.... | |
| Alphonse Daudet - 1885 - 96 pages
...noire leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien...écouté et que lui non plus n'avait jamais mis autant de palicncc à ses explications. On aurait dit qu'avant de s'en aller le pauvre homme voulait nous donner... | |
| Ovando Byron Super - French language - 1888 - 320 pages
...jamais mis autant de patience à ses explications. On aurait dit qu'avant de s'en aller, le pauvre cher homme voulait nous donner tout son savoir, nous le faire entrer dans la tête2' d'un seul coup. » La leçon finie, on passa à l'écriture. Pour ce jour-là, M. Hamel nous... | |
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