Nouvelle grammaire française: sur un plan tres-méthodique ... |
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... laisse mon cœur vide . 33. Que nous sommes changeants ! souvent ce que nous haîmes autrefois est ce que nous préfé- rons aujourd'hui . 34. Les sciences fleurissaient chez les Chinois à une époque fort reculée . 35. La piété et la ...
... laisse mon cœur vide . 33. Que nous sommes changeants ! souvent ce que nous haîmes autrefois est ce que nous préfé- rons aujourd'hui . 34. Les sciences fleurissaient chez les Chinois à une époque fort reculée . 35. La piété et la ...
Page 44
... laisse se suc- céder lentement , et ne se joindre qu'à la faveur des mots , quels que élégants qu'ils soient , lẽ style sera diffus , lâche et traînant . 7. L'on se corrige quelquefois mieux par la vue du mal que par l'exemple du bien ...
... laisse se suc- céder lentement , et ne se joindre qu'à la faveur des mots , quels que élégants qu'ils soient , lẽ style sera diffus , lâche et traînant . 7. L'on se corrige quelquefois mieux par la vue du mal que par l'exemple du bien ...
Page 85
... laissé entrer dans teurs compositions . 52. Que de jeunes gens se sont laissés égarer de mauvais conseils ! par 53. Que d'hommes on a va tomber d'une haute fortune par les même défauts qui les У avaient faits monter . 54. Néron , une ...
... laissé entrer dans teurs compositions . 52. Que de jeunes gens se sont laissés égarer de mauvais conseils ! par 53. Que d'hommes on a va tomber d'une haute fortune par les même défauts qui les У avaient faits monter . 54. Néron , une ...
Page 86
... laissé . 60. Notre traversée fut aussi heureuse que nous l'avions présumée ; et quant à la fertilité de l'île , nous ne nous sommes pas trompé dans l'espé- rance que nous en avions conçu . 61. Les Russes sont venu tard , et ayant intro ...
... laissé . 60. Notre traversée fut aussi heureuse que nous l'avions présumée ; et quant à la fertilité de l'île , nous ne nous sommes pas trompé dans l'espé- rance que nous en avions conçu . 61. Les Russes sont venu tard , et ayant intro ...
Page 90
... s'est rendu célèbre par le naturel et les grâces qu'elle a répandu dans son style . 10. Les pleurs que je lui avais coûté sem- blaient avoir sillonnées ses joues . III . Les passions que vous avez laissé fomen- ter 90 EXERCICES.
... s'est rendu célèbre par le naturel et les grâces qu'elle a répandu dans son style . 10. Les pleurs que je lui avais coûté sem- blaient avoir sillonnées ses joues . III . Les passions que vous avez laissé fomen- ter 90 EXERCICES.
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Nouvelle Grammaire Francaise: Sur Un Plan Tres Methodique, Volume ..., Volume 1 François Noel No preview available - 2013 |
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admirable aime alentour Athènes avaient avez bataille de Pavie beauté belle bienfaits Boileaux bonheur bonne action bonté Calypso Carthage cent CHAPITRE Charlemagne chers choses ciel cœur Corneille courage crainte crime cruel d'ame d'être davantage décemvir Dieu Dieux digne disait divine donner douleur enfants ennemis esprit EXERCICES SUR L'EMPLOI fleurs fortune fruits gens gloire goût Gramm Grammaire grandeur Grèce Henri IV héros heureux Homère hommes humain jamais l'ame l'amour l'an l'avare l'esprit l'homme l'un et l'autre laissé lois Louis XIV loups-garou malheureux maux méchants ment mérite mollesse monde mort mortel mousson naître nations nature orgues pardonner passé passions peine penser père Pérou personnes peuples plaisir plaisirs plantes poète point-virgule prince PRONOMS pyramides d'Égypte qu'un quelquefois règne religion rendu reux richesses rois Romains s'est sage sagesse Saint Louis seule siècles Socrate soient soleil sots souvent talents Télémaque terre tion Turenne vanité vent vérité vertu vertueux vice victoire Virgile yeux
Popular passages
Page 181 - Zadig, s'il n'y avait que du bien, et point de mal ? Alors, reprit Jesrad, cette terre serait Une autre terre ; l'enchaînement des événements serait un autre ordre de sagesse; et cet ordre, qui serait parfait, ne peut être que dans la demeure éternelle de l'Être suprême, de qui le mal ne peut approcher.
Page 176 - Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers ! Qu'elle-même sur soi renverse ses murailles, Et de ses propres mains déchire ses entrailles! Que le courroux du ciel allumé par mes vœux Fasse pleuvoir sur elle un déluge de feux ! Puisse-je de mes yeux y voir tomber la foudre, Voir ses maisons...
Page 183 - C'est que la terre ne se lasse jamais de répandre ses biens sur ceux qui la cultivent*; son sein fécond ne peut s'épuiser. Plus il ya d'hommes dans un...
Page 87 - Il en est de l'honneur comme de la neige, qui ne peut jamais reprendre son éclat ni sa pureté dès qu'elle les a perdu. 80. La conduite que j'avais supposée que vous tiendriez, vous l'avez tenu, et vous en avez e'té blâmé. 8l i Bcs ji-'iuie» serviteurs que sou toit •> vu naître Animent la maison, et bénirent leur, uuilre.
Page 180 - N'attendez pas, messieurs, que j'ouvre ici une scène tragique, que je représente ce grand homme étendu sur ses propres trophées, que je découvre ce corps pale et sanglant auprès duquel fume encore la foudre qui l'a frappé...
Page 107 - ... personne. 30. Il ya pour l'homme de bien une sorte de pudeur à baisser la vue, pour ne pas rencontrer ni les faiblesses du génie, ni les fautes de la vertu. 31. L'homme vain méprise les talents qu'il n'a pas ; et s'il n'en a pas aucuns, il les méprise tous.
Page 185 - Mais regardons encore une fois ces voûtes immenses , où brillent les astres , et qui couvrent nos têtes. Si ce sont des voûtes solides, qui en est l'architecte? Qui est-ce qui a attaché tant de grands corps lumineux à certains endroits de ces voûtes, de distance en distance?
Page 178 - Dieu est présent partout gouverne tout prévoit tout et pourvoit à tout est ce que nous nommons la Providence. 11. La chose la plus aisée devient pénible quand on la fait à contre-cœur. 12. Votre providence ô Père céleste gouverne et conduit toutes choses.
Page 180 - En examinant avec plus d'attention , nous voyons des montagnes affaissées , des rochers fendus et brisés , des contrées englouties , des îles nouvelles , des terrains submergés , des cavernes comblées ; nous trouvons des matières pesantes souvent posées sur des matières légères ; des corps durs environnés de substances molles ; des choses sèches, humides, chaudes, froides, solides , friables, toutes mêlées , et dans une espèce de confusion qui ne nous présente d'autre image que celle...
Page 131 - Aristote et Pline. Tous deux, infatigables comme lui dans le travail, étonnent par l'immensité de leurs connaissances, et par celle des plans qu'ils ont...