Histoire génèrale, physique et civile de l'Europe

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Popular passages

Page 48 - La Confédération germanique a le droit, comme Puissance collective, de déclarer la guerre, de faire la paix, de contracter des alliances, et de négocier des Traités de toute espèce. Toutefois, d'après le but de son institution, tel qu'il est énoncé...
Page 11 - Trêves) et quatre laïques (le roi de Bohême, le comte palatin du Rhin, le duc de Saxe et le margrave de Brandebourg).
Page 400 - N'oubliez pas, en quelque pays que vous fassiez la guerre , que les gens d'église, les femmes, les enfants et le menu peuple ne sont pas vos ennemis.
Page 133 - Nous, considérant que notre royaume est dit et nommé le royaume des Francs, et voulant que la chose en vérité soit accordante au nom ..... par délibération de notre grand...
Page 189 - Peut-être avez-vous donné occasion à la révolte par votre négligence à rendre la justice que vous devez à vos peuples : c'est ce que je ne veux point examiner pour le présent. Il m'a fallu faire de grandes dépenses pour une pareille expédition...
Page 313 - Jean de Conflans, maréchal de Champagne , et Robert de Clermont, maréchal de Normandie , qui avaient fait saisir et livrer au supplice 8. a» le meurtrier de Jean Baillet ; il ordonne qu'on les massacre : leur sang rejaillit sur le dauphin.
Page 404 - Les clercs où sapience l'on ne peut trop honorer , et tant que sapience sera honorée en ce royaume, il continuera à prospérité : mais quand déboulée y sera , il décherra.
Page 97 - Philippe-le-Bel avait accordé au cardinal Pierre Colonne tous les biens mal acquis de son royaume par qui que ce soit, et de quelque manière qu'ils fussent possédés.
Page 400 - Je ne sais, ajoula-t-il, si je retournerai du lieu où je vais ; je suis vieilli , et non pas las. Je vous supplie très-humblement que vous fassiez la paix avec le duc de Bretagne, et aussi que vous le laissiez en paix, se soumettant à son devoir ; car les gens de guerre du pays vous ont très-bien secouru à toutes vos conquêtes, et pourront encore faire, s'il vous plaît de vous eu servir.
Page 133 - Nous avons appris que, quand vous assistiez à l'office divin, particulièrement à la messe, vous parlez tantot à l'un, tantôt à l'autre, et vous vous appliquez à des affaires qui vous détournent de l'attention que vous devez donner aux prières qui se font pour vous et pour le peuple. Vous devriez aussi, depuis votre sacre, prendre des manières plus graves, et porter le manteau royal comme vos ancêtres. On dit que, dans vos quartiers, on profane le dimanche, en rendant la justice...

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