Napoléon et sa famille, Volume 5P. Ollendorff, 1903 - France |
Other editions - View all
Common terms and phrases
abdication affaires Amsterdam Anglais arrivée Bonaparte Boubers Brabant Bylandt Cagliari Campi Canino Caroline Champagny chose Cività Compiègne Conseil consent Corps législatif Corse couronne croit d'ailleurs d'Amsterdam Decazes décembre déclare décret demande départ dit-il divorce doit donner duc de Reggio écrit écrit-il enfants envoyé famille femme Fesch fils Fouché frère général gouvernement grand-duché grand-duché de Berg grand-duché de Francfort Gratz Haarlem Hollande Hortense impériale j'ai Jérôme Joséphine jour l'Angleterre l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire l'Impératrice laisse lettre Lolotte Louis Lucien Madame Majesté Malte mariage Marie-Louise ment Meuse ministre Murat Napoléon négociation ordres Osnabrück Oudinot passeports passer Pauline pays pense pereur peuple Pie VII police politique porte pourrait prendre présent prince princesse protestations raison refuse reine répond résistance reste retour réunion reur rien Rochefoucauld Roëll royaume Russie s'est s'il Saint-Leu Sénat sénateur sénatus-consulte sera Sérurier seul Sir Robert Adair sorte tion Toeplitz traité trône troupes françaises trouve Utrecht veut voyage Zélande
Popular passages
Page 342 - J'ai fait dresser le plan d'un canal qui sera exécuté avant cinq ans, et qui joindra la Baltique à la Seine. » Des indemnités seront données aux princes qui pourront se trouver froissés par cette grande mesure , que commande la nécessité, et qui appuie sur la Baltique la droite des frontières de mon Empire.
Page 148 - La Hollande n'est réellement qu'une portion de la France. Ce pays peut se définir en disant qu'il est l'alluvion du Rhin, de la Meuse et de l'Escaut, c'està-dire des grandes artères de l'Empire.
Page 238 - ... but de ma politique. Bien loin de cela, vous avez suivi une route diamétralement opposée ; je me suis vu forcé de vous interdire la France et de m'emparer d'une partie de votre pays.
Page 270 - Considérant que la malheureuse situation du royaume résulte de l'indisposition de l'empereur mon frère contre moi ; considérant que tous mes efforts et sacrifices possibles ont été inutiles pour faire cesser cet état de choses; considérant enfin qu'il est indubitable que la cause en est dans le malheur que j'ai eu de déplaire et d'avoir perdu l'amitié de mon frère, et qu'en conséquence je suis le véritable obstacle à la fin de...
Page 237 - Saviez-vous pourquoi vous étiez le port de la Hollande? C'est que vous étiez le pacte d'une union éternelle avec la France, le lien d'une communauté d'intérêts avec moi; et la Hollande, devenue par vous partie de mon empire, m'était aussi chère province, puisque je lui avais donné un prince qui était presque mon fils. Si vous eussiez été ce que vous deviez être, je prendrais autant d'intérêt à la Hollande qu'à la France...
Page 282 - N'oubliez jamais, dans quelque position que vous placent ma politique et l'intérêt de mon Empire , que vos premiers devoirs sont envers moi, vos seconds envers la France : tous vos autres devoirs, même ceux envers les peuples que je pourrais vous confier, ne viennent qu'après.
Page 278 - France ne peut l'aire une plus précieuse acquisition. » La réunion de la Hollande à la France est la suite nécessaire de la réunion de la Belgique ; elle complète l'Empire de "Votre Majesté , et l'exécution de son système de guerre , de politique et de commerce. C'est un premier pas , mais un pas nécessaire vers la restauration de sa marine ; enfin c'est le coup le plus sensible que Votre Majesté puisse porter à l'Angleterre.
Page 239 - Écoutez un homme qui en sait plus que vous. Revenez de votre fausse route; soyez bien Français de cœur, ou votre peuple vous chassera, et vous sortirez de Hollande l'objet de la risée et de la pitié des Hollandais.
Page 238 - Hollandais vous n'êtes pour eux qu'un Français au milieu d'eux depuis quatre ans seulement ; ils ne voient en vous que moi, et l'avantage de se trouver à l'abri des voleurs et des agitateurs subalternes qui l'ont fatiguée depuis la conquête. Lorsque vous vous montrerez mauvais Français, vous êtes moins pour eux qu'un prince d'Orange, au sang duquel ils doivent le rang de nation et une longue suite de prospérité et de gloire.
Page 238 - Hollande, devenue par vous partie de mon empire, m'était aussi chère province, puisque je lui avais donné un prince qui était presque mon fils. Si vous eussiez été ce que vous deviez être, je prendrais autant d'intérêt à la Hollande qu'à la France ; sa prospérité me serait aussi à cœur que celle de la France ; et certes, en vous mettant sur le trône de...