...entonner son couplet triomphant de la vingtième année, intitulé : Fatuité. Je suis jeune, le sang dans mes veines abonde, Mes cheveux sont de jais et mes regards de feu... La Princesse veut modérer son enthousiasme et lui dit, à propos de Mme Sand qui s'est cloîtrée...

...reflets ternes. Partout des bruits de char, des chants, des voix, des cris. FATUITÉ. Je suis jeune ; la pourpre en mes veines abonde ; Mes cheveux sont de...l'air de Dieu. Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter, je jette et mes nuits et mes jours, Et, parmi les flacons, souvent l'aube...

...Blonde Italie, adieu ! .— Nous sommes à Paris ! Î5. 294 LES MATELOTS. FATUITE. Je suis jeune; la pourpre en mes veines abonde; Mes cheveux sont de...l'air de Dieu. Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter, je jette et mes nuits et mes jours, Et, parmi les flacons, souvent l'aube...

...vif chaque sentiment qui le traverse et qui fut vrai, ne fût-ce qu'un moment) : Je suis jeune, la pourpre en mes veines abonde ; Mes cheveux sont de...soufflent de Bohème, Sans les compter je jette et mes nuils et mes jours, Et, parmi les flacons, souvent l'aube au teint blême M'a surpris dénouant un...

...chants, des voix, des cris. Blonde Italie, adieu! — Nous sommes à Paris! FATUITÉ. Je suis jeune; la pourpre en mes veines abonde; Mes cheveux sont de...l'air de Dieu. Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter, je jette et mes nuits et mes jours, Et, parmi les flacons, souvent l'aube...

...vif chaque sentiment qui le traverse et qui fut vrai, ne fût-ce qu'un moment) : Je suis jeune, la pourpre en mes veines abonde; Mes cheveux sont de...l'air de Dieu. Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter je jette et mes nuits et mes jours, Et, parmi les flacons, souvent l'aube...

...des voix, des cris. Blonde Italie, adieu ! — Nous sommes à Paris ! FATUITÉ. Je suis jeune ; la pourpre en mes veines abonde ; Mes cheveux sont de...l'air de Dieu. Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter, je jette et mes nuits et mes jour$, Et, parmi les flacons, souvent l'aube...

...vif chaque sentiment qui le traverse et qui fut vrai, ne fût-ce qu'un moment) : Je suis jeune, la pourpre en mes veines abonde ; Mes cheveux sont de...l'air de Dieu. Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter je jette et mes nuils et mes jours, Et, parmi les flacons, souvent l'aube...

...fut vrai, ne fût-ce qu'un moment) : Je suis jeune, la pourpre eu mes veines abonde; Mes cheveux gont de jais et mes regards de feu, Et, sans gravier ni...l'air de Dieu. . Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter je jette et mes nuits et mes jours, Et, parmi les flacons, souvent l'aube...

...abonde ; Mes cheveux sont de jais et mes regard de feu, Et, sans gravier ni toux, ma poitrine profonds Aspire à pleins poumons l'air du ciel, l'air de Dieu. Aux vents capricieux qui soufflent de Bohême, Sans les compter je jette et mes nuit et mes jourSj_ A^ Et, parmi les flacons, souvent l'aube...