A-H (XLIV, 480 p.)chez Aimé Payen, 1848 |
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action action physique appas assez Aulu-Gelle Beauzée Boileau cagot canon carac caractère cause chose Cicéron cœur commerce considération corps crime d'Alembert désigne dessein Dieu différence dire discours distinction distingue doit donne également employé Encycl espèce esprit état Exhéréder exprime faible femme finesse force forme fortune galanterie général genre gens gentils goulu goût guère homme honnête Hydropote idée indique l'abbé Girard l'action l'âme l'amour l'autre l'effet l'égard l'esprit l'homme L'homme fragile l'idée l'objet l'un l'usage langue latin lorsqu'il louange Louis XIV manière marque ment mérite Molière moral mots désignent naturel objet onomatopées ordinairement ouvrage pable paraît parler particulier passion personnes peuple physique plaisir plutôt premier présent prince puissance qu'à qu'un qualités quelquefois raison rapport règle rence rien s'applique second semble sens figuré sens propre sentiment sert seul signifie simple sorte souvent style sujet suppose synonymes termes terminaison tion valeur propre Vaugelas verbe vérité vertu veut vient
Popular passages
Page 177 - La parfaite raison fuit toute extrémité, Et veut que l'on soit sage avec sobriété. Cette grande roideur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les communs usages...
Page 425 - L'habile homme est celui qui cache ses passions, qui entend ses intérêts, qui y sacrifie beaucoup de choses , qui a su acquérir, du bien ou en conserver. L'honnête homme est celui qui ne vole pas sur les grands chemins , et qui ne tue personne ; dont les vices enfin ne sont pas scandaleux.
Page 75 - MAHOMET. Le droit qu'un esprit vaste, et ferme en ses desseins, A sur l'esprit grossier des vulgaires humains ". ZOPIRE.
Page 378 - La finesse dans les ouvrages d'esprit, comme dans la conversation, consiste dans l'art de ne pas exprimer directement sa pensée, mais de la laisser aisément apercevoir; c'est une énigme dont les gens d'esprit devinent tout d'un coup le mot.
Page 406 - L'amour de ce beau éternel qui caractérise la nature ; la passion de conformer ses tableaux à je ne sais quel modèle qu'il a créé, et d'après lequel il a les idées et les sentiments du beau, sont le goût de l'homme de génie. Le...
Page 277 - Fuyez de ces auteurs l'abondance stérile, Et ne vous chargez point d'un détail inutile. Tout ce qu'on dit de trop est fade et rebutant, L'esprit rassasié le rejette à l'instant.
Page 197 - Déférer est un acte d'honnêteté ; c'est une préférence que l'on accorde au mérite. Quand la conjuration de Catilina fut éventée, les Romains convaincus du mérite de Cicéron et du besoin qu'ils avaient alors de ses lumières et de son zèle, lui déférèrent unanimement le consulat : ils ne firent que le conférer à Antoine.
Page 126 - ... qu'un simple service, lorsqu'on est réduit à la nécessité indispensable de s'en acquitter. On a pourtant raison de dire que l'affection avec laquelle on s'acquitte de ce qu'on doit, mérite d'être comptée pour quelque chose.
Page 209 - Ainsi la chose est continuent la tenue de sa constitution ; elle est continuelle par la tenue de sa durée. Le cliquet d'un moulin en mouvement fait un bruit continuel, parce qu'il est le même, sans interruption , tant que le moulin tourne ; mais ce bruit n'est pas continu, parce qu'il est composé de retours périodiques séparés par des intervalles de silence; il est divisé (B.) 292; Continuer, Persévérer, Persister.
Page xxv - Les .termes, en passant de l'une des parties du discours à une autre, n'ont pas toujours gardé le même sens. Les verbes formés d'un substantif se sont écartés de leur origine ; les adverbes, les adjectifs , Ont suivi une marche aussi irrégulière. Voltaire a même remarqué que « les mots en passant du substantif au verbe ont rarement la même signification.