FablesPellerin et compagnie Imp.-édit. Imagerie d'Epinal, 1863 - 448 pages |
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... Enfin il avait trouvé un tempérament : c'était de choisir des fables qui con- tinssent quelque chose de véritable , telles que celles d'Esope . Il employa donc à les mettre en vers les derniers moments de sa vie . Socrate n'est pas le ...
... Enfin il avait trouvé un tempérament : c'était de choisir des fables qui con- tinssent quelque chose de véritable , telles que celles d'Esope . Il employa donc à les mettre en vers les derniers moments de sa vie . Socrate n'est pas le ...
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... enfin le ciel et la terre ; de même aussi , par les raisonnements et conséquences que l'on peut tirer de ces fables , on se forme le jugement et les mœurs , on se rend ca- pable des grandes choses . Elles ne sont pas seulement morales ...
... enfin le ciel et la terre ; de même aussi , par les raisonnements et conséquences que l'on peut tirer de ces fables , on se forme le jugement et les mœurs , on se rend ca- pable des grandes choses . Elles ne sont pas seulement morales ...
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... Enfin mainte et mainte machine Qui causera dans la saison Votre mort ou votre prison . Gare la cage ou le chaudron : C'est pourquoi , leur dit l'hi ; ondeйle , Mangez ce grain ; et croyez - moi . Les oiseaux se moquèrent d'elle : Ils ...
... Enfin mainte et mainte machine Qui causera dans la saison Votre mort ou votre prison . Gare la cage ou le chaudron : C'est pourquoi , leur dit l'hi ; ondeйle , Mangez ce grain ; et croyez - moi . Les oiseaux se moquèrent d'elle : Ils ...
Page 13
... Enfin , l'éloge de ces dieux Faisait les deux tiers de l'ouvrage . L'athlète avait promis d'en payer un talent ; Mais quand il le vit , le galant N'en donna que le tiers , et dit fort franchement Que Castor at Pollux acquittassent le ...
... Enfin , l'éloge de ces dieux Faisait les deux tiers de l'ouvrage . L'athlète avait promis d'en payer un talent ; Mais quand il le vit , le galant N'en donna que le tiers , et dit fort franchement Que Castor at Pollux acquittassent le ...
Page 14
... Souvent , sans déroger , trafique de sa peine ; Enfin , qu'on doit tenir notre art en quelque prix . Les grands se font honneur , dès lors qu'ils nous font Igrâce : ] Jadis l'Olympe et le Parnasse Étaient frères et bons amis # 14 FABLES .
... Souvent , sans déroger , trafique de sa peine ; Enfin , qu'on doit tenir notre art en quelque prix . Les grands se font honneur , dès lors qu'ils nous font Igrâce : ] Jadis l'Olympe et le Parnasse Étaient frères et bons amis # 14 FABLES .
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Adieu Amour animaux Apollon assez Baucis baudet beau belette belle berger bête bois bout C'était cent Cérès cerf chasseur chat cheval chien chose ciel cœur conte corbeau cormoran coup crier crut Dieu dieux dire dit-il dit-on donne doux encens enfants enfin Esope esprit eût FABLE IX FABLE VII FABLE XI FABLE XII fais femme fendre du bois Fortune gåte gens Grenouilles Hippocrate homme hôte J'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse lièvre lion logis loup MADAME DE MONTESPAN maint maître malheureux maltre manger messieurs mieux monde mort mouche mouton n'en neuf sœurs pareils passer pauvre peine père peuple Phèdre pieds Pilpay plaisir Pluton prendre prince qu'à qu'un queue raison renard repartit rien s'en sage Scythe seigneur seul singe sire Socrate sœur soins sort souris Styx tête Tircis tortue trésor trouva Ulysse veux vient voilà voleurs
Popular passages
Page 144 - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.
Page 50 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Page 118 - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 200 - Ne pleurez point ; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai : J'étais là ; telle chose m'advint : Vous y croirez être vous-même.
Page 5 - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 201 - J'ai quelquefois aimé : je n'aurais pas alors Contre le Louvre et ses trésors, Contre le firmament et sa voûte céleste, Changé les bois, changé les lieux Honorés par les pas, éclairés par les yeux De l'aimable et jeune bergère Pour qui, sous le fils de Cythère, Je servis, engagé par mes premiers serments.
Page 145 - Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma foi, Monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard savetier, ce n'est point ma manière De compter de la sorte; et je n'entasse guère Un jour sur l'autre: il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année; Chaque jour amène son pain.
Page 241 - C'est ainsi que ma muse, aux bords d'une onde pure, Traduisoit en langue des dieux Tout ce que disent sous les cieux Tant d'êtres empruntant la voix de la nature.
Page 118 - Au dire de chacun, étaient de petits saints. L'âne vint à son tour, et dit: «J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la krgeur de ma langue; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 38 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.