Les trois dictions |
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Page 24
... remarquer M. Brémont1 , jusqu'à trois manières de pro- noncer le mot désir dans l'ancien répertoire , on pro- nonce soit d'sir ou desir , avec une élision ou un e muet ; dans le nouveau , on prononce désir . Certains pension- naires ou ...
... remarquer M. Brémont1 , jusqu'à trois manières de pro- noncer le mot désir dans l'ancien répertoire , on pro- nonce soit d'sir ou desir , avec une élision ou un e muet ; dans le nouveau , on prononce désir . Certains pension- naires ou ...
Page 50
... remarquer l'enchaînement , la progression et les conclusions successives de chaque jugement . Il nous a semblé piquant , à propos d'un discours du plus grand orateur de l'Assemblée Constituante , de rappor- ter quelques opinions sur la ...
... remarquer l'enchaînement , la progression et les conclusions successives de chaque jugement . Il nous a semblé piquant , à propos d'un discours du plus grand orateur de l'Assemblée Constituante , de rappor- ter quelques opinions sur la ...
Page 89
... remarquer avec Ménage que la prose du Sicilien est remplie de vers blancs , avec Castil - Blaze que la pièce fourmille de vers de toute mesure ; il accorde à M. de Montaiglon que la pièce est écrite en vers libres non rimés ce qui est ...
... remarquer avec Ménage que la prose du Sicilien est remplie de vers blancs , avec Castil - Blaze que la pièce fourmille de vers de toute mesure ; il accorde à M. de Montaiglon que la pièce est écrite en vers libres non rimés ce qui est ...
Page 128
... remarquer que Molière ne put jamais aborder les grands rôles tragiques et que le public se refusa tou- jours à l'y tolérer , soit que le naturel dont il avait pris l'usage dans le comique le portât à une trop grande sim- plicité dans la ...
... remarquer que Molière ne put jamais aborder les grands rôles tragiques et que le public se refusa tou- jours à l'y tolérer , soit que le naturel dont il avait pris l'usage dans le comique le portât à une trop grande sim- plicité dans la ...
Page 146
... remarquer judicieusement M. de Souza dans les lignes suivantes : ( ( Depuis que s'est perdue l'habitude de chanter le vers , selon la méthode des acteurs tragiques du xviio siècle , l'art de la diction , fait toujours prédominer le sens ...
... remarquer judicieusement M. de Souza dans les lignes suivantes : ( ( Depuis que s'est perdue l'habitude de chanter le vers , selon la méthode des acteurs tragiques du xviio siècle , l'art de la diction , fait toujours prédominer le sens ...
Common terms and phrases
accents mélodiques accents toniques acteurs Alfred de Musset âme assez Aufresne avons beau Berkeley Berkeley bon diseur cadence cadence parfaite CALIFORNIA LIBRARY césure chanter CHAPITRE charme chose cœur Combarieu comédien consonne Constant Coquelin déclamation diction correcte diction expressive diction rythmique dire donner écrit Elfes Elfes joyeux dansent force général goût groupes symétriques Guyau harmonie homme idées interpréter intervalles juste l'accent l'acteur l'alexandrin l'âme l'art l'émotion l'interprétation l'oreille langage lecteur Lekain Léon Dierx lèvres logique lyrique ment mesure Molière Monvel morceau mots Mounet-Sully mouvement muet musical musiciens musique Musset naturel parler passer passion pensée phrase pieds poème poésie poète poétique ponctuation premier prononciation prose qu'un raison réciter respiration rime rôle rythme Sarah Bernhardt sensations sensibilité sentiments sera seul simple soir sonate sonorité sorte souvent strophe surtout syllabe tonique syllabes talent Talma théâtre timbre tion tonique intensif tragiques UNIVERSIT Berkeley UNIVERSITY OF CALIFORNIA valeur vérité Victor Hugo virgule voix voyelles yeux
Popular passages
Page 164 - Comme il a ridé mon front. Le même cours des planètes Règle nos jours et nos nuits : On m'a vu ce que vous êtes ; Vous serez ce que je suis. Cependant j'ai quelques charmes Qui sont assez éclatants Pour n'avoir pas trop d'alarmes De ces ravages du temps.
Page 162 - C'est assez, dit le rustique ; Demain vous viendrez chez moi : Ce n'est pas que je me pique De tous vos festins de Roi ; Mais rien ne vient m'interrompre Je mange tout à loisir. Adieu donc ; fi du plaisir Que la crainte peut corrompre.
Page 39 - Eh! ne voyez-vous donc pas qu'eu décrétant la banqueroute, ou, ce qui est plus odieux encore, en la rendant inévitable sans la décréter, vous vous souillez d'un acte mille fois plus criminel, et chose inconcevable, gratuitement criminel ! Car enfin cet horrible sacrifice ferait du moins disparaître le déficit. Mais croyezvous parce que vous n'aurez pas payé que vous ne devrez plus rien ? Croyez-vous que les milliers, les...
Page 42 - Gardez-vous de demander du temps, le malheur n'en accorde jamais... Eh! Messieurs, à propos d'une ridicule motion du Palais-Royal, d'une risible insurrection qui n'eut jamais d'importance que dans les imaginations faibles, ou les desseins pervers de quelques hommes de mauvaise foi, vous avez entendu naguère ces mots forcenés: Catilina est aux ,portes de Rome, et l'on délibère (1) ! Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome...
Page 126 - Quand sur une personne on prétend se régler, C'est par les beaux côtés qu'il lui faut ressembler; Et ce n'est point du tout la prendre pour modèle, Ma sœur, que de tousser et de cracher comme elle.
Page 41 - Votez donc ce subside extraordinaire, et puisse-t-il être suffisant ! votez-le, parce que, si vous avez des doutes sur les moyens, doutes vagues et non éclaircis, vous n'en avez pas sur sa nécessité et sur notre impuissance à le remplacer, immédiatement du moins Votez-le, parce que les circonstances publiques ne souffrent aucun retard, et que nous serions coupables de tout délai.
Page 69 - D'un bel enfant qui dort la bouche demi-close, Gracieux comme l'orient, Tandis qu'avec amour sa nourrice enchantée D'une goutte de lait au bout du sein restée Agace sa lèvre en riant. Le père alors posait ses coudes sur sa chaise, Son cœur plein de sanglots se dégonflait à l'aise, II pleurait, d'amour éperdu!... — Sois béni, pauvre enfant, tête aujourd'hui glacée, Seul être qui pouvais distraire sa pensée Du trône du monde perdu ! V Tous deux sont morts.
Page 39 - Deux siècles de déprédations et de brigandages ont creusé le gouffre où le royaume est près de s'engloutir. Il faut le combler, ce gouffre effroyable ! Eh bien, voici la liste des propriétaires français. Choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de citoyens ; mais choisissez : car ne faut-il pas qu'un petit nombre périsse pour sauver la masse du peuple t Allons ! ces deux mille notables possèdent de quoi combler le déficit.
Page 96 - Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche, Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler. Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler.
Page 41 - J'entends parler de patriotisme, d'élans de patriotisme, d'invocations au patriotisme. Ah ! ne prostituez pas ces mots de patrie et de patriotisme. Il est donc bien magnanime, l'effort de donner une portion de son revenu pour sauver tout ce qu'on possède ! Eh ! messieurs, ce n'est là que de la simple arithmétique, et celui qui hésitera ne peut désarmer l'indignation que par le mépris que doit inspirer sa stupidité. Oui, messieurs, c'est la prudence la plus ordinaire, la sagesse la plus triviale...