FablesLebigre, 1836 - 360 pages |
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Page 23
... cent têtes d'une hydre au travers une haie . Mon sang commence à se glacer , Et je crois qu'à moins on s'effraie . Je n'en eus toutefois que la peur sans le mal : Jamais le corps de l'animal Ne put venir vers moi , ni trouver d ...
... cent têtes d'une hydre au travers une haie . Mon sang commence à se glacer , Et je crois qu'à moins on s'effraie . Je n'en eus toutefois que la peur sans le mal : Jamais le corps de l'animal Ne put venir vers moi , ni trouver d ...
Page 37
... cent batailles , N'avaient pu mettre à bout cette fière cité ; Quand un cheval de bois par Minerve inventé , D'un rare et nouvel artifice , Dans ses énormes flancs reçut le sage Ulysse , Le vaillant Diomède , Ajax l'impétueux , Que ce ...
... cent batailles , N'avaient pu mettre à bout cette fière cité ; Quand un cheval de bois par Minerve inventé , D'un rare et nouvel artifice , Dans ses énormes flancs reçut le sage Ulysse , Le vaillant Diomède , Ajax l'impétueux , Que ce ...
Page 46
... cent lieux le harcelle Tantôt pique l'échine , et tantôt le museau , Tantôt entre au fond du naseau . La rage alors se trouve à son faîte montée . 1 pour je me souci de cela . v . 2 pour aux environs . v . i L'invisible ennemi triomphe ...
... cent lieux le harcelle Tantôt pique l'échine , et tantôt le museau , Tantôt entre au fond du naseau . La rage alors se trouve à son faîte montée . 1 pour je me souci de cela . v . 2 pour aux environs . v . i L'invisible ennemi triomphe ...
Page 55
... cent moutons le plus gras , Un vrai mouton de sacrifice : On l'avait réservé pour la bouche des dieux . Gaillard corbeau disait en le couvant des yeux : Je ne sais qui fut ta nourrice , Mais ton corps me paraît en merveilleux état ; Tu ...
... cent moutons le plus gras , Un vrai mouton de sacrifice : On l'avait réservé pour la bouche des dieux . Gaillard corbeau disait en le couvant des yeux : Je ne sais qui fut ta nourrice , Mais ton corps me paraît en merveilleux état ; Tu ...
Page 57
... cent sortes de soies Qui te panades , qui déploies Une si riche queue et qui semble à nos yeux La boutique d'un lapidaire ? ; Est - il quelque oiseau sous les cieux Plus que toi capable de plaire ? Tout animal n'a pas toutes propriétés ...
... cent sortes de soies Qui te panades , qui déploies Une si riche queue et qui semble à nos yeux La boutique d'un lapidaire ? ; Est - il quelque oiseau sous les cieux Plus que toi capable de plaire ? Tout animal n'a pas toutes propriétés ...
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Common terms and phrases
Adieu Amphitrite animaux Apollon baudet beau belette belle berger bête bois bout C'était cent Cérès cerf chasseur chat chauve-souris chercher cheval chèvre chien chose cieux cœur compère conte corbeau cormoran coup crier crut dents Dieu dieux dire dit-il dit-on doux encens enfans enfin Eschyle Esope esprit eût fable fais femme fille fils fortune fourmi gens Grenouilles hibou Hippocrate homme hydre J'ai J'en jeune jour Jupiter l'aigle l'âne l'animal l'autre L'avare l'homme l'oiseau l'ours L'un là-dessus laisse lapin lièvre lion logis loup MADAME DE MONTESPAN maint maître malheureux manger messieurs mieux mort mouche mouton n'en neuf sœurs oiseaux passer pauvre peine père peuple pieds Pilpay plaisir porte prendre prince qu'à qu'un queue raison renard rien s'en sage Scythe Seigneur sera seul singe sire soin songe sort souris Styx tête Tircis tombe tortue trésor troupeau trouva Ulysse veux vient voilà voleurs voulait
Popular passages
Page 11 - S'enfla si bien qu'elle creva. Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.
Page 11 - A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : 'Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 300 - J'en puis jouir demain, et quelques jours encore; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Page 170 - Mes amis, dit le solitaire, Les choses d'ici-bas ne me regardent plus : En quoi peut un pauvre reclus Vous assister? que peut-il faire Que de prier le ciel qu'il vous aide en ceci? J'espère qu'il aura de vous quelque souci.
Page 114 - L'épouvante est au nid plus forte que jamais. Il a dit ses parents, mère ! c'est à cette heure... Non , mes enfants ; dormez en paix : Ne bougeons de notre demeure. L'alouette eut raison ; car personne ne vint. Pour la troisième fois , le maître se souvint De visiter ses blés. Notre erreur est extrême , Dit-il , de nous attendre à d'autres gens que nous.
Page 84 - Egratigné quelqu'un , causé quelque dommage ; Enfin , qu'on a pendu le mauvais garnement. Toutes , dis-je , unanimement Se promettent de rire à son enterrement, Mettent le nez à l'air , montrent un peu la tête , Puis rentrent dans leurs nids à rats , Puis , ressortant , font quatre pas , Puis enfin se mettent en quête. Mais voici bien une autre fête: Le pendu ressuscite , et, sur ses pieds tombant, ' Attrappe les plus paresseuses.
Page 264 - UN homme vit une couleuvre : Ah ! méchante , dit-il , je m'en vais faire une œuvre Agréable à tout l'univers. A ces mots l'animal pervers (C'est le serpent que je veux dire, Et non l'homme , on pourrait aisément s'y tromper...
Page 292 - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?
Page 9 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 47 - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.