Critique philosophique, Volume 8Bureau de la Critique philosophique., 1879 - Philosophy |
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... cause de cela trop souvent oublié , non pas méconnu cependant : celui qui aurait pour objet de déterminer les époques et les conditions historiques impliquées par les documents qui ont pris place dans les livres actuels , ou auxquelles ...
... cause de cela trop souvent oublié , non pas méconnu cependant : celui qui aurait pour objet de déterminer les époques et les conditions historiques impliquées par les documents qui ont pris place dans les livres actuels , ou auxquelles ...
Page 47
... cause du fanatisme des chrétiens et de leur hosti- lité déclarée contre la société civilisée , les arts et la liberté des cultes ; 3o Que la civilisation occidentale ainsi sauvegardée , mise à l'abri de l'invasion des Barbares du dedans ...
... cause du fanatisme des chrétiens et de leur hosti- lité déclarée contre la société civilisée , les arts et la liberté des cultes ; 3o Que la civilisation occidentale ainsi sauvegardée , mise à l'abri de l'invasion des Barbares du dedans ...
Page 58
... cause de son incomparable renommée . Nous avons essayé , nous de la Critique philosophique , d'un commencement de réparation en ce qui concerne David Hume . Si M. P. peut rendre la même justice à Berkeley , et il doit le désirer , son ...
... cause de son incomparable renommée . Nous avons essayé , nous de la Critique philosophique , d'un commencement de réparation en ce qui concerne David Hume . Si M. P. peut rendre la même justice à Berkeley , et il doit le désirer , son ...
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... cause à ce qui pré- cède , d'effet à ce qui suit ... C'est le sens où il faut entendre les causes secondes , sans qu'il y ait aucune raison de considérer les choses qui jouent ce rôle comme le siège d'aucune force , d'aucune puissance ...
... cause à ce qui pré- cède , d'effet à ce qui suit ... C'est le sens où il faut entendre les causes secondes , sans qu'il y ait aucune raison de considérer les choses qui jouent ce rôle comme le siège d'aucune force , d'aucune puissance ...
Page 69
... cause de cela que d'autres n'en doivent pas juger pour eux , parce que le compte sera demandé à la conscience de chacun ; d'ailleurs , en bonne foi , si quelqu'un en pouvait juger pour d'autres , seraient - ce les princes ? et Louis XIV ...
... cause de cela que d'autres n'en doivent pas juger pour eux , parce que le compte sera demandé à la conscience de chacun ; d'ailleurs , en bonne foi , si quelqu'un en pouvait juger pour d'autres , seraient - ce les princes ? et Louis XIV ...
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Common terms and phrases
absolument actes Aristote Auguste Comte besoin caractère catholicisme catholique cause chose civile clergé cléricalisme Concordat congrégations connaissance conscience conséquences Constitution CRITIQUE PHILOSOPHIQUE POLITIQUE croyances culte d'autres Descartes détermination développement devoir Dieu dire doctrine doit donner écoles Épicure esprits facultés fond force Fourier général gouvernement hommes humaine idées intellectuelle jésuites jugement Kant l'auteur l'école l'éducation l'Église l'enfant l'enseignement l'esprit l'État l'existence l'expérience l'histoire l'homme l'idée législation libéraux liberté d'association liberté d'enseignement libre arbitre Littré logique lois LOIS FERRY Louis Ménard Malebranche ment mentale métaphysique méthode monde morale moyen moyen âge nature naturel nécessaire notion objets panthéisme papisme passé passions pensée penseurs phénomènes PILLON positive positivisme possible pouvoir spirituel premier principe problème progrès propre protestantisme psychologie qu'un question raison réelle régime religieuse religion RENOUVIER républicain République révolution rien science scientifique sens sensations sentiment serait seulement sociale société SOMMAIRE DU NUMÉRO sorte Spinoza système théologie théorie tion Turgot universel vérité volonté vrai
Popular passages
Page 172 - Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits ; car il connaît tout cela, et soi ; et les corps, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité ; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.
Page 113 - Le Président de la République ne peut être mis en accusation que par la Chambre des députés et ne. peut être jugé que par le Sénat. Les ministres peuvent être mis en accusation par la Chambre des députés pour crimes commis dans l'exercice de leurs fonctions. En ce cas, ils sont jugés par le Sénat.
Page 181 - Car, afin que je sois libre , il n'est pas nécessaire que je sois indifférent à choisir l'un ou l'autre des deux contraires; mais plutôt, d'autant plus que je penche vers l'un , soit que je connaisse évidemment que le bien et le vrai s'y rencontrent, soit que Dieu dispose ainsi l'intérieur de ma pensée, d'autant plus librement j'en fais choix et je l'embrasse...
Page 27 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 307 - Il ya souvent bien de la différence entre la volonté de tous et la volonté générale ; celle-ci ne regarde qu'à l'intérêt commun, l'autre regarde à l'intérêt privé, et n'est qu'une somme de volontés particulières...
Page 173 - C'est de là qu'il faut nous relever, non de l'espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale.
Page 308 - Si, quand le peuple suffisamment informé délibère, les citoyens n'avaient aucune communicalion entre eux, du grand nombre de petites différences résulterait toujours la volonté générale, et la délibération serait toujours bonne. Mais, quand il se fait des brigues, des associations partielles aux dépens de la grande, la volonté de chacune de ces associations devient générale, par rapport à ses membres, et particulière, par rapport à l'État : on peut dire alors, qu'il n'ya plus autant...
Page 309 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 308 - Les clauses de ce contrat sont tellement déterminées par la nature de l'acte, que la moindre modification les rendrait vaines et de nul effet; en sorte que, bien qu'elles n'aient peut-être jamais été formellement énoncées, elles sont partout les mêmes, partout tacitement admises et reconnues...
Page 113 - Les ministres sont solidairement responsables devant les Chambres de la Politique générale du Gouvernement, et individuellement de leurs actes personnels.