Les préjugés du public, sur l'honneur: Avec des observations critiques, morales & historiques, Volume 1H. C. de Hansy, 1766 - Conduct of life |
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accor affez ainfi auffi auroit avoient avoit ayent befoin c'eft c'eſt Caligula caufe Cefar chiavel chofes confcience confeils conféquemment confifte connoiffent connoît croyent devoit Dieu difent difoit efpece efprits eſt étoient étoit fage fageffe faifoit fang fans fauffe fe font fe trouve fecond fecret felon femblables femmes fentiment feroit fervir feul fiecle fien foit fon Maître fous fouvent fuccès fujet fupérieure Général gens gloire guerre Hiftoriens hommes honneur infinité injufte intel jufqu'à jufte juftice juſtice Juvenal l'efprit l'homme l'honneur laiffer Loix lorfqu'ils Louis XI maniere mauvaiſe ment Miniftre n'eft n'eft qu'un n'en n'eſt n'étoit néceffaire néceffité obferver oppofé pable paffé particuliere penfer perfonne Peuple Philofophe phyfique plaifir plufieurs pofé poffible politique pourroit prefque préjugé premiere Prince puiffance puiffe puifque raifon refte République Romaine réuffi rien n'eft Romains s'eft s'il Souverains t'il Tibere tion vertu دو
Popular passages
Page 76 - ... jouir du fruit de ta propre vertu, et te renfermer en toimême; tu as été ta divinité. Mais les dieux qui ont tout fait, et qui n'ont rien fait que pour eux-mêmes, ne peuvent renoncer à leurs droits. Tu les as oubliés, ils t'oublieront; ils te livreront à toi-même, puisque tu as voulu être à toi, et non pas à eux.
Page 173 - L'ambition et la galanterie étoient l'âme de cette cour, et occupoient également les hommes et les femmes. Il y avoit tant d'intérêts et tant de cabales différentes, et les dames y avoient tant de part, que l'amour étoit toujours mêlé aux affaires, et les affaires à l'amour.
Page 309 - Des vœux outrés ; des projets vastes ; Des rois vaincus par des tyrans ; Des murs que la flamme ravage ; Des vainqueurs fumans de carnage ; Un peuple au fer abandonné ; Des mères pâles et sanglantes Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d'un soldat effréné. Juges insensés que nous sommes, Nous admirons de tels exploits ! Est-ce donc le malheur des hommes, Qui fait la vertu des grands rois ? Leur gloire féconde en ruines, Sans le meurtre et sans les rapines...
Page 140 - Rois pendafnt plus de dix ans. Lorfque tout eft en feu par la guerre, les loix, l'agriculture, les arts languiflent. Les meilleurs Princes même , pendant qu'ils ont une guerre à foutenir , font contraints de faire le plus grand des maux , qui eft de tolérer la licence , & de fe fervir des méchants.
Page 255 - JE l'assistai dans l'indigence ; Il ne me rendit jamais rien. Mais , quoiqu'il me dût tout son bien , Sans peine il souffroit ma présence. Oh ! la rare recounoissance ! a.
Page 242 - Le voilà qui fe jette tremblant & troublé aux pieds d'Hégéfippe ; il pleure , il héfite , il bégaie , il trembfe , il embrafle les genoux de cet homme qu'il ne daignoit pas , une heure auparavant , honorer d'un de fes regards. Tous ceux qui l'encenfoient , le voyant perdu fans reflburce , changerent leurs flatteries en des infultes fans pitié.
Page 245 - Philoclès, cette grotte plus propre à cacher des bêtes fauvages qu'à être habitée par des hommes ? J'y ai goûté depuis tant d'années plus de douceur & de repos, que dans les palais dorés de l'ifle de Crete. Les...
Page 109 - Régent, de l'adrniniitration des affaires. Cet homme célèbre fut par fes foins étoufer les diflentions civiles qui venoient de. déchirer fa patrie , il rappella les Sujets à leur devoir, contint les Grands dans la foumiffion , prévint , les plaintes du Peuple, réprima les entreprifes des Factieux, rendit la force aux Loix , rétablit l'ordre dans les Finances, remit la difcipline parmi les Troupes , aflura le repos da Royaume.
Page 146 - ... univerfel à tous les maux , un baume qui les adoucit , un charme qui les enchante ? Au lieu que par un confeil de la Providence divine , qui fçait donner aux conditions les plus élevées leur contrepoids , cette grandeur que nous admirons de loin comme quelque chofe...
Page 12 - Separoir la gloire de la vertu , perfonne ne voudroit être vertueux ; grande preuve qu'il ne connoiflbit pas l'objet de la vertu ,mais uniquement celui de la ré41 JOURNAL ENCYCLOP.