L'Esprit des journaux, françois et étrangers, Issue 1Valade, 1781 - Periodicals |
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Common terms and phrases
affez ainfi Anglois auffi auteur avoient avoit c'eft c'eſt caufe chofe compofé comte confeils confidérable connoiffance connoître Critical Review DAVID GARRICK defcription deffein defirer déja derniere devoit difcours diftinguer donner efpece Emile enfans enfuite eſt étoient étoit évêques de Durham faifoit fans favans favant favon fciences fecond femble fentiment fera feroit fervir feul feur fiecle fociété foin foit font fous fouvent fpectacle françois ftan ftyle fuccès fuis fuite fuivant fujet fur-tout galec Garrick goût héraults Hiftoire homme hygrometre Jean Marot Journal jufqu'à jufte Jupille l'académie l'acier l'auteur l'efprit l'églife l'hiftoire l'ufage laiffé leffive long-tems lumiere maniere mêlange ment Monfieur mufique n'avoit n'eft n'étoit néceffaire Novelle letterarie obfervations ouvrage paffer paroît perfonnes philofophie plaifir plufieurs poéfies poële poëte poffeffion pouvoit préfent prefque premiere prince profeffeur prophéties Publius Cornelius Scipion puiffe raifon refte rue des Mathurins s'eft ſon Sophie talens tems théatre tion trouve ufage
Popular passages
Page 254 - J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière...
Page 253 - Mais Dieu t'entend gémir, Dieu vers qui te ramène Un vrai remords né des douleurs, Dieu qui pardonne enfin à la nature humaine D'être faible dans les malheurs. J'éveillerai pour toi la pitié, la justice De l'incorruptible avenir ; Eux-même épureront, par leur long artifice, Ton honneur qu'ils pensent ternir.
Page 253 - Soyez béni, mon Dieu, vous qui daignez me rendre L'innocence et son noble orgueil; Vous qui, pour protéger le repos de ma cendre, Veillerez près de mon cercueil. Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 253 - J'ai révélé mon cœur au Dieu de l'innocence ; II a vu mes pleurs pénitents ; II guérit mes remords, il m'arme de constance. Les malheureux sont ses enfants. Mes ennemis riant, ont dit dans leur colère : Qu'il meure et sa gloire avec lui ! Mais à mon cœur calmé le Seigneur dit en père : Leur haine sera ton appui.
Page 127 - Mais enfin tel malheur on les vit encourir, Que le bon heur des deux fut de bien toft mourir. Reçoy reçoy moy donc auant que Cefar parte, Que pluftoft mon efprit que mon honneur f écarte : Car entre tout le mal, peine, douleur, encombre, Soufpirs, regrets, foucis, que...
Page 349 - ... donnera l'histoire du maréchal , et l'on fera traduire en allemand les détails de la campagne dans laquelle il a été tué; on y joindra les cartes les plus exactes de ses marches, avec l'ordre de bataille du jour. A l'endroit où Turenne est tombé on formera une enceinte de...
Page 346 - Les pauvres auront autant de droit à ces terres que les plus aifés ; ils pourront fe préfenter fans crainte ; & s'ils ne trouvent perfonne parmi les riches , qui veuille répondre pour eux , ils n'en auront pas moins les terres dont ils auront befoin pour...
Page 421 - Analyfe des infirment petits pour l'intelligence des lignes courbes ; par. M. le Marquis de l'Hôpital.
Page 78 - ... fois fur le point de s'élancer dans l'attelier, qu'elle avoit paru ne fe retenir que par de violens efforts fur elle-même : qu'enfin après m'avoir confidéré long-tems avec plus d'attention & de recueillement elle s'étoit levée tout-d'un-coup , & , collant le vifage de l'enfant fur le fien, elle s'étoit écriée à demi -voix; non , jamais il ne voudra tour ta mère ; viens , nous n'avons rien à faire ici.
Page 69 - Emile , me dit- elle , & fachez que je ne vous fuis plus rien. Un autre a fouillé votre lit , je fuis enceinte ; vous ne me toucherez de ma vie ; & fur le champ elle s'élance avec impétuofité dans fon cabinet , dont elle ferme la porte fur elle. »