Logique classique d'après les principes de philosophie de Laromiguière |
From inside the book
Results 1-5 of 25
Page 6
... commun à diverses espèces . En logique , on nomme genre prochain le genre qui contient immédiatement l'espèce définie . Le genre prochain , par cela même qu'il renferme un nombre moins grand d'espèces différentes , est plus propre à ...
... commun à diverses espèces . En logique , on nomme genre prochain le genre qui contient immédiatement l'espèce définie . Le genre prochain , par cela même qu'il renferme un nombre moins grand d'espèces différentes , est plus propre à ...
Page 32
... commun à Con- dillac , avec un grand nombre de philosophes , c'est de faire dériver les idées des sensations ; et ce qui lui est particulier , c'est de faire dériver les facultés de la même source . Locke avait dit : Toutes les idées ...
... commun à Con- dillac , avec un grand nombre de philosophes , c'est de faire dériver les idées des sensations ; et ce qui lui est particulier , c'est de faire dériver les facultés de la même source . Locke avait dit : Toutes les idées ...
Page 61
... commun à plusieurs choses , le pouvoir de percevoir une qualité générale . Grâce à cette force ou puissance , nous pouvons déta- cher par la pensée les qualités des substances qui les supportent , nous pouvons les concevoir isolément ...
... commun à plusieurs choses , le pouvoir de percevoir une qualité générale . Grâce à cette force ou puissance , nous pouvons déta- cher par la pensée les qualités des substances qui les supportent , nous pouvons les concevoir isolément ...
Page 73
... commun avec d'autres manières de sentir ; nous re- connaîtrons que tantôt ce sont les objets placés hors de nous qui affectent notre âme , qui lui font éprouver des sensations , et que tantôt nous sommes affectés , nous éprouvons des ...
... commun avec d'autres manières de sentir ; nous re- connaîtrons que tantôt ce sont les objets placés hors de nous qui affectent notre âme , qui lui font éprouver des sensations , et que tantôt nous sommes affectés , nous éprouvons des ...
Page 76
... commun avec la sensation propre- ment dite ? Pourrait - on soutenir que cette manière de sentir ou d'être affecté ne diffère pas essentiellement de ce qui se passe en lui quand un objet inanimé ou non nuisible a prise sur sa sensibilité ...
... commun avec la sensation propre- ment dite ? Pourrait - on soutenir que cette manière de sentir ou d'être affecté ne diffère pas essentiellement de ce qui se passe en lui quand un objet inanimé ou non nuisible a prise sur sa sensibilité ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme animal appelle argument Aristote attribut c'est-à-dire cause certitude cerveau choses comparaison composée conclusion Condillac connaissance connaître conséquent considéré conviennent corps d'idées Descartes Destutt de Tracy Dieu différentes dire disjonctive distincte division effet enthymème ergo propter hoc espèce esprit exemple existe exprime extremum facultés de l'âme Henri IV homme idées de rapport idées générales idées moyennes idées sensibles impressions intel jugement l'action l'analogie l'argumentation l'attention l'attribut l'autre l'avare l'entendement l'esprit l'homme l'idée l'une des prémisses Laromiguière logique Logique de Port-Royal majeure Malebranche manière de sentir mémoire ment métaphysique méthode morales motif moyen terme Napoléon Ier nature nécessaire nombre pensée perception petit terme petitio principii peuvent philosophe présent du ciel principe proposition affirmative proposition négative proposition universelle prouver pyrrhonisme qu'un raison règle renferme rien sens intime sensations sentiment de rapport serait seul SGANARELLE simple sophisme sorte substance sujet syllogisme système témoins tion tive tromper universelle affirmative verbe vérité voit vrai
Popular passages
Page 302 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune.
Page 199 - ENDANT qu'un philosophe assure Que toujours par leurs sens les hommes sont dupés, - Un autre philosophe jure Qu'ils ne nous ont jamais trompés. Tous les deux ont raison ; et la philosophie Dit vrai , quand elle dit que les sens tromperont Tant que sur leur rapport les hommes jugeront...
Page 9 - Cette véritable méthode, qui formerait les démonstrations dans la plus haute excellence, s'il était possible d'y arriver, consisterait en deux choses principales : l'une de n'employer aucun terme dont on n'eût auparavant expliqué nettement le sens; l'autre, de n'avancer jamais aucune proposition qu'on ne démontrât par des vérités déjà connues ; c'est-à-dire, en un mot, à définir tous les termes et à prouver toutes les propositions.
Page 12 - Certainement, cette méthode serait belle, mais elle est absolument impossible; car il est évident que les premiers termes qu'on voudrait définir en supposeraient de précédents pour servir à leur explication, et que de même les premières propositions qu'on voudrait prouver en supposeraient d'autres qui les précédassent; et ainsi il est clair qu'on n'arriverait jamais aux premières.
Page 311 - D'élever des poulets autour de ma maison; Le renard sera bien habile S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser...
Page 130 - Enfin, lorsque je dis que quelque idée est née avec nous, ou qu'elle est naturellement empreinte en nos âmes , je n'entends pas qu'elle se présente toujours à notre pensée , car ainsi il n'y en aurait aucune ; mais j'entends seulement que nous avons en nousmêmes la faculté de la produire.
Page 13 - Il ne définit pas tout et ne prouve pas tout, et c'est en cela qu'il lui cède ; mais il ne suppose que des choses claires et constantes par la lumière naturelle, et c'est pourquoi il est parfaitement véritable, la nature le soutenant au défaut du discours...
Page 10 - On ne reconnaît , en géométrie , que les seules définitions que les logiciens appellent définitions de nom, c'est-àdire, que les seules impositions de nom aux choses qu'on a clairement désignées en termes parfaitement connus; et je ne parle que de celles-là seulement.
Page 95 - L'homme est à luimême le plus prodigieux objet de la nature; car il ne peut concevoir ce que c'est que corps, et encore moins ce que c'est qu'esprit, et moins qu'aucune chose comment un corps peut être uni avec un esprit.
Page 11 - D'où il paraît que les définitions sont très-libres, et qu'elles ne sont jamais sujettes à être contredites, car il n'ya rien de plus permis que de donner à une chose qu'on a clairement désignée un nom tel qu'on voudra.