Dix-septième siècle: études littéraires ... |
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... s'est élevé de plus en plus dans le sentiment et dans la création de la grandeur vraie et simple , allant de l'héroïsme de la piété filiale ( le Cid ) , à l'hé- roïsme du patriotisme ( Horace ) , à l'héroïsme de la victoire sur soi ...
... s'est élevé de plus en plus dans le sentiment et dans la création de la grandeur vraie et simple , allant de l'héroïsme de la piété filiale ( le Cid ) , à l'hé- roïsme du patriotisme ( Horace ) , à l'héroïsme de la victoire sur soi ...
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... s'est bien gardé de lui ôter tout caractère humain . Car s'il était , dès le principe , tout au ciel , il n'aurait pas à lutter contre l'homme qui doit être en lui ; et , où il n'y a pas lutte , il n'y a pas drame . Polyeucte est homme ...
... s'est bien gardé de lui ôter tout caractère humain . Car s'il était , dès le principe , tout au ciel , il n'aurait pas à lutter contre l'homme qui doit être en lui ; et , où il n'y a pas lutte , il n'y a pas drame . Polyeucte est homme ...
Page 25
... s'est produit au commencement du siècle , et qui a été signalé et hâté par le Génie du Christia- nisme , le revirement fut complet . On s'avisa de s'apercevoir du drame dont Polyeucte lui - même est le DIX SEPTIÈME SIÈCLE . fond , on ...
... s'est produit au commencement du siècle , et qui a été signalé et hâté par le Génie du Christia- nisme , le revirement fut complet . On s'avisa de s'apercevoir du drame dont Polyeucte lui - même est le DIX SEPTIÈME SIÈCLE . fond , on ...
Page 52
... s'est élancé aux plus purs sommets . Les avait - il vraiment quittés ? Non , car , dans une pareille nature , si ardente et insa- tiable de vrai et de bien , s'acharner à douter de tout n'allait pas sans cette réserve et cette espérance ...
... s'est élancé aux plus purs sommets . Les avait - il vraiment quittés ? Non , car , dans une pareille nature , si ardente et insa- tiable de vrai et de bien , s'acharner à douter de tout n'allait pas sans cette réserve et cette espérance ...
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... s'est élevé pour se garantir , s'est réfugié dans le sanctuaire altier et peu accessi- ble de quelques affections nobles , éprouvées et fidèles ; et de là , le sage sans illusion , par une der- nière faiblesse , dont nous ne saurions ...
... s'est élevé pour se garantir , s'est réfugié dans le sanctuaire altier et peu accessi- ble de quelques affections nobles , éprouvées et fidèles ; et de là , le sage sans illusion , par une der- nière faiblesse , dont nous ne saurions ...
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Common terms and phrases
Abner admirable aime Alceste âme amour Andromaque assez Athalie beau Boileau Bossuet Bourgogne Bruyère c'était caractère Célimène chant charme chose chrétien cœur comédie Corneille d'Athalie défauts dessein Dieu dire DIX-SEPTIÈME SIÈCLE donner dramatique drame duc d'Orléans duc de Saint-Simon écrit écrivain esprit fable femme Fénelon fille fond Fontaine gens goût gouvernement homme humaine idées jeune Joad Josabeth l'action l'âme l'amour l'art l'esprit l'homme laisse lettres littéraire Louis XIV lui-même lyrique Madame de Maintenon Madame de Sévigné ment Misanthrope Mme de Maintenon Molière monarchie monde Montaigne morale Néarque œuvre parler Pascal passions Pauline peindre pensée personnage pessimisme peuple peut-être Philinte philosophe pièce plaisir poète poétique Polyeucte presque qu'un quiétisme Racine raison reine reste rien Rochefoucauld saint Saint-Cyr Saint-Simon sait satirique scène semble sens sentiment Sermon seul Sévère simple sion songe Sophocle sorte souvent style sujet surtout temple théâtre tion tragédie traits trouver vanité vérité voilà Voltaire vrai XVIIe siècle yeux
Popular passages
Page 43 - ... pensions nous attacher et nous affermir, il branle et nous quitte; et si nous le suivons, il échappe à nos prises, nous glisse et fuit d'une fuite éternelle. Rien ne s'arrête pour nous. C'est l'état qui nous est naturel, et toutefois le plus contraire à notre inclination; nous brûlons...
Page 68 - Les vices entrent dans la composition des vertus, comme les poisons entrent dans la composition des remèdes : la prudence les assemble et les tempère, et elle s'en sert utilement contre les maux de la vie.
Page 134 - J'en suis ravi, car c'est mon homme. Te souvient-il bien qu'autrefois, Nous avons conclu d'une voix Qu'il allait ramener en France Le bon goût et l'air de Térence? Plaute n'est plus qu'un plat bouffon, Et jamais il ne fit si bon Se trouver à la comédie ; Car ne pense pas qu'on y rie De maint trait jadis admiré, Et bon IN ILLO TEMPORE : Nous avons changé de méthode ; Jodelet n'est plus à la mode, Et maintenant il ne faut pas . Quitter la nature d'un pas.
Page 44 - ... qui sait si cette autre moitié de la vie où nous pensons veiller n'est pas un autre sommeil un peu différent du premier dont nous nous éveillons quand nous pensons dormir ? Voilà les principales forces de part et d'autre.
Page 43 - Nous voguons sur un milieu vaste, toujours incertains et flottants, poussés d'un bout vers l'autre. Quelque terme où nous pensions nous attacher et nous affermir, il branle et nous quitte; et, si nous le suivons, il échappe à nos prises, nous glisse et fuit d'une fuite éternelle. Rien ne s'arrête pour nous...
Page 171 - ... l'indignation que la pitié du spectateur; ni qu'ils soient méchants avec excès, parce qu'on n'a point pitié d'un scélérat. Il faut donc qu'ils aient une bonté médiocre, c'est-à-dire une vertu capable de faiblesse, et qu'ils tombent dans le malheur par quelque faute qui les fasse plaindre sans les faire détester.
Page 41 - L'esprit de ce souverain juge du monde* n'est pas si indépendant qu'il ne soit sujet à être troublé par le premier tintamarre qui se fait autour de lui. Il ne faut pas le bruit d'un canon* pour empêcher ses pensées : il ne faut que le bruit d'une girouette ou d'une poulie.
Page 52 - Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité, sans que tu donnes des larmes ? C'est mon affaire que ta conversion ; ne crains point, et prie avec confiance comme pour moi.
Page 197 - Je le pris tout sanglant. En baignant son visage Mes pleurs du sentiment lui rendirent l'usage ; Et, soit frayeur encore, ou pour me caresser, De ses bras innocents je me sentis presser.
Page 183 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!