Dix-septième siècle: études littéraires ... |
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... BOILEAU . MADAME DE SÉVIGNÉ . MADAME DE MAINTENON . SAINT - SIMON . BOSSUET . - FÉNELON . LA BRUYÈRE . Onzième édition PARIS LECÈNE , OUDIN ET Cie , ÉDITEURS 17 , RUE BONAPARTE , 17 1893 Tout droit de traduction et de reproduction ...
... BOILEAU . MADAME DE SÉVIGNÉ . MADAME DE MAINTENON . SAINT - SIMON . BOSSUET . - FÉNELON . LA BRUYÈRE . Onzième édition PARIS LECÈNE , OUDIN ET Cie , ÉDITEURS 17 , RUE BONAPARTE , 17 1893 Tout droit de traduction et de reproduction ...
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... , d'art dramatique , que comportait naturel- lement l'étude que nous faisions de lui . C'est ainsi que Boileau est étudié dans un assez grand détail parce qu'une foule de discussions littéraires ont dans son livre Edward Lorraine Wher.
... , d'art dramatique , que comportait naturel- lement l'étude que nous faisions de lui . C'est ainsi que Boileau est étudié dans un assez grand détail parce qu'une foule de discussions littéraires ont dans son livre Edward Lorraine Wher.
Page 16
... Boileau ne voudra pas . C'était , dans une œuvre qui est , en son fond , un ouvrage de logique , montrant dans le dé- nouement ce que contenait en germe l'exposition , faire entrer l'irrationnel et ce qui est humainement inexplicable ...
... Boileau ne voudra pas . C'était , dans une œuvre qui est , en son fond , un ouvrage de logique , montrant dans le dé- nouement ce que contenait en germe l'exposition , faire entrer l'irrationnel et ce qui est humainement inexplicable ...
Page 80
... Boileau ont exprimé à plusieurs reprises leur admiration . Madame de Maintenon , dans son expérience de la vie et sa pensée sans illusion aussi , donne ce grand éloge : « Job et les Maximes sont mes seules lectures , » oubliant un ...
... Boileau ont exprimé à plusieurs reprises leur admiration . Madame de Maintenon , dans son expérience de la vie et sa pensée sans illusion aussi , donne ce grand éloge : « Job et les Maximes sont mes seules lectures , » oubliant un ...
Page 93
... Boileau de 1636 et Racine de 1639. Ses parents étaient de modestes bourgeois . Il fut élevé dans sa petite ville , pres- que à la campagne , courant les prés et les bois , prenant goût aux choses des champs , aux beaux ombrages , aux ...
... Boileau de 1636 et Racine de 1639. Ses parents étaient de modestes bourgeois . Il fut élevé dans sa petite ville , pres- que à la campagne , courant les prés et les bois , prenant goût aux choses des champs , aux beaux ombrages , aux ...
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Common terms and phrases
Abner admirable aime Alceste âme amour Andromaque assez Athalie beau Boileau Bossuet Bourgogne Bruyère c'était caractère Célimène chant charme chose chrétien cœur comédie Corneille d'Athalie défauts dessein Dieu dire DIX-SEPTIÈME SIÈCLE donner dramatique drame duc d'Orléans duc de Saint-Simon écrit écrivain esprit fable femme Fénelon fille fond Fontaine gens goût gouvernement homme humaine idées jeune Joad Josabeth l'action l'âme l'amour l'art l'esprit l'homme laisse lettres littéraire Louis XIV lui-même lyrique Madame de Maintenon Madame de Sévigné ment Misanthrope Mme de Maintenon Molière monarchie monde Montaigne morale Néarque œuvre parler Pascal passions Pauline peindre pensée personnage pessimisme peuple peut-être Philinte philosophe pièce plaisir poète poétique Polyeucte presque qu'un quiétisme Racine raison reine reste rien Rochefoucauld saint Saint-Cyr Saint-Simon sait satirique scène semble sens sentiment Sermon seul Sévère simple sion songe Sophocle sorte souvent style sujet surtout temple théâtre tion tragédie traits trouver vanité vérité voilà Voltaire vrai XVIIe siècle yeux
Popular passages
Page 43 - ... pensions nous attacher et nous affermir, il branle et nous quitte; et si nous le suivons, il échappe à nos prises, nous glisse et fuit d'une fuite éternelle. Rien ne s'arrête pour nous. C'est l'état qui nous est naturel, et toutefois le plus contraire à notre inclination; nous brûlons...
Page 68 - Les vices entrent dans la composition des vertus, comme les poisons entrent dans la composition des remèdes : la prudence les assemble et les tempère, et elle s'en sert utilement contre les maux de la vie.
Page 134 - J'en suis ravi, car c'est mon homme. Te souvient-il bien qu'autrefois, Nous avons conclu d'une voix Qu'il allait ramener en France Le bon goût et l'air de Térence? Plaute n'est plus qu'un plat bouffon, Et jamais il ne fit si bon Se trouver à la comédie ; Car ne pense pas qu'on y rie De maint trait jadis admiré, Et bon IN ILLO TEMPORE : Nous avons changé de méthode ; Jodelet n'est plus à la mode, Et maintenant il ne faut pas . Quitter la nature d'un pas.
Page 44 - ... qui sait si cette autre moitié de la vie où nous pensons veiller n'est pas un autre sommeil un peu différent du premier dont nous nous éveillons quand nous pensons dormir ? Voilà les principales forces de part et d'autre.
Page 43 - Nous voguons sur un milieu vaste, toujours incertains et flottants, poussés d'un bout vers l'autre. Quelque terme où nous pensions nous attacher et nous affermir, il branle et nous quitte; et, si nous le suivons, il échappe à nos prises, nous glisse et fuit d'une fuite éternelle. Rien ne s'arrête pour nous...
Page 171 - ... l'indignation que la pitié du spectateur; ni qu'ils soient méchants avec excès, parce qu'on n'a point pitié d'un scélérat. Il faut donc qu'ils aient une bonté médiocre, c'est-à-dire une vertu capable de faiblesse, et qu'ils tombent dans le malheur par quelque faute qui les fasse plaindre sans les faire détester.
Page 41 - L'esprit de ce souverain juge du monde* n'est pas si indépendant qu'il ne soit sujet à être troublé par le premier tintamarre qui se fait autour de lui. Il ne faut pas le bruit d'un canon* pour empêcher ses pensées : il ne faut que le bruit d'une girouette ou d'une poulie.
Page 52 - Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité, sans que tu donnes des larmes ? C'est mon affaire que ta conversion ; ne crains point, et prie avec confiance comme pour moi.
Page 197 - Je le pris tout sanglant. En baignant son visage Mes pleurs du sentiment lui rendirent l'usage ; Et, soit frayeur encore, ou pour me caresser, De ses bras innocents je me sentis presser.
Page 183 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!