L'empire libéral: Napoléon III et Cavour. 1899 |
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acte affaires anglais appel armée arriver attaque aurait Autrichiens avaient avant c'était cause Cavour charge chef chose compte conditions conseil considérait continue contraire corps côté coup cours d'autres d'État d'être décidé déclaration demander devant dire division donner États eût faisait force François-Joseph fût Garde Garibaldi général gouvernement guerre heures hommes italienne j'ai jour journaux jugement juin jusqu'à l'armée l'Autriche l'avait l'Empereur l'Italie laisser lettre liberté lui-même Mac-Mahon main Majesté Marches mars ment mettre mieux ministre montré moyens n'avait n'en n'était Naples Napoléon nouveau nouvelle ordres paix Palerme Pape parler parole passé pays pendant pensée père Persigny personne peuple Piémont place porter pouvait pouvoir premier presse prêt prince pris propos qu'à qu'un question raison refus répondit reste révolution rien Rome s'en s'était s'il Savoie sentiments serait seul soldats sort temporel tenir tion Toscane traité troupes trouvait Turin venait Victor-Emmanuel vote voulait vrai
Popular passages
Page 189 - Votre désir d'indépendance, si longtemps exprimé, si longtemps déçu, se réalisera si vous vous en montrez dignes. Unissez-vous donc dans un seul but, l'affranchissement de votre pays. Organisez-vous militairement. Volez sous les drapeaux du roi Victor-Emmanuel, qui vous a déjà si noblement montré la voie de l'honneur. Souvenez-vous que sans discipline il n'ya pas d'armée, et animés du feu sacré de la patrie, ne soyez aujourd'hui que soldats; demain, vous serez citoyens libres d'un grand...
Page 89 - Renan, l'a dit avec cette sérénité d'esprit qui lui est propre, « le gouvernement des choses d'ici-bas appartient en fait à de tout autres forces qu'à la science et à la raison ; le penseur ne se croit qu'un bien faible droit à la direction des affaires de sa planète, et, satisfait de la portion qui lui est échue, il accepte l'impuissance sans regret. Spectateur dans l'univers, il sait que le monde ne lui appartient que comme sujet d'étude, et lors même qu'il pourrait le réformer, peut-être...
Page 189 - Votre accueil m'a déjà prouvé que vous m'avez compris. » Je ne viens pas ici avec un système préconçu pour déposséder les souverains, ni pour vous imposer ma volonté ; mon armée ne s'occupera que de deux choses : combattre vos ennemis et maintenir l'ordre intérieur. Elle ne mettra aucun obstacle à la libre manifestation de vos vœux légitimes. o La Providence favorise quelquefois les peuples comme les individus, en leur donnant l'occasion de grandir tout à coup; mais c'est à la condition...
Page 346 - La paix une fois conclue, je m'empressai d'écrire à Votre Sainteté pour lui soumettre les idées les plus propres, selon moi, à amener la pacification des Romagnes, et je crois encore que si dès cette époque Votre Sainteté eût consenti à une séparation administrative de ces provinces et à la nomination d'un gouverneur laïque, elles seraient rentrées sous son autorité. Malheureusement cela n'a pas eu lieu et je me suis trouvé impuissant à arrêter l'établissement du nouveau régime....
Page 270 - ... souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. « Si je me suis arrêté, ce n'est donc pas par lassitude ou par épuisement, ni par abandon de la noble cause que je voulais servir, mais parce que dans mon cœur quelque chose parlait plus haut encore : l'intérêt de la France. <f Croyez-vous donc qu'il ne m'en ait pas coûté de mettre un frein à l'ardeur de ces soldats qui, exaltés par la victoire, ue demandaient qu'à marcher en avant...
Page 271 - Pour servir l'indépendance italienne, j'ai fait la guerre contre le gré de l'Europe ; dès que les destinées de mon pays ont pu être en péril, j'ai fait la paix.
Page 111 - Nous n'allons pas en Italie fomenter le désordre ni ébranler le pouvoir du Saint-Père, que nous avons replacé sur son trône...
Page 346 - Car enfin cette incertitude ne peut pas durer toujours. Après un examen sérieux des difficultés et des dangers que présentaient les diverses combinaisons, je le dis avec un regret sincère, et, quelque pénible que soit la solution, ce qui me paraîtrait le plus conforme aux véritables intérêts du Saint-Siége, ce serait de faire le sacrifice des provinces révoltées.
Page 188 - Italiens , disait-elle , la fortune de la guerre nous conduisant aujourd'hui dans la capitale de la Lombardie, je viens vous dire pourquoi j'y suis. « Lorsque l'Autriche attaqua injustement le Piémont, je résolus de soutenir mon allié le roi de Sardaigne; l'honneur et les intérêts de la France m'en faisaient un devoir.
Page 110 - Toutes les grandes puissances ont protesté contre cette agression. Le Piémont ayant accepté les conditions qui devaient assurer la paix, on se demande quelle peut être la raison de cette invasion soudaine...