Histoire générale de la philosophie |
From inside the book
Results 1-5 of 79
Page 2
... ment de grands hommes : ce sont de grands systèmes , des systèmes qui ont des racines si profondes dans la nature de l'esprit humain , qu'on peut dire avec une rigueur parfaite que la philosophie n'a depuis fait autre chose que d'aller ...
... ment de grands hommes : ce sont de grands systèmes , des systèmes qui ont des racines si profondes dans la nature de l'esprit humain , qu'on peut dire avec une rigueur parfaite que la philosophie n'a depuis fait autre chose que d'aller ...
Page 8
... ment des classes et des pays paraît au dix - huitième siè- cle ; il s'y forme peu à peu une unité dans laquelle se rencontre et se reconnaît toute l'Europe civilisée . Mais cette unité nouvelle est purement morale , et elle a en face d ...
... ment des classes et des pays paraît au dix - huitième siè- cle ; il s'y forme peu à peu une unité dans laquelle se rencontre et se reconnaît toute l'Europe civilisée . Mais cette unité nouvelle est purement morale , et elle a en face d ...
Page 12
... ment général des mœurs dans toute l'Europe au dix- huitième siècle . Ainsi le mal , et beaucoup de mal , se trouve à côté du bien . Je vous signale une fois pour toutes ce triste et inévitable mélange , et je me crois dispensé d'y ...
... ment général des mœurs dans toute l'Europe au dix- huitième siècle . Ainsi le mal , et beaucoup de mal , se trouve à côté du bien . Je vous signale une fois pour toutes ce triste et inévitable mélange , et je me crois dispensé d'y ...
Page 16
... ment immense la physiologie n'a - t - elle pas pris entre les mains de Haller et de Bichat ! Le dix - huitième siècle ne pouvait découvrir l'Amérique , les îles de l'archipel du Sud , les côtes méridionales de l'Afrique ; mais ce sont ...
... ment immense la physiologie n'a - t - elle pas pris entre les mains de Haller et de Bichat ! Le dix - huitième siècle ne pouvait découvrir l'Amérique , les îles de l'archipel du Sud , les côtes méridionales de l'Afrique ; mais ce sont ...
Page 23
... ment chez elle , et elles ont dû passer par la France pour faire le tour de l'Europe . Le peuple capable de produire l'événement inévitable était donc donné : c'est en France que devait s'accomplir ce grand événement que , d'un bout du ...
... ment chez elle , et elles ont dû passer par la France pour faire le tour de l'Europe . Le peuple capable de produire l'événement inévitable était donc donné : c'est en France que devait s'accomplir ce grand événement que , d'un bout du ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abel-Rémusat alexandrin Aristote assez attributs Bacon Bhagavad-Gita bouddhisme Bruno c'est-à-dire caractère cartésienne cause choses cisme Colebrooke connaissance conscience conséquent d'Aristote Descartes développement dialectique Dieu dix-huitième siècle dix-septième siècle doctrine dogmatisme écoles édition elle-même Épicure esprit FRAGMENTS DE PHILOSOPHIE général Grèce Hobbes hommes Ibid idées in-fol ionienne juif Kapila l'âme l'analyse l'autre l'école l'esprit humain l'Europe l'existence l'histoire l'homme l'idéalisme l'Inde l'intelligence l'unité leç leçon Leibniz liberté livre Locke losophie lui-même Maïmonide Malebranche mathématiques matière ment métaphysique méthode Mimansa monde morale mort moyen âge mysticisme mystique nature Nyaya Occam ouvrages panthéisme pensée péripatéticienne phénomènes philo philoso philosophie grecque philosophie moderne physique Platon platonicienne premier principe quæ raison réflexion religion révolution saint Anselme saint Thomas Sankhya Sankhya de Kapila savant scepticisme scholastique science seizième siècle sensation sensualisme seulement Socrate sophie sorte Spinoza stoïcisme substance synthèse systèmes théisme théodicée théologie théorie tion tique traduction Védanta Védas vérité Voilà Voyez vrai
Popular passages
Page 400 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 402 - Ces longues chaînes de raisons toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations, m'avaient donné occasion de m'imaginer que toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres, il n'y en peut avoir...
Page 422 - Il n'ya que la volonté seule ou la seule liberté du franc arbitre que j'expérimente en moi être si grande, que je ne conçois point l'idée d'aucune autre plus ample et plus étendue; en sorte que c'est elle principalement qui me fait connaître que je porte l'image et la ressemblance de Dieu.
Page 467 - C'est en ce sens que j'entendrais le mot extraordinaire de Malebranche : « Dieu est le lieu des esprits, comme l'espace est le lieu des corps.
Page 395 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 430 - II, 47. tinctement, laquelle convienne en même sens à lui et à elles; mais parce qu'entre les choses créées, quelquesunes sont de telle nature qu'elles ne peuvent exister sans quelques autres, nous les distinguons d'avec celles qui n'ont besoin que du concours ordinaire de Dieu, en nommant celles-ci des substances, et celles-là des qualités ou des attributs de ces substances.
Page 431 - Car, quand nous les considérons comme les propriétés des substances dont elles dépendent, nous les distinguons aisément de ces substances et les prenons pour telles qu'elles sont véritablement; au lieu que si nous voulions les considérer sans substance, cela pourrait être cause que nous les prendrions pour des choses qui subsistent d'elles-mêmes ; en sorte que nous confondrions l'idée que nous devons avoir de la substance avec celle que nous devons avoir de ses propriétés.
Page 402 - ... il n'ya eu que les seuls mathématiciens qui ont pu trouver quelques démonstrations, c'est-à-dire quelques raisons certaines...
Page 404 - Et en toutes les neuf années suivantes je ne fis autre chose que rouler çà et là dans le monde , tâchant d'y être spectateur plutôt qu'acteur en toutes les comédies qui s'y jouent...
Page 424 - Dieu ne nous doit point empêcher de la croire. Car nous aurions tort de douter de ce que nous apercevons intérieurement et que nous savons par expérience être en nous, parce que nous ne comprenons pas une autre chose que nous savons être incompréhensible de sa nature.