Histoire générale de la philosophie |
From inside the book
Results 1-5 of 79
Page 3
... doute le système de Platon et celui d'Aristote contiennent des éléments immortels qui appartiennent à l'esprit humain et qui conviennent à tous les pays et à tous les siècles ; mais la combinaison de ces éléments est toute grecque ...
... doute le système de Platon et celui d'Aristote contiennent des éléments immortels qui appartiennent à l'esprit humain et qui conviennent à tous les pays et à tous les siècles ; mais la combinaison de ces éléments est toute grecque ...
Page 5
... doute le christianisme était dans le moyen âge , et il y a fait tout ce qui s'y est fait de bon et de grand ; mais il y était sous les conditions du temps . Le christianisme est le fond même de la ci- vilisation moderne ; mais il ...
... doute le christianisme était dans le moyen âge , et il y a fait tout ce qui s'y est fait de bon et de grand ; mais il y était sous les conditions du temps . Le christianisme est le fond même de la ci- vilisation moderne ; mais il ...
Page 16
... doute Tournefort avait devancé Linné et Jussieu ; mais ceux - ci ont tellement renouvelé la botanique qu'on pourrait dire , sans être accusé d'exagération , qu'ils l'ont créée . Quel développe- ment immense la physiologie n'a - t - elle ...
... doute Tournefort avait devancé Linné et Jussieu ; mais ceux - ci ont tellement renouvelé la botanique qu'on pourrait dire , sans être accusé d'exagération , qu'ils l'ont créée . Quel développe- ment immense la physiologie n'a - t - elle ...
Page 20
... doute , qui s'est fait le premier cette question Qu'est - ce que le beau ? mais c'est lui qui en la divisant et la subdivisant en a tiré une science régulière qui a ses principes , sa culture à part et ses progrès . C'est le dix ...
... doute , qui s'est fait le premier cette question Qu'est - ce que le beau ? mais c'est lui qui en la divisant et la subdivisant en a tiré une science régulière qui a ses principes , sa culture à part et ses progrès . C'est le dix ...
Page 23
... doute la France avait puissamment servi la cause de la civilisation : il suffit de nommer Henri IV et Richelieu ; mais un plus grand rôle encore lui était réservé : elle devait accomplir le dernier acte de ce grand drame . Ajoutez que ...
... doute la France avait puissamment servi la cause de la civilisation : il suffit de nommer Henri IV et Richelieu ; mais un plus grand rôle encore lui était réservé : elle devait accomplir le dernier acte de ce grand drame . Ajoutez que ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abel-Rémusat alexandrin Aristote assez attributs Bacon Bhagavad-Gita Bruno c'est-à-dire caractère cartésienne cause choses cisme Colebrooke connaissance conscience conséquent d'Aristote Descartes développement dialectique Dieu dix-huitième siècle dix-septième siècle doctrine dogmatisme écoles édition Épicure esprit FRAGMENTS DE PHILOSOPHIE général Grèce Hobbes hommes Ibid idées in-fol ionienne Journal des Savants juif Kapila l'âme l'analyse l'autre l'école l'esprit humain l'Europe l'existence l'histoire l'homme l'idéalisme l'Inde l'intelligence l'unité leç leçon Leibniz liberté livre Locke losophie lui-même Maïmonide Malebranche mathématiques matière ment métaphysique méthode Mimansa monde morale mort moyen âge mysticisme mystique nature Nyaya ouvrages panthéisme pensée péripatéticienne phénomènes philo philoso philosophie grecque philosophie moderne physique Platon platonicienne premier principe quæ raison réflexion religion révolution saint Anselme saint Thomas Sankhya Sankhya de Kapila savant scepticisme scholastique science seizième siècle sensation sensualisme seulement Socrate sophie sorte Spinoza stoïcisme substance synthèse systèmes théisme théodicée théologie théorie tion tique traduction Védanta Védas vérité Voilà Voyez vrai
Popular passages
Page 400 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 402 - Ces longues chaînes de raisons toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations, m'avaient donné occasion de m'imaginer que toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres, il n'y en peut avoir...
Page 422 - Il n'ya que la volonté seule ou la seule liberté du franc arbitre que j'expérimente en moi être si grande, que je ne conçois point l'idée d'aucune autre plus ample et plus étendue; en sorte que c'est elle principalement qui me fait connaître que je porte l'image et la ressemblance de Dieu.
Page 467 - C'est en ce sens que j'entendrais le mot extraordinaire de Malebranche : « Dieu est le lieu des esprits, comme l'espace est le lieu des corps.
Page 395 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 430 - II, 47. tinctement, laquelle convienne en même sens à lui et à elles; mais parce qu'entre les choses créées, quelquesunes sont de telle nature qu'elles ne peuvent exister sans quelques autres, nous les distinguons d'avec celles qui n'ont besoin que du concours ordinaire de Dieu, en nommant celles-ci des substances, et celles-là des qualités ou des attributs de ces substances.
Page 431 - Car, quand nous les considérons comme les propriétés des substances dont elles dépendent, nous les distinguons aisément de ces substances et les prenons pour telles qu'elles sont véritablement; au lieu que si nous voulions les considérer sans substance, cela pourrait être cause que nous les prendrions pour des choses qui subsistent d'elles-mêmes ; en sorte que nous confondrions l'idée que nous devons avoir de la substance avec celle que nous devons avoir de ses propriétés.
Page 402 - ... il n'ya eu que les seuls mathématiciens qui ont pu trouver quelques démonstrations, c'est-à-dire quelques raisons certaines...
Page 404 - Et en toutes les neuf années suivantes je ne fis autre chose que rouler çà et là dans le monde , tâchant d'y être spectateur plutôt qu'acteur en toutes les comédies qui s'y jouent...
Page 424 - Dieu ne nous doit point empêcher de la croire. Car nous aurions tort de douter de ce que nous apercevons intérieurement et que nous savons par expérience être en nous, parce que nous ne comprenons pas une autre chose que nous savons être incompréhensible de sa nature.