Oeuvres complètes, Volume 3N. Chaix, 1864 |
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... pense être en possession de me faire croire quand je dis du bien de quelqu'un ; et lorsque je donne des louanges ( ce qui m'arrive assez rarement ) , c'est avec tant de retenue , que je supprime toujours quantité de glorieuses vérités ...
... pense être en possession de me faire croire quand je dis du bien de quelqu'un ; et lorsque je donne des louanges ( ce qui m'arrive assez rarement ) , c'est avec tant de retenue , que je supprime toujours quantité de glorieuses vérités ...
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... pense être en possession de me faire croire quand je dis du bien de quelqu'un ; et lorsque je donne des louanges ( ce qui m'arrive assez rarement ) , c'est avec tant de retenue , que je supprime toujours quantité de glorieuses vérités ...
... pense être en possession de me faire croire quand je dis du bien de quelqu'un ; et lorsque je donne des louanges ( ce qui m'arrive assez rarement ) , c'est avec tant de retenue , que je supprime toujours quantité de glorieuses vérités ...
Page 44
... d'égal , Je pense servir Rome , et je sers mon rival . EUPHORBE . Vous êtes son rival ? MAXIME . Oui , j'aime sa maîtresse , Et l'ai caché toujours avec assez d'adresse ; Mon ardeur inconnue , avant que d'éclater , Par quelque.
... d'égal , Je pense servir Rome , et je sers mon rival . EUPHORBE . Vous êtes son rival ? MAXIME . Oui , j'aime sa maîtresse , Et l'ai caché toujours avec assez d'adresse ; Mon ardeur inconnue , avant que d'éclater , Par quelque.
Page 55
... pour toi , Et te donner moyen d'être digne de moi . Pardonnez - moi , grands dieux , si je me suis trompée Quand j'ai pensé chérir un neveu de Pompée , Et si d'un faux semblant mon esprit abusé A fait ACTE III . SCÈNE IV . 55.
... pour toi , Et te donner moyen d'être digne de moi . Pardonnez - moi , grands dieux , si je me suis trompée Quand j'ai pensé chérir un neveu de Pompée , Et si d'un faux semblant mon esprit abusé A fait ACTE III . SCÈNE IV . 55.
Page 128
... pense pas qu'on puisse avec raison D'un cœur tel que le sien craindre une trahison . On m'avait assuré qu'il vous faisait visite , Et je venais lui rendre un honneur qu'il mérite . PAULINE . Il vient de me quitter assez triste et confus ...
... pense pas qu'on puisse avec raison D'un cœur tel que le sien craindre une trahison . On m'avait assuré qu'il vous faisait visite , Et je venais lui rendre un honneur qu'il mérite . PAULINE . Il vient de me quitter assez triste et confus ...
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Common terms and phrases
Achillas ACHORÉE ACTE Adieu aime ALBIN ALCIPPE amant âme amour assez AUGUSTE avez bonheur bonté César charmes CHARMION cher chose chrétien ciel Cinna CLARICE CLEANDRE CLÉON CLÉOPATRE CLITON cœur CORNEILLE courage courroux crainte crime dessein devoir Dieu dieux digne dire donner DORANTE douleur doux Égypte ÉMILIE enfin esprit êtes EUPHORBE eût ÉVANDRE FABIAN fais faveur FÉLIX feux flamme fourbe FULVIE GÉRONTE gloire haine homme hymen indigne ISABELLE j'ai j'en jaloux jamais jour juste l'aime l'amour l'autre laisse LÉPIDE Lucain Lucrèce LYSE m'en madame main maître maîtresse malheur MAXIME MÉLISSE Menteur mieux monsieur mort mourir n'en NÉARQUE nuit parler PAULINE père Pharsale PHILISTE PHOTIN pleurs Polyclète POLYEUCTE Pompée prendre PTOLOMÉE puisse punir qu'à qu'un quitte rend rien Romains Rome s'il SABINE sais sang SCÈNE secret seigneur Septime serait seul Sévère sitôt sœur sort souffrir soupirs STRATONICE t'en trépas Velleius Paterculus venger vertu veut veux vœux vois yeux
Popular passages
Page 37 - Oui, Seigneur, dans son mal Rome est trop obstinée : Son peuple, qui s'y plaît, en fuit la guérison : Sa coutume l'emporte, et non pas la raison ; Et cette vieille erreur, que Cinna veut abattre, Est une heureuse erreur dont il est idolâtre. Par qui le monde entier, asservi sous ses lois, L'a vu cent fois marcher sur la tête des rois, Son épargne s'enfler du sac de leurs provinces.
Page 316 - Toute une ville entière, avec pompe bâtie, Semble d'un vieux fossé par miracle sortie, Et nous fait présumer, à ses superbes toits, Que tous ses habitants sont des Dieux ou des Rois.
Page 74 - LTu tas d'hommes perdus de dettes et de crimes, Que pressent de mes lois les ordres légitimes, Et qui désespérant de les plus éviter, Si tout n'est renversé, ne sauraient subsister.
Page 362 - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais II ment quand il le dit, et ne le fut jamais.
Page 82 - Je te la donne encor comme à mon assassin. Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée, ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler; Je t'en avais comblé, je t'en veux accabler : Ave6*cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année.
Page 33 - Sylla m'a précédé dans ce pouvoir suprême : Le grand César mon père en a joui de même; D'un œil si différent tous deux l'ont regardé, Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé : Mais l'un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille, Comme un bon citoyen dans le sein de sa ville; L'autre, tout débonnaire, au milieu du sénat A vu trancher ses jours par un assassinat.
Page 151 - Source délicieuse, en misères féconde, Que voulez-vous de moi, flatteuses voluptés? Honteux attachements de la chair et du monde, Que ne me quittez-vous, quand je vous ai quittés? Allez, honneurs, plaisirs, qui me livrez la guerre : Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre; Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Page 133 - Cette indigne mollesse et ces lâches défenses Sont des punitions qu'attirent mes offenses ; Mais Dieu, dont on ne doit jamais se défier, Me donne votre exemple à me fortifier.
Page 74 - Moi, seigneur! moi, que j'eusse une âme si traîtresse! Qu'un si lâche dessein... AUGUSTE. Tu tiens mal ta promesse : Sieds-toi, je n'ai pas dit encor ce que je veux ; Tu te justifieras après, si tu le peux. Écoute cependant, et tiens mieux ta parole. Tu veux m'assassiner...
Page 60 - Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre : Quoi ! tu veux qu'on t'épargne , et n'as rien épargné ! Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est...