Oeuvres complètes, Volume 3N. Chaix, 1864 |
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Page 11
... crainte et en alarme , et que ie lairray mon meurtrier se promener ce pendant à son ayse ? S'en ira il quitte , ayant assailly ma teste , que i̇'ay sauvee de tant de guerres civiles , de tant de battailles par mer et par terre , et ...
... crainte et en alarme , et que ie lairray mon meurtrier se promener ce pendant à son ayse ? S'en ira il quitte , ayant assailly ma teste , que i̇'ay sauvee de tant de guerres civiles , de tant de battailles par mer et par terre , et ...
Page 23
... crainte de sa mort me fait déjà mourir ; Mon esprit en désordre à soi - même s'oppose ; Je veux et ne veux pas , je m'emporte et je n'ose ; Et mon devoir confus , languissant , étonné , Cède aux rébellions de mon cœur mutiné . Tout beau ...
... crainte de sa mort me fait déjà mourir ; Mon esprit en désordre à soi - même s'oppose ; Je veux et ne veux pas , je m'emporte et je n'ose ; Et mon devoir confus , languissant , étonné , Cède aux rébellions de mon cœur mutiné . Tout beau ...
Page 63
... crainte à la fureur d'Égnace , Dont Cinna maintenant ose prendre la place ; Et dans les plus bas rangs les noms les plus abjets Ont voulu s'ennoblir par de si hauts projets . Après avoir en vain puni leur insolence , Essayez sur Cinna ...
... crainte à la fureur d'Égnace , Dont Cinna maintenant ose prendre la place ; Et dans les plus bas rangs les noms les plus abjets Ont voulu s'ennoblir par de si hauts projets . Après avoir en vain puni leur insolence , Essayez sur Cinna ...
Page 81
... crainte qu'après moi vous n'eussiez envoyé : Je voulais avoir lieu d'abuser Émilie , Effrayer son esprit , la tirer d'Italie , Et pensais la résoudre à cet enlèvement Sous l'espoir du retour pour venger son amant ; Mais au lieu de ...
... crainte qu'après moi vous n'eussiez envoyé : Je voulais avoir lieu d'abuser Émilie , Effrayer son esprit , la tirer d'Italie , Et pensais la résoudre à cet enlèvement Sous l'espoir du retour pour venger son amant ; Mais au lieu de ...
Page 92
... crainte des sup- plices dont il était menacé , mais pour l'appréhension qu'il eut que leur amitié ne souffrit quelque séparation ou refroi- ABRÉGÉ DU MARTYRE DE SAINT POLYEUCTE . 93 dissement par 92 ABRÉGÉ DU MARTYRE DE SAINT POLYEUCTE .
... crainte des sup- plices dont il était menacé , mais pour l'appréhension qu'il eut que leur amitié ne souffrit quelque séparation ou refroi- ABRÉGÉ DU MARTYRE DE SAINT POLYEUCTE . 93 dissement par 92 ABRÉGÉ DU MARTYRE DE SAINT POLYEUCTE .
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Common terms and phrases
Achillas ACHORÉE ACTE Adieu aime ALBIN ALCIPPE amant âme amour assez AUGUSTE avez bonheur bonté César charmes CHARMION cher chose chrétien ciel Cinna CLARICE CLEANDRE CLÉON CLÉOPATRE CLITON cœur CORNEILLE courage courroux crainte crime dessein devoir Dieu dieux digne dire donner DORANTE douleur doux Égypte ÉMILIE enfin esprit êtes EUPHORBE eût ÉVANDRE FABIAN fais faveur FÉLIX feux flamme fourbe FULVIE GÉRONTE gloire haine homme hymen indigne ISABELLE j'ai j'en jaloux jamais jour juste l'aime l'amour l'autre laisse LÉPIDE Lucain Lucrèce LYSE m'en madame main maître maîtresse malheur MAXIME MÉLISSE Menteur mieux monsieur mort mourir n'en NÉARQUE nuit parler PAULINE père Pharsale PHILISTE PHOTIN pleurs Polyclète POLYEUCTE Pompée prendre PTOLOMÉE puisse punir qu'à qu'un quitte rend rien Romains Rome s'il SABINE sais sang SCÈNE secret seigneur Septime serait seul Sévère sitôt sœur sort souffrir soupirs STRATONICE t'en trépas Velleius Paterculus venger vertu veut veux vœux vois yeux
Popular passages
Page 37 - Oui, Seigneur, dans son mal Rome est trop obstinée : Son peuple, qui s'y plaît, en fuit la guérison : Sa coutume l'emporte, et non pas la raison ; Et cette vieille erreur, que Cinna veut abattre, Est une heureuse erreur dont il est idolâtre. Par qui le monde entier, asservi sous ses lois, L'a vu cent fois marcher sur la tête des rois, Son épargne s'enfler du sac de leurs provinces.
Page 316 - Toute une ville entière, avec pompe bâtie, Semble d'un vieux fossé par miracle sortie, Et nous fait présumer, à ses superbes toits, Que tous ses habitants sont des Dieux ou des Rois.
Page 74 - LTu tas d'hommes perdus de dettes et de crimes, Que pressent de mes lois les ordres légitimes, Et qui désespérant de les plus éviter, Si tout n'est renversé, ne sauraient subsister.
Page 362 - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais II ment quand il le dit, et ne le fut jamais.
Page 82 - Je te la donne encor comme à mon assassin. Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée, ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler; Je t'en avais comblé, je t'en veux accabler : Ave6*cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année.
Page 33 - Sylla m'a précédé dans ce pouvoir suprême : Le grand César mon père en a joui de même; D'un œil si différent tous deux l'ont regardé, Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé : Mais l'un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille, Comme un bon citoyen dans le sein de sa ville; L'autre, tout débonnaire, au milieu du sénat A vu trancher ses jours par un assassinat.
Page 151 - Source délicieuse, en misères féconde, Que voulez-vous de moi, flatteuses voluptés? Honteux attachements de la chair et du monde, Que ne me quittez-vous, quand je vous ai quittés? Allez, honneurs, plaisirs, qui me livrez la guerre : Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre; Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Page 133 - Cette indigne mollesse et ces lâches défenses Sont des punitions qu'attirent mes offenses ; Mais Dieu, dont on ne doit jamais se défier, Me donne votre exemple à me fortifier.
Page 74 - Moi, seigneur! moi, que j'eusse une âme si traîtresse! Qu'un si lâche dessein... AUGUSTE. Tu tiens mal ta promesse : Sieds-toi, je n'ai pas dit encor ce que je veux ; Tu te justifieras après, si tu le peux. Écoute cependant, et tiens mieux ta parole. Tu veux m'assassiner...
Page 60 - Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre : Quoi ! tu veux qu'on t'épargne , et n'as rien épargné ! Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est...