Oeuvres complètes, Volume 3N. Chaix, 1864 |
From inside the book
Results 1-5 of 37
Page 87
... Dieu la dignité de la matière est si haute , que l'impuissance de l'artisan ne la peut ravaler ; et votre âme royale se plaît trop à cette sorte d'entretien pour s'offenser des défauts d'un ouvrage où elle ren- contrera les délices de ...
... Dieu la dignité de la matière est si haute , que l'impuissance de l'artisan ne la peut ravaler ; et votre âme royale se plaît trop à cette sorte d'entretien pour s'offenser des défauts d'un ouvrage où elle ren- contrera les délices de ...
Page 88
... Dieu formassent les plus beaux traits , et qui rendit les plaisirs qu'elle y pourra prendre aussi propres à exercer sa piété qu'à délasser son esprit . C'est à cette extraordinaire et admirable piété , Madame , que la France est ...
... Dieu formassent les plus beaux traits , et qui rendit les plaisirs qu'elle y pourra prendre aussi propres à exercer sa piété qu'à délasser son esprit . C'est à cette extraordinaire et admirable piété , Madame , que la France est ...
Page 89
... Dieu ne laisse point ses ouvrages im- parfaits ; il les achèvera , Madame , et rendra non - seu- lement la régence de Votre Majesté , mais encore toute sa vie , un enchaînement continuel de prospérités . Ce ÉPITRE DÉDICATOIRE . 89.
... Dieu ne laisse point ses ouvrages im- parfaits ; il les achèvera , Madame , et rendra non - seu- lement la régence de Votre Majesté , mais encore toute sa vie , un enchaînement continuel de prospérités . Ce ÉPITRE DÉDICATOIRE . 89.
Page 91
... Dieu , qui se plaît dans celle de ses saints , dont la mort si précieuse devant ses yeux ne doit pas passer pour fabuleuse devant ceux des hommes . Au lieu de sanctifier notre théâtre par sa représentation , nous y 1 Écrit par Siméon ...
... Dieu , qui se plaît dans celle de ses saints , dont la mort si précieuse devant ses yeux ne doit pas passer pour fabuleuse devant ceux des hommes . Au lieu de sanctifier notre théâtre par sa représentation , nous y 1 Écrit par Siméon ...
Page 94
... Dieu a promise à ceux qui renon- ceraient à eux - mêmes pour l'amour de lui . Voilà en peu de mots ce qu'en dit Surius . Le songe de Pauline , l'amour de Sévère , le baptême effectif de Polyeucte , le sacrifice pour la victoire de l ...
... Dieu a promise à ceux qui renon- ceraient à eux - mêmes pour l'amour de lui . Voilà en peu de mots ce qu'en dit Surius . Le songe de Pauline , l'amour de Sévère , le baptême effectif de Polyeucte , le sacrifice pour la victoire de l ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Achillas ACHORÉE ACTE Adieu aime ALBIN ALCIPPE amant âme amour assez AUGUSTE avez bonheur bonté César charmes CHARMION cher chose chrétien ciel Cinna CLARICE CLEANDRE CLÉON CLÉOPATRE CLITON cœur CORNEILLE courage courroux crainte crime dessein devoir Dieu dieux digne dire donner DORANTE douleur doux Égypte ÉMILIE enfin esprit êtes EUPHORBE eût ÉVANDRE FABIAN fais faveur FÉLIX feux flamme fourbe FULVIE GÉRONTE gloire haine homme hymen indigne ISABELLE j'ai j'en jaloux jamais jour juste l'aime l'amour l'autre laisse LÉPIDE Lucain Lucrèce LYSE m'en madame main maître maîtresse malheur MAXIME MÉLISSE Menteur mieux monsieur mort mourir n'en NÉARQUE nuit parler PAULINE père Pharsale PHILISTE PHOTIN pleurs Polyclète POLYEUCTE Pompée prendre PTOLOMÉE puisse punir qu'à qu'un quitte rend rien Romains Rome s'il SABINE sais sang SCÈNE secret seigneur Septime serait seul Sévère sitôt sœur sort souffrir soupirs STRATONICE t'en trépas Velleius Paterculus venger vertu veut veux vœux vois yeux
Popular passages
Page 37 - Oui, Seigneur, dans son mal Rome est trop obstinée : Son peuple, qui s'y plaît, en fuit la guérison : Sa coutume l'emporte, et non pas la raison ; Et cette vieille erreur, que Cinna veut abattre, Est une heureuse erreur dont il est idolâtre. Par qui le monde entier, asservi sous ses lois, L'a vu cent fois marcher sur la tête des rois, Son épargne s'enfler du sac de leurs provinces.
Page 316 - Toute une ville entière, avec pompe bâtie, Semble d'un vieux fossé par miracle sortie, Et nous fait présumer, à ses superbes toits, Que tous ses habitants sont des Dieux ou des Rois.
Page 74 - LTu tas d'hommes perdus de dettes et de crimes, Que pressent de mes lois les ordres légitimes, Et qui désespérant de les plus éviter, Si tout n'est renversé, ne sauraient subsister.
Page 362 - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais II ment quand il le dit, et ne le fut jamais.
Page 82 - Je te la donne encor comme à mon assassin. Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée, ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler; Je t'en avais comblé, je t'en veux accabler : Ave6*cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année.
Page 33 - Sylla m'a précédé dans ce pouvoir suprême : Le grand César mon père en a joui de même; D'un œil si différent tous deux l'ont regardé, Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé : Mais l'un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille, Comme un bon citoyen dans le sein de sa ville; L'autre, tout débonnaire, au milieu du sénat A vu trancher ses jours par un assassinat.
Page 151 - Source délicieuse, en misères féconde, Que voulez-vous de moi, flatteuses voluptés? Honteux attachements de la chair et du monde, Que ne me quittez-vous, quand je vous ai quittés? Allez, honneurs, plaisirs, qui me livrez la guerre : Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre; Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Page 133 - Cette indigne mollesse et ces lâches défenses Sont des punitions qu'attirent mes offenses ; Mais Dieu, dont on ne doit jamais se défier, Me donne votre exemple à me fortifier.
Page 74 - Moi, seigneur! moi, que j'eusse une âme si traîtresse! Qu'un si lâche dessein... AUGUSTE. Tu tiens mal ta promesse : Sieds-toi, je n'ai pas dit encor ce que je veux ; Tu te justifieras après, si tu le peux. Écoute cependant, et tiens mieux ta parole. Tu veux m'assassiner...
Page 60 - Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre : Quoi ! tu veux qu'on t'épargne , et n'as rien épargné ! Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est...